Thèmes

message moi vie news homme chez photo femme mort fille femmes air aimer

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

horreur

Publié à 09:07 par fandeloup Tags : moi vie news homme chez photo femme mort fille femmes air
horreur

Pakistan : brûlée vive à 16 ans par sa mère pour s'être choisi un mari

Le meurtre de Zeenat mercredi matin est le troisième en autant de mois d'une jeune fille accusée d'avoir bafoué l'honneur de sa famille au Pakistan.

 Zeenat n'avait que 16 ans quand elle a épousé un jeune homme contre l'avis des siens. Une audace qui lui a couté la vie lorsque sa mère excédée l'a brûlée vive dans leur modeste maison à Lahore. Le meurtre de Zeenat mercredi matin est le troisième en autant de mois d'une jeune fille accusée d'avoir bafoué l'honneur de sa famille au Pakistan.

Des centaines comme elle sont tuées chaque année, mais très rarement par une femme, et encore moins leur mère. Perveen Bibi a tué sa fille mercredi matin, un peu plus d'une semaine après son mariage. Le 29 mai, Zeenat s'était unie à Hasan Khan, un voisin de 20 ans dont le grand défaut, aux yeux de sa famille, est d'être d'ethnie pachtoune alors qu'ils sont pendjabi.

Sa soeur aînée Shazia, encore sous le choc, accuse Zeenat d'être allée trop loin. Mais elle avait plaidé auprès de sa mère pour qu'elle rompe les liens avec elle plutôt que lui faire du mal. «J'ai essayé d'empêcher notre mère de la punir trop sévèrement, mais elle l'a ramenée à la maison. Elles ont commencé à se disputer, Zeenat insultait notre mère tous les jours jusqu'à ce que cela arrive», raconte-t-elle.

C'était une maisonnée de femmes, depuis la mort du patriarche et le départ des sept frères et soeurs de Zeenat, dont deux travaillent à Dubaï et soutiennent financièrement la famille. Les relations s'étaient lentement dégradées et «notre mère était désespérée par la désobéissance» de sa benjamine, «elle pensait que s'il y avait eu un homme à la maison, il aurait réussi à la cadrer».

Autour d'elle, quelques voisines et femmes de la famille sont rassemblées, le visage tendu, dans l'air brûlant du patio séparant les deux seules pièce de la maison où le drame a eu lieu. Seule une voisine pleure discrètement dans un coin.

«C'était une gentille jeune fille, Perveen n'aurait pas du faire ça», regrette cette mère de famille, Sadaqat. Mariés quatre jours En haut des marches menant au toit-terrasse, un morceau d'étoffe brûlée et des marques de suie au sol, rappellent les derniers instants de la jeune fille insoumise au visage rond et doux.

La mère a reconnu les faits et la police a saisi du kérosène sur place, selon un responsable de la police provinciale, Haidar Ashraf. Après le meurtre, Perveen est sortie sur le pas de sa porte, se frappant la poitrine en signe de deuil.

«Elle criait -j'ai tué ma fille pour s'être mal comportée avec moi et avoir sali le nom de notre famille en se mariant à sa guise-», raconte sa soeur, Naseem Bibi.Hassan Khan, le jeune mari de Zeenat Bibi a expliqué à la télévision locale Geo News qu'ils s'étaient enfuis puis qu'il avait accepté, à contrecoeur, que sa jeune épouse retourne chez sa famille après la promesse qu'aucun mal ne lui serait fait.

«Après le mariage, nous avons vécu ensemble quatre jours, puis sa famille nous a contactés. Ils nous ont promis qu'ils organiseraient une fête de mariage, puis que nous pourrions vivre ensemble», a-t-il expliqué. «Zeenat ne voulait pas rentrer chez elle, elle m'a dit qu'elle serait tuée. Elle a fini par accepter après qu'un oncle lui a assuré qu'elle serait en sécurité.»

Les deux familles sont désormais en litige pour savoir qui enterrera le corps après l'autopsie. Hassan Khan montre un document avec une photo de sa femme Zeenat Bibi, qui a été brûlée vive par sa mère, à Lahore le 8 Juin, 2016.

 

Commentaires (1)

CHANTOU+COCCINELLE
De vrais sauvages, aucun respect de la vie humaine, comment peut-on tuer sa fille ?
http://chantouvivelavie.centerblog.net


Ecrire un commentaire