Thèmes

nature nuit nature

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

"drogue du violeur"

Publié à 11:19 par fandeloup Tags : nuit
 "drogue du violeur"

Nancy : la "drogue du violeur" ferait son retour dans les discothèques*

Un médecin généraliste de Nancy (Meurthe-et-Moselle) affirme que plusieurs de ses patientes ont consulté après avoir consommé à leur insu la "drogue du violeur" lors de soirées en discothèque dans la côté ducale.

Le professionnel de santé affirme à "L'Est Républicain" que la "drogue du violeur", le GHB pourrait faire son retour dans les soirées nancéiennes en boîte de nuit ou dans les bars d'ambiance.

Quatre jeunes patientes l'aurait consulté "la même semaine" après avoir, disent-elles, consommé du GHB à leur insu lors de soirées alcoolisées en boîte de nuit à Nancy.

Selon le médecin, les patientes n'ont pas été violées mais affirment ne plus se souvenir de rien après avoir bu plusieurs verres dans des discothèques de la ville. En se réveillant le lendemain dans un état "d'amnésie", elles ont tout oubliées ou presque.

La police de Nancy quant à elle se veut "prudente" alors qu'aucune de ces présumées victimes n'ait porté plainte. "Il arrive qu'il n'y ait aucune drogue ingérée par les jeunes filles.

Elles sont juste trop ivres et finissent le lendemain avec d'importants trous de mémoire de leur soirée passée" rassure une source qui assure toutefois que les services de police sont "en veille" pour éviter ce genre d'affaires. Les policiers conseillent toutefois de "ne pas laisser son verre sans surveillance" dans les établissements de nuit mais appelle à ne pas "céder à la panique" autour de faits non avérés.