Ce qui fait mal quand meme,c' est quand on voit que cet accident apparait le jour meme sur internet et dans les journaux en FAIT DIVERS.C'est vrai que c'est tellement commun un homme sectionner par une toupie de béton,car il faut savoir que le tronc a été arracher et étirer avant de se déchirer.Une partie dans la toupie et l'autre dehors.Il mesurait 1m71 et a la fin il est arriver quand meme a 2m10,et tout ca,car le chauffeur n'a pas mit la sécurité a la toupie.Car il faut savoir que la toupie est attacher pendant que les ouvriers sont dedans,malheureusement pas ce jour la ,a quoi pensait le chauffeur?.FRANCKY lui n'etait qu'un intérimaire qui tapait le béton dans cette machine.Un travail de forcener pour un salaire de 960 euros par mois,mais voila le résultat.Car cet été il faisait quand meme 70 degres dans la toupie,c'est pour ca qu'ils se relais car il ne doivent y rester que 30mn chacun.Mais voila il y a des personnes qui veulent s'en sortir,il a accepter cette mission et aujourd'hui ont peut dire qu'il c 'est tuer au travail.Comment na pas avoir cette haine.

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L'homme a été tué sur le coup alors qu'il ressortait de la cuve d'un camion toupie qu'il venait de nettoyer.

A 14h45, à St Appolinaire, un ouvrier a été tué alors qu'il ressortait de la cuve d'un camion toupie qu'il nettoyait avec deux autres ouvriers. La toupie s'est remise en marche accidentelllement. Il est mort sur le coup. Cet accident du travail rarissime s'est produit chez Dijon-Béton, une entreprise de St Appolinaire,  en Côte-d'Or.dysfonctionnement ou mauvaise manoeuvre ? Pour le moment, on ignore tout des causes de cet accident du travail rarissime. Une enquête a été ouverte pour les déterminer.

Et la c 'est encore faux car il ny avait que le chauffeur et lui,le troisieme était parti telephonner.

 

 

Que ceux qui t'ont ôté la vie baissent les yeux devant la tristesse que je vit vit.Ne voit-ils pas toutes ces vies brisées,que leurs actes ont engendrés?Que ceux la m'écoute,que ceux la même regarde.
Qu'ils vois comme le monde est dépourvu de toute sa parade,
oiseaux, arbres, ruisseaux n'existent plus,depuis que du regard je t'ai perdu.

La tristesse qu'ils ont semées ici bas