Chaque année, des dizaines de bébés singes-intentionnellement élevés pour être sujettes à la dépression et d'autres maladies mentales sont-nés à un National Institutes of Health (NIH) en laboratoire Poolesville, Maryland .

Dans les heures leur naissance, la moitié des singes sont séparés de façon permanente de leurs mères et soumis à des années d'expériences terrifiantes et souvent douloureuses destinées à provoquer, aggraver, et de mesurer la dépression, l'anxiété, la peur et le traumatisme.

Certains des singes utilisés dans ces expériences ont eu dispositifs vissé dans leurs crânes de sorte que les expérimentateurs pourraient injecter leurs cerveaux avec une variété de médicaments, y compris le Prozac-qui sont déjà utilisés en toute sécurité pour traiter les enfants et les adultes humains souffrant de maladie mentale.

Autres singes ont été injectés avec de grandes doses d'éthanol-délibérément les transformant en alcooliques, ce qui aggrave leur anxiété, la dépression et le retrait social.

Beaucoup de singes sont tués et disséqués avant qu'ils atteignent l'âge de 8 ans. En plus de la cruauté évidente, ces expériences ont jamais amélioré notre traitement de la maladie mentale de l'homme .

Pendant ce temps, de nombreux non-animales, les méthodes de recherche humaine pertinents ont été développés qui ont donné des idées et des traitements utiles.

Pourtant, les expériences sur des singes au NIH ont continué pendant 30 ans et ont recueilli 30 millions de dollars de financement en seulement les sept dernières années. Primate expert de renommée mondiale, le Dr Jane Goodall et d'autres experts ont rejoint PETA en appelant à mettre fin à ces expériences.

Et plus récemment, les membres du Congrès de compassion pour déclencher une lettre au NIH lui demandant de procéder à un examen scientifique et éthique approfondie des expériences inhumaines.