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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Nancy, France
La mère et le beau-père qui ont violé à plusieurs reprises l’enfant de 4 ans dans le parloir de la maison d’arrêt de Toul (Meurthe-et-Moselle) viennent d’être jugés.
Ils écopent de la peine maximale.
La Cour d’Assises de Strasbourg (Bas-Rhin) a décidé de condamner la mère de famille et le beau-père à 20 ans de réclusion criminelle pour le viol répété de leur enfant de 4 ans.
Les faits s’étaient déroulés dans le parloir de la maison d’arrêt de Toul (Meurthe-et-Moselle) où le beau-père de l’enfant martyr était détenu pour des violences exercées sur sa compagne.
En février 2010, Sabrina Bonner, une mère de famille de 25 ans et son compagnon – le beau père de l’enfant - âgé de 4 ans à l’époque avouent avoir abusé sexuellement du garçon à plusieurs reprises.
C’est l’homme de 31 ans, détenu à l’époque dans cette prison de Lorraine qui a abusé de l’enfant. Sa mère aurait emmené son fils au parloir de la prison, lui aurait demandé de se mettre à genoux. La suite est insoutenable : la mère place un bandeau sur les yeux de son fils et le retient pendant que son beau-père procède au viol.
L’ensemble de la scène est filmée à l’aide d’un téléphone portable. La mère de famille était enceinte de six mois d’un second enfant au moment des faits.
Mais selon les éléments de l’enquête aujourd’hui bouclée, la mère aurait déjà procédé à plusieurs viols et agressions sexuelles sur son enfant entre 2009 et 2010.
Le violeur présumé était incarcéré depuis 2009 pour des violences sur sa compagne. Il est considéré par les spécialistes comme étant schizophrène. Dans la prison au moment du viol, le personnel de surveillance affirme n’avoir rien vu.
En effet, des sacs poubelles étaient posés contre la vitre du parloir permettant d’offrir une certaine «intimité» aux couples se voyant en prison lors des visites autorisées.
L’avocat de l’enfant, aujourd’hui âgé de 8 ans a affirmé durant le procès qui s’est ouvert ce lundi et refermé mercredi soir étudier une possibilité d’attaquer en justice la prison. «Mme Bonner s'est rendue complice du crime en conduisant son fils au parloir par deux fois dans la même journée» a par ailleurs indiqué le pénaliste à l’AFP La victime quant à elle est aujourd’hui placée sous protection dans un foyer spécialisé.
Des images insoutenables
Dans la journée de mercredi avant les réquisitions, l’avocat de la maman du garçon avait dénoncé la possibilité qu’elle soit condamnée à 20 ans de prison. «Cette jeune femme est dévastée. Elle reconnaît la réalité des faits et plaidera coupable cet après-midi devant la Cour d’Assises» affirmait ce mercredi l’avocat de la mère de famille qui a participé aux viols en prison. «Elle était clairement sous l’emprise de son compagnon».
C’est en effet son compagnon – le beau-père de l’enfant – qui aurait demandé à la mère d’amener le garçon lors des visites autorisées pour abuser de lui. «Elle a pris l’initiative de se dénoncer et de dénoncer son compagnon.
La justice doit aussi penser au petit garçon car l’avenir de sa mère se joue aujourd’hui» affirme le pénaliste. Pour lui, «20 ans de prison paraît excessif».
La Cour a estimé que les accusés ne bénéficiaient pas de circonstances atténuantes, d’où la peine maximale prononcée à leur encontre.
Selon les experts médicaux, le beau-père est atteint d’une psychose incurable. Le couple avait des pratiques sexuelles sado-maso a expliqué un expert psychiatrique durant le procès. La mère comme le beau-père sont jugés complètement responsables des actes reprochés durant le procès.
Les images insoutenables des viols du petit garçon diffusées aux jurés a également marqué le procès et n’a pas joué en la faveur du couple.