Sous des couleurs américaines se cacherait un grand pourvoyeur de souffrance animale. KFC est dans le collimateur des associations de protection animale depuis que l’on sait, grâce à Peta, dans quelles conditions vivent les poulets utilisés pour cette restauration rapide à bas prix. Alors que les défenseurs des animaux se battent pour améliorer (un minimum), la condition de vie dans les élevages, KFC utiliserait le produit des pires conditions existantes, celle où la souffrance des volailles est maximale. N’utilisant pas de porc dans leurs chaîne de restauration, tout naturellement KFC s’adresse à un public sensible à cet argument. Un an après Quick, on se s’étonnera donc pas que KFC lance sa première offre à base de viande d’animaux sacrifiés suivant le rite hallal. La mine débonnaire du grand père bienveillant de KFC couvrirait en réalité une maltraitance grave de milliers de poulets dont la qualité d’être sensible est, tout simplement, totalement niée de leur naissance à leur mort. Recherche du profit à tout prix, non respect du bien être animal, image trompeuse, voilà tous les ingrédients qui aggravent jour après jour la condition animale dans notre société. Ces poulets, bourrés d’antibiotiques, malades de leur condition de vie, sont-ils bons à consommer ? On peut, in fine, se poser la question. Derrière le non respect de l’animal, le non respect du consommateur n’est souvent pas loin. Une seule solution : consommer autrement, à chacun suivant sa conscience

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