Des dizaines de millions d'animaux sont égorgés et massacrés en Chine chaque année, leur fourrure est recherchée dans le monde entier et les chinois fournissent la marchandise, ce qui n'est pas exporté à l'étranger finit généralement dans les assiettes. Le plus douloureux est de constater les souffrances indescriptibles auxquelles ces animaux sont soumis jusqu'à leur dernier souffle. Ils sont capturés dans les rues et transportés dans de petites cages. Ils sont engouffrés par dizaines dans une même cage, sans espace pour bouger. Les cages sont ensuite jetées des camions et retombent à terre comme de vulgaires objets, les animaux sont blessés par les barreaux et en conséquence de la promiscuité. Les cages sont alors empilées les unes sur les autres et commence le vrai cauchemar. L'employé sort l'animal de la cage avec brutalité et l'attache pour l'empêcher de résister, il le frappe sur la tête pour le paralyser mais le laisse en vie. Si l'animal n'est pas lourd, il est tenu par les pattes arrière, maintenu en l'air, la tête en bas. Lorsqu'il arrête de s'agiter, commence une nouvelle étape insupportable de l'horreur. L'employé entaille le postérieur de l'animal dont il arrache la peau de façon systématique, un processus qui dure une minute environ, jusqu'à ce que la peau soit complètement retirée du corps de l'animal, pendant tout le processus, celui-ci est maintenu en vie. L'argument étant que tant que l'animal est en vie et que le sang circule dans ses veines, l'opération est plus facile. Mais le cauchemar n'est pas terminé et lors de la dernière étape de ce processus insupportable, l'animal est jeté sur une pile d'animaux dénudés mais toujours en vie jusqu'à ce que petit à petit ils succombent, les uns après les autres, à la douleur insupportable. Dans d'autres cas, lorsque la fourrure de l'animal n'est pas recherchée, il s'agit souvent de chats, un certain nombre d'entre eux sont enfermés dans un sac introduit dans un baril rempli d'eau bouillante alors que les chats sont toujours vivants. Ce processus est difficile à imaginer cependant, nous voulons croire qu'il n'est pas le résultat de méchanceté pure, mais d'ignorance et d'absence de prise de conscience quant aux besoins de l'animal. Les auteurs de ces actes ne comprennent pas la nécessité de tuer l'animal avant le processus et sont inconscients de la douleur subie par l'animal. Notre devoir dans ce cas, consiste à ouvrir les yeux d'autrui. Il s'agit de notre devoir moral à l'égard de ces animaux. Fermer les yeux ne mettra pas fin au phénomène !