Si j'écris aujourd"hui, De mes pattes encore engourdis, Du long chemin traversée de l'endroit que je fuis, C'est pour hurler la rudesse de la vie. Même si je n'ai pas de souci, A part ma louve qui me fuit, C'est pour écrire que notre monde se déchire et se détruit, Je le vois et nous le voyons dans les yeux d'autruis .Voyant chacun de mes paysages mourir, Mes grandes et belles forêt enneigés ne font que subir, La bétise humaine bien trop complexe, Que le moyen de survie sont mes réflexes. Je vois encore la nuit me surveiller, La légère brise de cette forêt me calmant, Les étoiles scintiller entres elles, Un lac gelé de la neige et il ne me manque plus qu'elle. Je rêve en été de mes prairies vertes chatoyantes, De jouer sans me soucier d'un quelconque danger, Pourtant avec mes crocs acérés, Pour les plus impurs je suis une cible prédestinée. C'est pour ça qu'avant de mourir de mes rêves, , J'aimerai que ce message soit entendu, Lu compris et par les humains