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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
page hommage, que faire de plus? ces deux petits ont été traînés derrière une voiture a plus de 100km/h sur 5 km, puis voxan, toujours en vie a été battu a coup de batte de base ball.La raison? un conflit de voisinage ! on croit toujours voir le pire du pire...pour ne pas oublier..
Deux Saint-Bernard disparaissent, victimes d'un conflit de voisinage et d'une vengeance : torturés à mort par quatre jeunes gens. Les auteurs de ces actes sont condamnés à un an de prison dont quatre mois fermes. Le 15 novembre 2006, vers midi, un couple de Mouroux (77) constate la disparition de leur deux chiens de race Saint-Bernard. M. et Mme B. engagent alors des recherches qui dureront jusqu'à 22 heures et qui malheureusement s'avèreront vaines. Le lendemain, ils décident de téléphoner à la fourrière de Chailly-en-Brie, pour savoir si les deux chiens avaient été aperçus. Ils apprennent alors qu'effectivement «Raoul» et « Voxan », âgés respectivement de 3 et 6 ans, ont été retrouvés, mais par les sapeurs-pompiers, sur la commune de Giremoutiers. C'est alors qu'ils sont confrontés à une réali té terrifiante : leurs deux chiens, pourtant totalement inoffensifs, ont été retrouvés pour l'un mort, et pour l'autre dans un tel état qu'il a fallu l'euthanasier afin d'abréger ses souffrances. Il apparaît assez rapidement, au fil de l'enquête qui est engagée, que les chiensdu couple ont été enlevés pour satisfaire une vengeance entre êtres humains. Quatre jeunes gens, âgés d'une vingtaine d'années, ont enlevé les deux chiens dans la cour du pavillon de M.et Mme B. La compagne de l'un de ces jeunes gens déclarera spontanément au commissariat de Coulommiers que son compagnon lui avait expliqué qu'avec ses trois amis, ils avaient passé la soirée et la nuit à faire la fête et que l'un des amis en question avait déclaré, en guise de proposition : « Venez, on va tuer les chiens !». « Il m'a indiqué, dit-elle, qu'ils sont alors tous montés dans la voiture de l'un d'entre eux, qu'ils ont pris les chiens, qu'ils les ont attachés à une corde derrière la voiture et qu'ils les ont traînés.» La jeune femme précisera que son compagnon lui avait encore expliqué que l'un des chiens était encore en vie après le quart d'heure d'horreur qu'ils leur avaient imposé et qu'il avait fallu aller achever l'animal à coups de batte de base-ball. Interpellés et entendus par les services de police judiciaire, les quatre jeunes gens vont commencer par nier tout en bloc. Puis l'un d'eux va parler et indiquer aux enquêteurs qui a précisément fait quoi. Ce garçon qui sera insulté et menacé par ses camarades ne reviendra pourtant pas sur ses déclarations. C'est un particulier qui a découvert les chiens sur la voie publique dans la matinée. « Le premier chien était déjà mort, le deuxième vivait encore et avait les yeux crevés et le museau abîmé. Le chienqui était mort avait le pelage râpé. Toute une partie du pelage était abrasée. Celui qui vivait encore avait un énorme trou entre lesdeux yeux juste au-dessusde la truffe. Il était visiblement aveugle et se déplaçait avec beaucoup de difficultés. » Le représentant de la fourrière de Chailly-en-Brie décrira le second animal avec encore plus de précisions atroces : « // présentait de grosses traces de brûlures au niveau des membres mais surtout de la tête. Il n'y avait plus d'yeux sur ce chien. Il présentait un énorme trou au-dessus du museau et on voyait la boîte crânienne. ». Le docteur-vétérinaire Riera confirmera pour sa part que ce chien « était dans un état critique et présentait une large plaie béante, au niveau du front qui englobait les deux globes oculaires. Devant l'impossibilité de joindre le propriétaire et face à l'état de souffrance de l'animal, une euthanasie sanitaire a été pratiquée ». En termes moins pudiques et professionnels, on a préféré euthanasies ce chien plutôt que de le laisser souffrir. Le tribunal correctionnel de Meaux a examiné cette affaire le 16 août dernier. Les quatre jeunes gens ont été condamnés à la peine d'un an de prison dont huit mois avec sursis – soit quatre mois de prison fermes - et une mise à l'épreuve de 24 mois avec obligation d'indemniser les parties civiles dont la SPA. Par Eric-Denis Ferré, avocat à la Cour