Thèmes

message moi belle sourire soi

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

maltraitance

Publié à 19:56 par fandeloup Tags : moi belle sourire
maltraitance

Les coups repartirent de plus belle. Mais ce n’était plus ses mains qui me frappaient, c’était sa ceinture en cuir. Je ne sentais plus mon corps, ce n’était que douleurs atroces. J’ouvris les yeux. Du sang recouvrait le sol. Mon sang !! L’effroi s’empara de moi. IL n’était jamais allé aussi loin. Malheureusement je savais qu’il ne s’arrêterait que lorsqu’il se serait calmé, ou quand il aurait de nouveau soif… Ses coups redoublèrent d’ardeur. Etait-ce la vue du sang qui le mettait dans cet état ou bien la colère ? Je sentais mon sang s’écoulait par les multiples plaies de mon corps. Je ne pouvais plus bouger, incapable du moindre mouvement de protection, incapable de stopper mes larmes, ce qui le rendait encore plus fou ! Je levai les yeux suppliant vers lui. Je vis d’abord la rage dans ses yeux puis son visage déformé par la démence et enfin son sourire. Unsourire noir. Ma vision se troubla. La douleur s’empara de moi. Mes larmes s’arrêtèrent, je n’avais plus la force de les laisser couler. Puis ce fut le noir. Son sourire s’effaça peu à peu de ma mémoire. La douleur disparut. Je ne ressentis plus rien. Libre, j’étais enfin LIBRE.