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assurance maladie

Publié à 16:13 par fandeloup Tags : monde france travail vie
assurance maladie

Et si l'on supprimait l'Assurance Maladie ?

Le Cercle Santé Innovation, estime dans un rapport qu'il faut changer la structure du régime solidaire notamment du système de santé, en mettant l'Assurance-maladie sous le contrôle de l'Etat pour simplifier la vie aux patients.

Un système bicéphale inefficace?

Pour mémoire, en France l'Assurance Maladie et l'État sont copilotes dans la gestion du système de santé. Selon le Cercle ce système bicéphale court à sa perte car, chaque partie tire les manches de son côté au détriment des patients. Initié par l'ancien sénateur des Yvelines Gérard Larcher, ce cercle axe la réflexion de son think tank sur la modification pure et nette du système de santé qui selon lui doit impérativement passer par la suppression de l'Assurance Maladie telle qu'on la connait actuellement.

Cela permettrait de simplifier les parcours des patients et de faire d'importantes économies.

Le remplacement de ce système par une agence sous contrôle de l'État est une « condition d'efficience et de démocratie », a-t-il précisé. N'est-ce pas une étatisation de la santé ?

Dans son rapport le Cercle préconise que cette agence sous contrôle étatique soit composée de représentants de l'État, des partenaires sociaux et des patients pour une meilleure coordination des actions.

Il n'a pas non plus manqué de rappeler que mettre un terme à ce double pilotage dont l'État a la responsabilité des hôpitaux et l'Assurance maladie celle de la médecine libérale, n'impliquera pas une étatisation du système de santé.

Le rapport recommande une régionalisation du système et une grande indépendance de gestion pour les hôpitaux.

Communiqué de presse de Marion Maréchal-Le Pen

– 3 décembre 2013 Lors du scrutin solennel qui s’est tenu ce jour à l’Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard ont voté contre le projet de loi de finances pour la sécurité sociale 2014.

Notre système social est engagé dans une spirale des déficits depuis 2001 et incarne l’absence de volonté dans la maîtrise de la dépense. A nouveau en 2014, sur les quatre branches du régime général et le FSV, seule la branche accidents du travail pourrait être à l’équilibre.

Le solde général avoisinerait les 13 milliards d’Euros de déficit, chiffre traditionnellement optimiste.

L’hypertrophie des dépenses sociales, 475 milliards d’Euros pour le seul PLFSS, bien plus avec les dépenses assumées par l’Etat et les collectivités, prive l’Etat de marges de manœuvre pour ses missions régaliennes, comme la sécurité ou la défense. Au-delà des ajustements techniques dont les parlementaires débattent chaque a

nnée, il faut remettre en cause fondamentalement le coût des politiques migratoires qui ont transformé la France en libre-service de droits sociaux, ouverts à toute la misère économique du monde

Parmi les mesures à mettre en œuvre, il faut introduire une forme de priorité nationale, notamment lorsque les prestations versées ne dépendent pas du niveau de contribution des bénéficiaires.

Il faut également lutter de manière beaucoup plus déterminée contre la fraude sociale sous toutes ses formes, qui coûte de 15 à 20 milliards d’Euros par an.