Je ne suis plus de ce monde, avec vous je ne marche plus.Ne pleurez pas sur ma vie, ne pleurez pas sur ma mort, mes douleurs sont bannies, et le silence reste en or. J'ai voulu comprendre les gens, et déceler leurs vertus, mais ils m'ont souri en mentant, et à chercher le bien je me suis perdu. Mon coeur tendre s'est endurci, face à vos actes sales et putrides. Je ne vous en veux plus, mais je pars déçu. Le soleil est si beau et si chaud, et sa lumière donne la vie,eEnfin, c'est ce que l'on m'a dit.J'ai aimé,j'ai eu du plaisir et j'ai souffert. Triste réalité de votre monde, maculé d'artifices, ou vos esprits immondes, ont modifié le sacrifice. Sur mon chemin j'ai trouvé les miens, avec confiance, amour et sans crainte, je les ai pris par la patte, et j'ai puisé ma force dans cette étreinte. On m'a dit que j'étais beau, mais au fond je trouve ça cruel, vos propos sont infâmes, quand la beauté se lie aux pleures, restons beaux en notre ame, laissons l'apparence aux aveugles. Je ne verserais plus de larmes, car j'ai enfin déposé mes armes, je vous aurais ouvert mon coeur, j'aurais pour vous caché mes peurs, mais à quoi bon aimer ,a quoi bon souffrir encore, pour des maitres qui se nourrissent de l'or. Non parmi vous je ne suis plus, J'ai rejoint avec paix l'inconnu, parlez je ne vous entends plus, j'ai trouvé mon tombeau, je ne suis plus perdu.