Mélancolie d’une journée d’automne, je t’ai à la bonne.Au cœur en moi ta bonté raisonne, à toi je m’abandonne. Je ne suis qu’une femme avec ses peurs et ces malheurs. Un tant soi peu dure à l’extérieur, mais ne prend peur. Il y a des mots que je ne dis pas, c’est comme ça. Il y a des mots que je ne dis pas, j’espère que tu les verras dans chacun de mes regards, même quand il se fait tard,et je l’espère fera fuir l’enfer, les jours impairs. On a tous besoin de féerie, mais rien n’est promit. Mordre la vie, ça ne fait pas un pli, c’était écrit. Mordre la vie ça passe par l’oublie des cris et mépris. Un peu comme un enfant qui découvre la vie et l’envie. Je pense mais rien de concret, on ne sait jamais de quoi est fait l’après, c’est un fait avec son effet qui fait qu’on est toujours aux aguets et pas toujours prêt. On tire un trait direct vers ce qui nous attrait, nous plait. Panse les plaies, pour quelques erreurs qu’on a faites. Hommage au passé utile à été cette souffrance .Ayant tous perdu je commence à comprendre. Contente d’apprendre que la vie est à prendre .Sur le passé pas besoin de s’étendre.