Fandeloup

amour eternel

Assise là,je réffléchie et je pense que tu n'as jamais pris le temps de me connaître,tu n'as jamais pris le temps de comprendre.Ceci n'était pas ce que je voulais être, la vie en a fait autrement,je n'ai pu supporter la vie qui m'étais destiné, elle m'a été imposé et j'essaie de faire avec, mais mes démons me rattrape. ...pardonne moi de ne pas être ce que tu désirais

okapi

Elle s’est mise à la fenêtre, ses mots plongés dans le noir où seule la tristesse l'enserrait dans l’ombre d’un soir ,d’une nuit sans lune, d’un monde sans étoiles ,frissonnante de peur, l'’inavouable souffrance pour voile. Ressurgi ce passé dont elle avait jeté les armes ,ensevelie par les pensées qui désarment, balayée par le tsunami de ses larmes ,dérive de détresse sur une plage vide et sans charme

cool

Notre Terre se révolte et vous n’en avez que cure. Votre âme veule et désinvolte fait corps avec le noir obscur .Seules comptent l’importance de vos fortunes ,l’envie, la portée et la maitrise du pouvoir. Juguler le flot qui engendre l’infortune par la vilénie de vos actes, vous ne pouvez le concevoir. Cette terre que tous nous partageons pleure des larmes de sang ,génère la mort de milliers de gens sans que nous ne la protégions. Le chant de la terre devient ouragan .Les lames de la mer sont inhumaines .L’air se change en irréversible polluant. Le feu nous hante et se déchaîne .A vous les dirigeants de ce monde, prenez garde à cette terre qui est ronde. Demain, nos contrées seront sans vie et sans âme .Tout cela par vos agissements, contre elle, si infâmes.

repos de la gazelle

Pleins feux sur elle ,enfin rejoindre l’éternel .Paupières entrouvertes, plaies béantes sur herbe verte.Jusqu'où était-elle allée ? pourquoi ne voulait-elle plus parler .Dans quoi avait-elle sombré ? Mais elle, qui est-elle ? face à ses grand yeux perdus ,impossible de dire "je ne veux plus", impossible de dire "je ne peux plus" ,impossible de dire "je ne bataillerai plus". Elle est là, elle ne veut pas... face à ce terrible combat, se raccrochant à ses mots et ses larmes qui transpercent le halo. Asphalte, tu m'entraînes dans ta démence. Asphalte, je m'engouffre dans ton silence .Asphalte, je me vautre dans ton absence.

fantastique

J'erre à deux pas de la lune, noctambule dans le dédale de la nuit, telle une funambule ,petits pas effleurent la corde raide .Clip en mon cœur sur intermède .Je cours, me frayant un chemin sans détour ,un regard sur les flancs de cette tour ,traces d’une vie et de ses blessures, de ces tags sur les murs