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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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"L'humanité échouée" : la photo qui indigne le monde
Face à l'impuissance des récits et des statistiques, la presse britannique a décidé, quasiment à l'unisson jeudi 3 septembre, de symboliser le drame des migrants par une photo terrible. Plage de Bodrum, 2 septembre 2015.
Europe, terre d'asile : il faut maintenant passer de la parole aux actes Sur la question des migrants, la droite française lâche Merkel "J'ai été migrant" Il s'appelait Aylan Kurdi, il avait 3 ans et ses parents fuyaient la ville-frontière de Kobané en Syrie, épicentre des combats entre djihadistes de l'Etat islamique et miliciens kurdes.
Comme des milliers d'autres, ils avaient décidé de franchir par la mer les 23 kilomètres qui séparent Bodrum, sur la côte turque, de l'île grecque de Kos, l'un des plus courts passages maritimes entre l'Europe et le reste du monde.
Selon un passager cité par le "Daily Mail", Omer Mohsin, 175 personnes prennent la mer sur 12 embarcations dans la nuit de mardi à mercredi.
Tous ont payé entre 1.000 et 2.000 euros la traversée. Mais comme si souvent ces derniers mois, plusieurs embarcations chavirent, 30 minutes après avoir pris le départ de la station balnéaire turque. Personne n'avait de gilet de sauvetage. Le bateau était prévu pour 10 personnes. Il a coulé quasiment au moment où nous avons atteint la haute mer ; mais il faisait nuit noire.
Ceux qui ne savaient pas nager n'avaient pas la moindre chance", raconte Omer. Comme 11 autres, dont celui de sa mère et de son frère de 5 ans, le corps sans vie du garçonnet, vêtu d'un t-shirt rouge et d'un short bleu, reflue sur la plage de Bodrum.
Un officier de police l'observe quelques instants avant de le recueillir dans ses bras. Un photographe turc est présent, internet et les médias feront le reste. L’image de cet enfant kurde syrien au visage tourné vers le sable, mort noyé à 2.500 km de chez lui, fait le tour de la planète ce jeudi 3 septembre.
Outre-Manche, c'est presque toute la presse qui l'affiche à la Une : "The Independant", "The Guardian", "The Times", "The Daily Mail", "The Sun". Sous le cliché, qui occupe la quasi-totalité de la Une de "The Independent", la plus marquante, il est simplement inscrit : "Somebody’s child" ("L’enfant de quelqu’un").
Europe, terre d'asile : il faut passer de la parole aux actes "Si ces images extraordinairement puissantes d’un enfant syrien mort échoué sur une plage ne changent pas l’attitude de l’Europe face aux réfugiés, qu’est-ce qui le fera ?", se demande le quotidien britannique, indigné par l’absence de réaction des responsables politiques face à la catastrophe humanitaire en cours. "The Independent" justifie sur son site internet:
Nous avons décidé de publier [cette photo] car, avec l’utilisation de mots souvent désincarnés pour parler de la crise des migrants, il est trop facile d’oublier la réalité de situations désespérées parmi les réfugiés."
La correspondante du "Washington Post" pour le Proche-orient Liz Sly est la première journaliste à avoir relayé une des photos sur la toile : une image "emblématique de l'échec du monde entier en Syrie", justifie-t-elle. D’autres médias, en Europe, ou aux Etats-Unis, ont choisi de publier la photographie, tout aussi déchirante, d’un officier de police turc portant le petit corps de l’enfant après l’avoir sorti de l’eau.
"L'humanité échouée"
Les photos des deux frères et du corps d'Aylan, tee-shirt rouge et short bleu, face contre terre, ont envahi les réseaux sociaux sous le hashtag #KiyiyaVuranInsanlik ("l'humanité échouée" en turc), devenu l'un des plus partagés sur Twitter. Aylan et son frère Galip. (DR) De nombreux médias européens affirment dans la foulée l’importance pour la presse de montrer la réalité de l’exode des migrants, dans toute son horreur.
Le quotidien belge "Le Soir" s’interroge (avant de répondre par l’affirmative) : Ces images pourront-elles éveiller les consciences ? Doit-on montrer le drame humanitaire pour qu’il soit prouvé ?" En Italie, "La Repubblica" a aussi choisi de publier "la photo qui fait taire le monde".
En Espagne, le journal "El Pais" en a fait le "symbole du drame migratoire", tandis qu’"El Periodico" titrait sur le "Naufrage de l’Europe". Sur son site internet , le "New York Times" a également fait état de l’émotion qui s’est emparée des réseaux sociaux à la publication de ces images, relayant les interrogations sur la nécessité de diffuser ces photos et sur leur capacité à agir comme "un catalyseur pour que la communauté internationale mette fin à la guerre en Syrie".
Selon le HCR, plus de 2.500 personnes ont trouvé la mort en tentant de franchir la Méditerranée pour gagner l'Europe depuis le début de l'année. Dans une tribune, Peter Bouckaert, directeur pour les situations d’urgence de Human Rights Watch, a aussi réagi :
Certains disent que l’image est trop offensante pour être partagée en ligne ou imprimée dans nos journaux. Mais ce que je trouve offensant, c’est que des corps d’enfants noyés viennent s’échouer sur nos rivages, alors que l’on aurait pu en faire plus pour leur sauver la vie". Il dénonce sur Twitter "l’inaction" de l’Union européenne. Dont "la
Face à cette image insoutenable, j'ai eut une pensée "odieuse". Comment la mère et les 2 petits sont morts et le père en vie.
N'a t il donc pas essayé de sauver ces enfants, se sauvant lui même.
Cette photo, cette histoire arrive à pont nommé pour faire basculer favorablement les européens à accepter l'exode massif de ces réfugiés.
Au fait le père retourne dans son pays y enterrer sa femme et ses enfants !!!
Ne devrait on pas les aider à instaurer une paix durable chez eux pour qu'ils y vivent en paix ?
Instabilité que nous avons crée par nos guerres dans la région, pour récupérer leurs richesses naturelles (gaz, pétrole)... du moins pas nous, les quelques grandes fortunes qui s'enrichissent sur la mort des plus faibles...
D'ailleurs avez vous remarquer qu'on s'inquiète uniquement des pays qui ont des ressources naturelles à piller !
Les autres peuvent crever, on ne lèvera pas le petit doigt...
Désolée pour mon cynisme mais ce n'est pas moi qui ai utilisé un drame humain pour manipuler !
http://catandcats.centerblog.net
Moi aussi j'ai eu la même réaction au niveau du père qui entraîne sa famille dans un périple dont il connait les risques et en plus lui seul s'en tire vivant.
Pour le reste je crois qu'il faut déjà constater que ces arrivages de migrants est un drame et constitue un grave problème de stabilité et d'économie pour les pays européens.
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Tout fut dit déjà sur le sujet. Ce qui frappe notre regard, c'est la ressemblance entre le policier & le gosse. Ils ont la même coupe de cheveux, la même couleur de peau, des vêtement identiques. Ce qui les sépara fut juste un bras de mer.
http://agrinature.centerblog.net
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