Sous une pluie d'étoiles étendues à la surface du ciel,une mélodie mélancolique chante l'amour et sa tristesse. Les couleurs tourbillonnent indécises, du noir au blanc. Un ouragan d'émotion ou l'éclair et les nuages jamais ne cessent .Le jaillissement d'une rivière à sa source se fait impossible lorsqu'un orage de doutes prend l'ampleur d'une âme innacessible .L'esprit tourmenté toujours par des ombres et des cauchemars .L'âme perd sa quête, le regard à la recherche de la lumière d'un phare, tel un fantôme il erre souvent dans un univers ou seul lui demeure. La lune l'accompagne éclairant parfois son chemin, que des pleurs sur ses joues humides, elles révèlent la fragilité de son corps malheureux .Il trébuche, s'arrête, et recommence ce refrain, les pattes sur les yeux. Les rêves et les songes n'existent plus, l'imaginaire ironique se moque d'un loup sans destinée ne croyant plus au féerique. La nuit sombre, et les regrets jouent avec sa tête, le martyr lorsque ses pensées courent en lui, créant leur empire. Les anges se font loin sur leurs montagnes enchantées des cieux Ignorance entre le bas et le haut, la tristesse et le majestueux .Dans leur paradis du merveilleux, ils courronnent la joie et le bonheur. Alors que ce trou noir, lui se creuse la mort qui vit dans son coeur. Les plaies ouvertes, il regarde son sang versé comme un ruisseau de sa vie, au dévoilement d'une présence incertaine, que des maux vivent près, le brûlent et infectent son existence ou il n'y a le contrôle .Alors il résiste, et affronte encore plus, espérant un jour toucher aux pôles .Souvent sur sa face apparait ses tourmentes et ses rêves perdus comme un gamin, l'innocence reluit d'une aurore pourtant grandiose par ses reflexes, il rélève son existence et la grandeur de son vécu .Il joue avec son regard, la mélodie de ses yeux tristes et moroses. Ce soir je regarderai les étoiles car elles écrieront son histoire .J'essayerai de comprendre ce qui a fait de lui un naufrage. Je sais que la vie parfois nous apporte un peu de mal .Mais pourquoi en a t-il vécu pour des millier, tel un otage ?