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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Les anciennes danseuses de Claude François (surnommées Les Clodettes), n’ont plus le cœur à la fête ni à la danse ! Comme le révèle M6-actualités en exclusivité, 34 ans après la mort de leur idole, les Clodettes s’estiment lésées et réclament des droits liés à la diffusion d’images d’époque dans lesquelles elles apparaissent. En effet, douze anciennes Clodettes ont assigné, lundi 13 février, devant le tribunal de grande instance (TGI) de Paris, la société Spedidam (société de perception et de distribution des droits des artistes-interprètes de la musique et de la danse).
Comme l’explique M6-actualités, l’organisme Spedidam est « chargé de rémunérer les choristes, les musiciens et danseurs qui figurent sur des oeuvres filmées à partir des sommes versées par les diffuseurs ». Pour informations, en 2011, la Spedidam a reversé 32 millions d’euros à des artistes. Les Clodettes, menées par Lydia Naval et Slim Pezin (ancien chef d’orchestre) ainsi que l’avocat Daniel Richard, se battent depuis déjà deux ans pour obtenir leur dû. Elles estiment que les indemnités perçues sont indignes et sont bien décidées à récupérer les sommes qu’elles auraient dû percevoir. L’avocat estime que ses douze clientes « auraient dû toucher environ 1 000 euros par an sur les seize dernières années. »
Le président de la Spedidam, Jean-Paul Bazin, estime quant à lui que les Clodettes n’ont pas été lésées. « Elles ont été rétribuées à la hauteur de leur droit », déclare-t-il. Face au mur, Daniel Richard a donc demandé au TGI de Paris de nommer un expert « afin d’examiner les comptes de la Spedidam pour déterminer les droits exclusifs perçus par les Clodettes ». La Spedidam se dit malgré tout ouverte au dialogue…