Thèmes

belle bonne femme belle homme travail fille amis film mort collection jeune chevaux loisirs jeune

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

clark gable

Publié à 16:22 par fandeloup Tags : bonne femme belle homme travail fille amis film mort collection jeune chevaux loisirs
clark gable

William Clark Gable (1er février 1901 – 16 novembre 1960) est un acteur américain, et la plus grande star au box-office du début du cinéma parlant1. Au cours de sa longue carrière, il apparaît avec les plus grandes actrices de l’époque. Joan Crawford, qui était sa partenaire favorite, joue avec lui dans huit films, Myrna Loy est à ses côtés dans sept films et il forme un duo avec Jean Harlow dans six productions. Il est aussi la star de quatre films avec Lana Turner, et trois avec Norma Shearer. Gable remporte l’oscar du meilleur acteur en 1934 pour son interprétation dans le film New York-Miami. Suit une autre nomination pour son rôle de Fletcher Christian dans Les Révoltés du Bounty (1935). Mais il reste surtout célèbre pour avoir été Rhett Butler dans le classique Autant en emporte le vent, sorti en 1939. Il est un des rares acteurs à avoir joué dans trois films ayant obtenu un Oscar du meilleur film. L’American film Institute l’a classé septième acteur de légende. Il était franc-maçon Clark Gable naît à Cadiz (Ohio) de William Henry « Bill » Gable, foreur de puits de pétrole d’ascendance allemande, et Adeline Hershelman, d’origine allemande et irlandaise. Il fut par erreur enregistré comme une fille sur son certificat de naissance. Son nom de naissance est probablement William Clark Gable, mais les registres de naissances, d’écoles et d’autres documents se contredisent à ce sujet. « William » en l’honneur de son père et « Clark » étant le nom de jeune fille de sa grand-mère maternelle. Dans l’enfance, on l’appelle le plus souvent « Clark » ; mais pour certains amis il est « Clarkie », « Billy » ou « Gabe »À l’âge de six mois, sa mère, déjà malade, le fait baptiser dans la religion catholique. Elle meurt quatre mois plus tard, sans doute d’une tumeur du cerveau. Après sa mort, la famille de l’enfant refuse de l’élever dans la religion catholique, provoquant l’animosité du côté maternel. La querelle prend fin avec l’autorisation de la famille de son père à aller voir son oncle, le frère de sa mère disparue, Charles Hershelman, et sa femme dans leur ferme de Vernon en Pennsylvanie. En avril 1903, son père Will épouse Jennie Dunlap, dont la famille vient de la périphérie de Hopedale (Ohio). Gable était un grand et timide garçon avec une grosse voix. La nouvelle famille s’installe dans une maison neuve sur un terrain acheté par son père. Jennie joue du piano auquel elle initie son beau-fils ; plus tard il se mettra aux cuivres. Elle l’élève en apportant grand soin à sa mise et ses vêtements mais l’enfant préfère la mécanique et enlève ses beaux habits pour réparer des voitures avec son père. À treize ans, il est le seul garçon de l’orchestre local. Malgré l’incitation de son père à faire des loisirs virils, comme la chasse et le travail physique, il aime les mots. En bonne compagnie, il récite du Shakespeare, surtout les sonnets. Will consent à lui acheter une collection de 72 volumes de The World’s Greatest Literature pour parfaire l’éducation de son fils mais déclara ne l’avoir jamais vu le lire. En 1917, Clark est au lycée quand son père connaît des déboires financiers. Pour régler ses dettes, Will s’essaie à la ferme et installe sa famille à Ravenna, près de la ville d’Akron. Mais Clark s’accommode mal de la campagne. Son père aura beau insister pour qu’il aide à la ferme, le jeune homme part travailler dans l’usine de pneus B.F. Goodrich d’Akron. Clark a 17 ans lorsqu’il décide de devenir acteur après avoir vu la pièce The Bird of Paradise, mais il attendra quatre ans, à sa majorité, avant de se lancer avec l’argent de l’héritage. Sa belle-mère Jennie meurt cette année-là et son père part s’installer à Tulsa pour retrouver ses affaires pétrolières. Il fait des tournées avec des troupes de répertoire, travaille par moment dans le pétrole et gère aussi des chevaux. Embauché dans des compagnies théâtrales de seconde catégorie, il traverse le Midwest vers Portland dans l’Oregon où il vendra des cravates dans un grand magasin de la chaîne Meier & Frank. C’est là qu’il fait la connaissance de l’actrice Laura Hope Crews qui l’encourage à revenir sur scène pour une nouvelle troupe. Son professeur de comédie y sera Josephine Dillon, de dix-sept ans son aînée, alors gérante d’un théâtre de la ville. Elle lui paie des soins dentaires et une nouvelle coiffure, l’aide à prendre soin de son physique et lui enseigne des postures et des règles de maintien. Elle passe de longues heures à entraîner sa voix trop aigüe qu’il parvient lentement à placer dans un ton plus grave, pour une meilleure résonance et un ton plus juste. Tout en acquérant cette nouvelle technique discursive, il améliore ses expressions faciales, plus naturelles et convaincantes. Après cette longue période d’entraînement, elle le considère enfin prêt à tenter sa chance dans une carrière dans le cinéma