Fandeloup

Un client repère de la vraie fourrure dans un E. Leclerc : l’enseigne retire les articles de la vente

La veste en fourrure était vendue au rayon de l’hypermarché E. Leclerc de Pornic.

Après avoir été interpellé au sujet de vêtements en fourrure vendus dans un centre E. Leclerc de Bretagne (44), le magasin a immédiatement fait disparaître les articles de ses rayons.

Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, cela démontre un fois encore que le consommateur a le pouvoir de changer les choses ! Des vestes avec un col en raton laveur au rayon de l’hypermarché E. Leclerc de Pornic (44)…

Choqué par la présence de vraie fourrure animale dans ce magasin, un client décide d’interpeller la grande surface via les réseaux sociaux.

Les magasins E. Leclerc continuent à vendre de la vraie fourrure...

« Nous avons contacté le magasin qui nous a confirmé avoir acheté en direct auprès d'un fournisseur 3 exemplaires de cette veste, sans avoir vérifié la composition du col. Ils ont été immédiatement retirés de la vente. Nous sommes navrés de cet incident. »

Les consommateurs doivent de plus en plus se transformer en consomm’acteurs Cet exemple démontre bien à quel point l’action et l’engagement comptent ! Par ses choix, le consommateur peut peser dans la balance et faire en sorte que les grandes enseignes prennent davantage en compte le bien-être animal. De simple consommateur, chacun peut se transformer en consomm’acteur en adoptant un mode de consommation responsable ou en étant un lanceur d’alerte.

Récemment, sous la pression de leur clientèle de nombreux hypermarchés ont décidé de ne plus vendre d’œufs de poules issues d’élevages en batterie. Une victoire obtenue grâce à vous et qui devrait en inspirer d’autres…

Petits ramoneurs , 1908 ...

Les petits ramoneurs qui venaient du Jura a l'epoque avec leurs marmotes.. Pauvres gamins...autre image de la France...

Nous sommes ignorants ou juste indifférents ?

Famille Parisienne faisant une cure de lait ...

Il viendra un jour où tu aideras quelqu'un à croire à nouveau. Tu leur permettras de croire en l'amour et en leur propre potentiel dans ce monde.

Ce que personne ne dit sur le deuil

Tout le monde pense que le deuil est juste quelque chose qui suit la mort. C'est presque un synonyme de chagrin maintenant, comme si les mots étaient interchangeables. Mais le deuil ne consiste pas seulement à perdre quelqu'un qu'on aime. C'est comme être coincé dans une mémoire, mais on ne peut pas le voir pour un fait. Le deuil ne rentre pas non plus dans de simples petites catégories.

Tu peux faire ton deuil pendant quelques mois, avoir un moment de révélation ou passer des années à travailler dessus. Il ne va pas non plus du point A au point B.

Tu peux avoir des moments où c'est complètement oublié et puis ca te revient soudainement à l'esprit, te traînant dans ce souvenir dont tu ne peux plus te sortir. C'est insidieux, se glisse dans ta vie quotidienne et t'oblige à y prêter attention. Même si tu le repousses pour accomplir les tâches de la journée, le deuil va au lit à tes côtés et se réveille quand tu le fais.

Le chagrin est l'invité qui ne part pas. Il ne décide pas qu'il est là depuis assez longtemps et te laisse tourner la page. Tout le monde sait qu'une mort, que ce soit celle d'un animal de compagnie ou d'un être humain, cause du chagrin. La fin des relations amoureuses est une autre raison courante.

Mais le deuil peut aussi être causé par:

-divorce

-infertilité

-chômage

-la perte d'une opportunité de carrière

-maladie chronique

-querelles de famille

-rêves non comblés

-vieillissement

-la perte d'un ami

Y a-t-il un moyen d'y faire face?

Bien sûr, mais il faut choisir de s'en sortir. Bien que certaines choses soient si dévastatrices que personne ne vous blâmerait de rester coincé dans cette boucle de mémoire, il y a quatre façons de commencer à travailler pour soulager ton chagrin.

D'abord, COMPRENDRE que tu souffres.

Ton cœur est brisé, même si ta vie est belle en apparence. Le deuil n'est pas un processus linéaire; il n'y a pas de manière point A à point B de le traiter. Si tu es en deuil depuis une semaine, six mois ou trois ans, ce n'est pas une réflexion sur toi. Lorsque tu comprends que tu es en deuil et que tu commences à parler de ce qui s'est passé ou non, c'est le seul point sur lequel tu dois te concentrer.

Ensuite, tu dois RECONNAÎTRE que tu ne te morfonds pas ou que tu n'es pas mélodramatique. Tu dois faire ton deuil. Quelque chose est arrivée (ou pas) et ça te fait mal. Pourquoi es-tu blessé? Qu'est-ce que tu as perdu? Tu te sens alourdi? Pourquoi? Tu dois poser des questions pour trouver les réponses, et ces réponses t'aideront à découvrir ce que tu as besoin de pleurer.

