Elles peuvent être grosses ou complètement minces. Mais si l’art peut venir de ce que l’on peut dire de nos mains,peut être serait il judicieux de les laisser vivre sans frein, car de leurs expressions qui parlent parfois pour nous ,nous pouvons être autant expressifs, violents ou doux,quand elles se mettent à parler, caresser ou jouer en concerto avec la voix qui se met à vibrer. Alors ne privons pas ce langage universel qui nous suit depuis que nos yeux se sont ouverts sur le ciel, et laissons le vivre dans le moindre de ses gestes usuels si en lui, il a le but de la douceur et de l’expression corporel.Car peut on argumenter un geste violent qui se met à hurler quand nous pensons à tout ce qu’elles peuvent inventer, mais qui viennent quand même défendre un honneur pour ne pas perdre la face dans le déshonneur. Ho oui elles peuvent créer autant la violence, le rire ou la douceur et nous les utilisons tout au long de nos heures,mais qu’il est doux de s’en servir comme une caresse pour simplement taire nos mots sous l’existence de leurs allégresses.Quand elles prennent la parole sur la voix et qu’elles virevoltent sans frontières sur un corps de soie. Alors n’est il pas plus sensuel de dessiner de nos mains un sourire.Sous les pores d’un corps qui commence à frémir, quand de la douceur de nos paumes de vie nous surfons sur la création des sens au-delà de l’infini pour jouer, caresser et allez au-delà des frontières et prendre la parole sur le souffle de l’air, sans oublier que nous préférons le rire ou la douceur née quand vous vous mettez à valser ou vous agiter. Ho oui que j’aime ressentir ce que vous pouvez donner quand votre harmonie se fait eden d’un duo tant aimé et que nous soyons homme ou femme en cet instant,rien n’est plus doux que de les laisser s’exprimer dans le temps. A vous les petites mains je vous dédie cette grimace dessinée.Vous qui êtes le prolongement de nos pensées et de notre volonté.