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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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James Coburn est un acteur américain, né à Laurel, dans le Nebraska, le 31 août 1928 et mort d'une crise cardiaque à Beverly Hills, en Californie, le 18 novembre 2002 (à 74 ans). Il se fait connaître dans le rôle de Britt le lanceur de couteaux dans Les Sept mercenaires. Il reste dans la mémoire des cinéphiles en tant qu'acteur fétiche de Sam Peckinpah avec ses rôles dans Major Dundee, Pat Garrett et Billy le Kid et Croix de fer.Né le 31 août 1928 à Laurel, dans le Nebraska, il s'installe très jeune en Californie où son père est ruiné par la crise boursière de 1930 en voulant refaire fortune. Élève du Junior College de Compton puis du City College de Los Angeles, il trouve rapidement sa vocation. Le 11 novembre 1959, il se marie avec Beverly Kelly jusqu'en 1979. Ils eurent deux enfants. Son interprétation dans la pièce Country girl lui vaut une récompense et lui permet d'obtenir un rôle dans Billy Budd monté à La Jolla Playhouse. James devient un acteur populaire de second plan pendant quelques années. Sa sophistication virile, sa démarche féline, ses allures de dandy et la dureté ascétique de son visage (doté d'une dentition impressionnante) s'accordent autant au monde viril de John Sturges, Sam Peckinpah, Sergio Leone ou Walter Hill qu'à l'univers comique d'un Blake Edwards. Il passe allègrement du film d'action à la comédie américaine. De La Grande Évasion de John Sturges à Charade de Stanley Donen. En 1965, il accède au rang de vedette avec son rôle d'espion de charme, un éphémère rival de James Bond, Flint. Il tourne dans Les Sept Mercenaires en 1960 et participa à La Grande Évasion en 1963 avec son grand ami Steve McQueen. Son rôle le plus populaire sera celui du révolutionnaire dynamiteur John Mallory dans le magnifique Il était une fois la révolution de Sergio Leone en 1971. Il tourne dans le 1er film de Walter Hill : Le Bagarreur en 1975 avec Charles Bronson et incarne de nouveau une figure de cow-boy dandy particulièrement rude dans le superbe La Chevauchée sauvage de Richard Brooks la même année. Avec son ami Bruce Lee, James Coburn avait écrit La flûte silencieuse, dont le titre est devenu Le Cercle de fer adapté à l'écran par Richard Moore dans lequel ni l'un ni l'autre n'apparaissaient. En 1978, à la demande de Sam Peckinpah, alors malade et dépressif, il assure le rôle de réalisateur seconde équipe sur Convoy. Mais en 1984, sa carrière marque un frein avec la disparition de son ami et de son réalisateur fétiche, Sam Peckinpah. Il affronte Kirk Douglas dans un téléfilm : Le Duel des héros, la même année. Le film de télé raconte l'affrontement de deux vieux cow-boy dans un ouest de pacotille. Il continue à promener sa nonchalance légendaire et sa décontraction inimitable dans, selon l'expression d'un critique, des « œuvrettes de circonstance au casting alléchant mais dénuées d'intérêt ». Peut-être parce qu'il était trop imposant pour son époque, les réalisateurs ne lui trouvent plus de rôle important. Au creux de la vague, il doit faire face à de douloureuses crises d'arthrite qui l'affaiblissent considérablement. Il déclara s'être soigné lui-même avec des pilules à base de soufre. Il s'éloigne des plateaux pendant quelques années. Il en gardera une main infirme. Alors qu'on le croyait perdu pour le cinéma, James met fin à une semi-retraite au début des années 1990 avec des rôles secondaires mais toujours marqués de sa présence rehaussant l'intérêt de westerns comme Maverick en 1994 avec Mel Gibson, Jodie Foster ou Young Guns 2 en 1991. Remake à peine voilé de Pat Garrett and Billy The Kid. Il tient encore son propre rôle dans The Player en 1992. Il excelle ensuite dans le téléfilm de la chaîne câblée HBO distribué dans les salles françaises : The Second Civil War 1997, une fable sardonique de Joe Dante. Par miracle, il n'est pas oublié par Hollywood et décroche pour Affliction en 1998 l'Oscar du meilleur second rôle. La statuette salue sa terrifiante composition d'un patriarche alcoolique, inspirée, dit-il, de Sam Peckinpah. James Coburn, malgré la maladie, ne cessera de jouer et prêtera même sa voix à l'occasion du documentaire The Last Days en 2001 sur les derniers jours de Marilyn Monroe et pour le dessin d'animation Monstres et Cie en 2002. Il tient un dernier rôle de dur à cuire en 2002 dans une production Disney : chiens des neiges et a la chance de quitter l'écran avec un magnifique dernier rôle central, American Gun, qui exploite intelligemment le revers de sa personne d'homme d'action. Il meurt peu de temps après d'un arrêt cardiaque le 18 novembre 2002 au Cedar Sinaï Hospital de Los Angeles, Californie. Étrange tour du destin, Rod Steiger son double dans le film mythique Il était une fois la révolution de Sergio Leone, venait de disparaître très peu de temps avant.