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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Isabelle Huppert (née isabelle Anne Madeleine Huppert) est une actrice française née le 16 mars 1953, à Paris.isabelle Anne Huppert est née le 16 mars 1953 à Paris, dans le 16e arrondissement. Elle est la fille de Raymond Huppert, industriel, et d'Annick Beau. Elle est la mère de trois enfants. Issue d'une famille aisée et nombreuse, d'une mère professeur d'anglais et férue de piano et d'un père dirigeant d'entreprise, isabelle Huppert passe son enfance à Ville-d'Avray où elle reçoit une éducation solide dans le domaine des arts et de la culture. Elle a trois sœurs et un frère, également orientés dans le monde du spectacle : Élisabeth, énarque, s'est dirigée vers l'écriture, la peinture, la comédie et la réalisation, Caroline est aussi réalisatrice et Rémi est devenu écrivain après avoir été consultant en économie. Jacqueline, elle, enseigne les sciences économiques et sociales. Après des études secondaires au lycée de Saint-Cloud, isabelle Huppert a suivi les cours de l'École nationale des langues orientales vivantes mais n'en est pas sortie diplômée. Initialement formée au Conservatoire de Versailles, la jeune comédienne étudie les langues slaves et orientales à la faculté de Clichy, dont elle sort licenciée en russe. En parallèle, elle suit les cours d’art dramatique de l’École de la rue Blanche puis ceux du Conservatoire national supérieur d’art dramatique où elle a notamment pour professeur Jean-Laurent Cochet et Antoine Vitez. isabelle Huppert est surtout connue pour avoir bâti sa carrière sur des choix exigeants, des films et metteurs en scène non-consensuels. Son jeu dépouillé se caractérise généralement par des gammes d’interprétations jugées plus cérébrales et expérimentales qu'intuitives et authentiques. Ces partis pris, et la grande discrétion (pour ne pas dire « méfiance ») dont elle fait preuve vis-à-vis des grands médias, lui assureront une filmographie prestigieuse admirée des élites intellectuelles et bien éloignée des gros titres de la presse à scandale, mais la mettront régulièrement à distance des suffrages populaires et de ceux d'une partie de la profession qui l'écarta régulièrement du palmarès des César et des Molière, lui préférant les grandes représentantes du star system à la française comme Catherine Deneuve et isabelle Adjani. Si elle effectue ses premières apparitions au cinéma dès 1972, chez Nina Companeez, elle se fait remarquer trois ans plus tard grâce à son rôle d'artiste brute dans Aloïse de Liliane de Kermadec puis, en 1975 dans "Madame Baptiste" adapté par Claude Santelli d'après Maupassant. Elle tourne également avec des réalisateurs qui marquent le renouvellement du cinéma d’auteur français après l’expérience de la Nouvelle Vague : Yves Boisset avec Dupont Lajoie où elle est une jeune campeuse violée et assassinée par Jean Carmet, Claude Sautet avec César et Rosalie où elle joue la sœur cadette de Romy Schneider, Bertrand Blier, dans Les Valseuses qui l'impose dans un rôle secondaire mais resté culte d'adolescente rebelle en quête d'émancipation et Bertrand Tavernier avec Le Juge et l'Assassin où elle est la maîtresse de Philippe Noiret. Ces films, chacun dans leur genre, marquent le public et la critique et permettent à l’actrice débutante d’affirmer un jeu distancié, rigoureux et tout en nuance : une partition singulière qui la distingue des autres étoiles montantes de l’époque, Miou-Miou et isabelle Adjani.Sa carrière prend véritablement son envol avec l'adaptation du roman de Pascal Lainé La Dentellière par le Suisse Claude Goretta, qui lui vaudra plusieurs distinctions internationales (BAFTA anglaise et Donatello italienne, équivalentes des César). Elle y tient le rôle d’une jeune shampouineuse introvertie, victime d’une déception amoureuse qui fait basculer son existence. Cette image victimaire et de fragilité maladive la poursuivra dans plusieurs de ses films des débuts, au risque de l’enfermer dans des compositions quelque peu répétitives (Les Ailes de la colombe de Benoît Jacquot, La Dame aux camélias de Mauro Bolognini). En même temps, elle contredit cette esquisse en donnant corps au personnage-titre de Violette Nozière, devant la caméra de Claude Chabrol. C’est son premier « rôle-limite » qui la consacre star nationale et lui vaut le Prix d'interprétation féminine du Festival de Cannes en 1978. Ce registre, auquel elle voue une redoutable fidélité, lui permet de montrer toute l’étendue de son talent, parvenant à rendre crédible la folie et les pulsions morbides sans jamais verser dans l'hystérie. Violette Nozière fait en cela écho à Eaux profondes de Michel Deville, Coup de torchon de Tavernier, La Cérémonie et merci pour le chocolat de Chabrol mais surtout La Pianiste de l'Autrichien Michael Haneke (d’après le roman d’Elfriede Jelinek, Prix Nobel de littérature en 2004). Ce rôle glaçant de professeur de piano intransigeant, victime de sa mère étouffante et de ses névroses sado-masochistes est salué par un second Prix d’interprétation cannois en 2001 (seule actrice française à avoir réussi le doublé).