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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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5 blessures émotionnelles qui font d'un enfant un adulte à problème
Les blessures de l'enfance se rouvrent toujours à l'âge adulte ! On a beau être des adultes bons et responsables, on a tous nos failles, nos limites, nos blocages.
Et qu'on lise des ouvrages de bien-être et de développement personnel, qu'on fasse du yoga, qu'on se convertisse au bouddhisme ou qu'on aille voir un psy, toutes ces limites sont liées à des blessures d'enfance.
C'est en tout cas ce qu'affirme Lisa Bourbeau dans son livre Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même. Trahison, humiliation, méfiance, abandon, injustice...
Ces blessures émotionnelles sont cachées au plus profond de nous depuis de longues années et ce sont à cause d'elles qu'on n'arrive pas à exploiter tout notre potentiel. Voilà un petit guide pour les reconnaitre et peut-être les apaiser. Enfin.
1. La peur d'être abandonné
dreamworld.ru L'enfant trop seul et isolé devient un adulte qui a peur de l'abandon. Pour un enfant, il n'y a rien de pire que de se sentir seul et pas assez protégé durant les premières années de sa vie, dans un monde qu'il ne connait pas et qu'il ne comprend pas très bien. Devenu adulte, il a peur de revivre cette souffrance, cet abandon. Alors, il préfère être celui qui abandonne en premier. En général, c'est une personne instable, qui a beaucoup de mal à terminer ses projets et à être fiable dans des relations de longue durée. Ces personnes doivent donc comprendre ce qui leur fait autant peur et s'habituer à l'amour de l'autre. Accepter les contacts physiques, les câlins. Une des techniques peut aussi être d'accepter sa solitude pour comprendre qu'elle n'est pas un ennemi. Cela permet de retrouver le monde et les autres avec une confiance retrouvée.
2. La peur d'essuyer des refus
L'enfant à qui on a dit non toute son enfance devient un adulte qui a peur d'accepter ses sentiments. Même quand on est enfant, on a le droit d'avoir raison, parfois. Se heurter à des "non" sans arrêt (surtout de la part des parents et des proches) crée des adultes qui n'ont pas confiance en eux. Ils ont tendance à se dévaloriser, à avoir assez peu d'estime d'eux-mêmes. Ce sont des personnes qui s'isolent souvent car ils ne comprennent pas pourquoi elles mériteraient de l'affection ou de l'attention. Elles ont tendance à paniquer, surtout quand on leur demande leur avis ou de prendre la parole en public. Pour surmonter cette blessure, il faut oser se lancer des défis, prendre des grandes décisions, comme par exemple commencer un nouveau travail, vivre seul. L'avis des autres ne compte plus, apprenez à faires des choix pour vous et uniquement pour vous !
3. L'humiliation
L'enfant qui a subi des humiliations durant ses premières années devient souvent un adulte qui a beaucoup de mal à tomber amoureux. Le sentiment d'humiliation chez les enfants peut prendre plein de formes : dire à un petit garçon ou à une petite fille qu'il fait tout mal, qu'il est embêtant, maladroit ou méchant par exemple. Lui faire des reproches devant d'autres gens. Le comparer à d'autres enfants qui seraient "plus ceci" ou "plus cela" que lui. Ces humiliations détruisent l'estime de l'enfant et en font une personne adulte dépendante, qui a besoin de l'avis des autres pour se sentir vivre. Cela peut aussi engendrer des personnes méchantes et égoïstes, qui se comportent comme cela uniquement à cause d'un mécanisme de défense, pour ne plus jamais être humilié ! Afin de se détacher de ces mauvaises habitudes, il est conseillé de se pencher sur ses besoins et sur ses peurs, mais aussi sur la notion de liberté. Libre des autres. Libre de ses propres déterminisme. Libre d'être qui l'on veut être, sans limite.
4. La peur de faire confiance (et la trahison)
Les enfants qui ont ressenti de la trahison dans leurs jeunes années deviennent des adultes méfiants et négatifs. Il n'est jamais bon de faire des promesses à un enfant et de ne pas les tenir. Même en inventant des excuses pour se justifier, l'enfant comprend bien la tromperie. Devenu adulte, le sentiment de méfiance ne s'atténue pas, bien au contraire, le monde des adultes n'étant pas toujours très honnête. Les enfants trahis font des adultes peu sûrs d'eux et méfiants, qui ne croient jamais mériter ce qu'ils reçoivent. Ce sont aussi des gens plutôt négatifs et perfectionnistes, qui veulent tout contrôler et qui peuvent se montrer très autoritaires ou dominateurs. Pour renverser la vapeur, il faut apprendre à ne pas vouloir tout contrôler. Comment ? En étant tolérant, patient et surtout, très respectueux des autres et de leurs avis. Apprenez aussi à être seul et à ne rien faire, cela ouvre l'esprit.
5. Le sentiment d'injustice
Les enfants qui ont eu l'impression de vivre des injustices deviennent des adultes qui veulent être très importantes et avoir beaucoup de pouvoir. Les enfants a qui on en demande trop et qui ont l'impression de ne jamais être à la hauteur des exigences demandées développent un sentiment d'inutilité, d'inefficacité. En grandissant, ils peuvent devenir rigides et extrêmement exigeants à leur tour. Ils peuvent carrément devenir des fanatique de l'ordre et du pouvoir, convaincus qu'elles doivent devenir importantes pour prendre les décisions. Mais elles peuvent aussi prendre des décisions extrêmes et irrationnelles. Pour lutter contre ces dérives, il faut effectuer un travail sur soi et sur ce sentiment de suspicion et de rigidité mentale. Apprenez à être flexible. Apprenez à être quelqu'un de simple. Apprenez à faire confiance aux autres. Votre vie vous paraitre beaucoup plus simple, d'un coup ! On laisse le mot de la fin à Lisa Bourbeau : La première étape est d’accepter que les blessures font partie de nous, de nous donner la permission de nous énerver et, surtout, de nous donner du temps pour les dépasser.
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