C'est douloureux, mais tu dois TOUCHER ton chagrin. Tu dois regarder ce que tu as perdu (ou pas gagné) et l'examiner. Et tu dois te laisser sentir. Ça peut sembler comme un pas en arrière, permettant à toute la douleur de faire surface. Mais il n'y a aucun moyen de surmonter le deuil sans vraiment le ressentir. Il faut y penser comme une chemise, la tenir, la sentir, la mesurer. Si tu ne connais pas toute la mesure de la perte, tu ne pourras pas t'en débarrasser. Soit on s'en occupe, soit on est coincé dans cette mémoire et on s'en soucie chaque fois qu'elle réapparaît.

Après cela, tu dois te DEPLACER. Déplaces-toi à travers le deuil, découvre ce que tu ressens et comment il t'affecte. Vois comment cela interfère avec ta vie quotidienne et tes sentiments jusqu'à ce que tu puisses passer à autre chose. L'heure la plus sombre est avant l'aube, et cela n'a jamais été aussi vrai que dans le deuil. Tu dois comprendre que tu es en deuil, reconnaître ce qui l'a causé, toucher ton chagrin à fond et ensuite le traverser pour trouver l'autre côté. Ton chagrin est à toi seul, donc il n'y a que toi qui peux savoir quand tu seras prêt à le surmonter. Si tu n'y arrives jamais, c'est bon. Le deuil est un processus effrayant, alors n'aie pas peur de demander de l'aide professionnelle. Tu n'as pas à supporter ton chagrin tout seul.

As-tu trouvé cet article utile? Partage-le avec une personne qui pourrait avoir besoin d'aide pour surmonter son deuil :)

Un faon rarissime au visage blanc.

Causette autour du lavoir ...

Rencontre automnale.

Loi Justice : implanter une prison, un choix sensible

Le projet de loi Justice contient un important volet consacré aux prisons. À la clé, plus de places et un parc immobilier renouvelé comme nous le révélons.

Où construire de nouvelles prisons ?

Résoudre cette question vire toujours au casse-tête pour le ministère de la Justice. La preuve en est que le projet d’implantation des 15 000 nouvelles places promises par le gouvernement à l’horizon 2027, que nous dévoilons ce matin, doit encore faire l’objet d’ultimes arbitrages.

En Seine-Maritime par exemple, le choix du lieu de la future structure d’accompagnement vers la sortie (SAS, c’est-à-dire destiné aux condamnés à des peines de moins d’un an ou aux détenus en fin de peine) n’a pas été tranché. - Pour les élus et leurs administrés, la question est sensible.

Certains se battent pour attirer un établissement pénitentiaire, synonyme de création d’emplois et de regain d’activité. D’autres, au contraire, poussent des cris d’orfraie à l’idée d’accueillir des détenus sur leur sol. «Les petites villes et les territoires ruraux sont lésés»

La nouvelle carte pénitentiaire fera nécessairement des mécontents. Le maire de Lure (Haute-Saône), par exemple, qui n’aura pas l’établissement qu’on lui avait promis. « Quand notre vieille maison d’arrêt a fermé en 2015, Christiane Taubira s’était engagée en faveur d’une reconstruction, rappelle Eric Houlley (PS). Le processus avait été lancé, un terrain trouvé, des études lancées. C’est-à-dire de l’argent public dépensé. »

Nicole Belloubet : «Une peine prononcée doit être exécutée» Or, mardi matin, avec d’autres élus du département, il a officiellement appris de la bouche du directeur de cabinet de la ministre et de son conseiller pénitentiaire l’abandon du projet.

« Une nouvelle fois ce sont les petites villes et les territoires ruraux qui sont lésés », fulmine l’édile. La Garde des Sceaux, dont le plan pénitentiaire a été chiffré à 1,7 milliard d’euros d’ici la fin du quinquennat, assume les conséquences de sa « nouvelle politique des peines ».

7 000 places livrées d’ici 2022 Le maire de Noiseau (Val-de-Marne), Yvan Fémel (LR), s’étrangle mais pour une raison rigoureusement inverse. « Il est hors de question qu’on construise une prison chez nous. C’est au milieu de nulle part, il n’y a pas de transports !

On mettra tout en œuvre pour que ça ne se fasse pas », indiquait-il dans nos colonnes en janvier. Son lobbying n’a manifestement pas suffi.

« C’est la peine capitale », se lamente-t-il désormais que le projet de future maison d’arrêt est acté. Parmi les 7 000 places dont le gouvernement revendique la livraison d’ici 2022, une bonne partie a en fait été initiée par le précédent gouvernement.

Le délai est en effet très long entre le lancement d’un projet et l’inauguration d’un établissement. Sans compter les éventuels revirements en cas d’alternance. Les 8 000 places promises pour la période 2022-2027 - en l’occurrence essentiellement de grandes maisons d’arrêt - verront-elles réellement le jour ?

« Oui, jure-t-on Place Vendôme. Les projets seront vraiment lancés avant la fin du quinquennat. »