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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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bactériophages

Publié à 09:20 par fandeloup Tags : bretagne monde bonne france sur chez animal pouvoir place centre
bactériophages

Les bactériophages, des virus qui remplacent les antibiotiques

 Avec l’émergence de «superbactéries» résistant à tous les traitements, une approche thérapeutique revient au goût du jour.

En Suisse, l’Université de Lausanne et le CHUV y travaillent. Microbe contre microbe: pour lutter contre les bactéries infectieuses, les chercheurs et les médecins se tournent désormais vers… des virus.

Plus précisément vers les bactériophages qui sont leurs prédateurs naturels. La situation devient en effet inquiétante.

Les bactéries font de plus en plus fréquemment de la résistance aux antibiotiques, ces médicaments très efficaces mais trop –et mal– utilisés. Au point que depuis la fin de l’année dernière, des cas de micro-organismes pathogènes insensibles à tous les médicaments ont été repérés en Chine, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.

Mais aussi en Suisse.

En février, d’après La Liberté, deux professeurs de l’Université de Fribourg ont isolé, chez un patient genevois, la première souche de colibacille au monde qui résiste à la colistine et aux carbapénèmes, des antibiotiques de la dernière chance. Le phénomène prend de l’ampleur et, en l’absence d’alternative à ces médicaments, l’économiste britannique Jim O’Neill prédit que ces microbes résistants pourraient provoquer dix millions de décès d’ici à 2050!

L’alternative existe cependant: elle réside dans l’emploi des bactériophages. Comme tous les virus, ceux-ci ont besoin de la machinerie d’une cellule hôte pour se multiplier. Leurs cibles sont des bactéries qu’ils détruisent une fois leur réplication terminée.

Chaque phage ne s’attaque d’ailleurs qu’à une bactérie particulière et même à un nombre limité de souches d’une espèce donnée. De quoi on parle Depuis 2015, on assiste en Suisse et dans d’autres pays à l’apparition de bactéries pathogènes résistant à tous les antibiotiques disponibles.

«Si l’on n’agit pas en urgence, c’est la fin des antibiotiques», selon Thomas Frieden, directeur du CDC (Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies). Pour sortir de cette impasse, les médecins comptent désormais sur les bactériophages, des virus qui tuent naturellement les bactéries et sont inoffensifs pour l’être humain.

Faciles à trouver et à cultiver

Ces virus ont de nombreux avantages. Ils sont présents «partout où il y a des bactéries», souligne Grégory Resch, maître-assistant suppléant au département de microbiologie fondamentale de l’Université de Lausanne (UNIL). Notamment dans les sols et l’eau. Le chercheur et ses collègues isolent d’ailleurs leurs bactériophages «à partir d’échantillons d’eaux usées que nous récupérons notamment à la station d’épuration de Vidy».

En outre, ces micro-organismes sont relativement faciles à cultiver et peuvent être conservés plusieurs années à 4 degrés. Surtout, ils sont inoffensifs pour l’être humain et ils ne s’attaquent pas aux bactéries de l’intestin. Les phages ont déjà été utilisés en médecine humaine au début du XXe siècle (lire encadré). Mais, avec l’arrivée des antibiotiques, beaucoup plus faciles à utiliser, ils sont tombés en désuétude.

Actuellement, seuls quelques pays d’Europe de l’Est en font encore grand usage. Notamment la Russie, la Géorgie, ainsi que la Pologne, où les médecins «parviennent à guérir de 30 à 50% de leurs patients atteints d’infections pulmonaires ou urinaires dues à des bactéries multirésistantes», souligne Grégory Resch.

En pointe dans le domaine, la Suisse compte jouer un rôle important Les bactériophages ont désormais le vent en poupe, mais leur utilisation dans le traitement des infections nécessite encore de nombreuses recherches. Dans ce domaine, l’UNIL et le CHUV, qui se sont lancés dans l’aventure il y a cinq ans, comptent jouer un rôle important.

SwissPhage devrait y contribuer. «Ce projet est encore en construction», précise Philippe Moreillon, président de son comité de pilotage et vice-recteur de l’UNIL. Il vise à doter l’hôpital vaudois d’un «centre de production de phages, respectant les règles en vigueur de «bonnes pratiques de fabrication» qui sera à la disposition d’autres hôpitaux». Il est aussi prévu d’établir une plate-forme de diagnostic, «qui recevra les échantillons en provenance des patients et qui pourra identifier les bactéries qui les infectent, afin de déterminer quels phages doivent être utilisés pour les traiter».

Un troisième volet concernera les recherches cliniques, qui porteront notamment sur les éventuels effets secondaires des thérapies. Les procédures mises en place pour cultiver les phages sont en cours de négociation avec Swissmedic. Philippe Moreillon estime qu’en dehors de l’étude Phagoburn, «un premier patient pourrait bénéficier de la phagothérapie d’ici à environ deux ans».

Une seule injection pourrait suffire L’émergence de bactéries résistant aux antibiotiques les remet donc au-devant de la scène. Toutefois, pour que les bactériophages puissent recevoir une autorisation de mise sur le marché, il faut que leur fabrication réponde aux critères très stricts de «bonne pratique de fabrication» et de «bonne pratique des essais cliniques». Les chercheurs ont donc remis l’ouvrage sur le métier. C’est le cas de l’équipe de l’UNIL, qui travaille depuis plusieurs années sur le sujet.

Elle a notamment montré que, chez un animal modèle ayant une endocardite (infection au niveau des valves cardiaques), «les phages, injectés seuls, sont aussi efficaces que les antibiotiques et, quand ils sont associés à ces médicaments, ils ont une efficacité décuplée», précise Grégory Resch. C’est d’autant plus intéressant, sachant que les antibiotiques s’éliminent de l’organisme et nécessitent un traitement de plusieurs jours, alors que «les phages se multiplient dans les bactéries avant de les détruire.

On peut rêver: une seule injection pourrait suffire pour traiter la maladie», selon Philippe Moreillon, vice-recteur de l’UNIL et président du comité de pilotage du projet SwissPhage (lire encadré). Le premier essai clinique européen de phagothérapie, Phagoburn, a démarré en juillet dernier, en France , en Belgique et en Suisse.

Il vise à tester la phagothérapie sur des grands brûlés (particulièrement sensibles aux infections) infectés par le Pseudomonas aeruginosa ou l’Escherichia coli. Le CHUV est partie prenante à ce programme mais, faute de patients infectés par ces bactéries, il n’a pas encore pu démarrer les essais. «L’hôpital est trop propre, dit en riant Philippe Moreillon, ce qui est une très bonne nouvelle pour les patients.» D’autres essais sur l’être humain sont programmés et maintenant, de nombreux pays –dont la Suisse- ont inscrit la lutte contre l’antibiorésistance parmi les priorités de leur politique sanitaire. De quoi accélérer le développement de la phagothérapie.

La première observation a été faite en Inde La capacité de tuer les bactéries des bactériophages a été observée pour la première fois dans les années 1890 par le bactériologiste britannique Ernest Hankin. Travaillant en Inde, il a été surpris de ne trouver que très peu de vibrions du choléra dans les eaux du Gange. Il en a conclu que le fleuve renfermait des «particules» –il ne savait pas qu’il s’agissait de virus– ayant un pouvoir antibactérien. En 1917, le Franco-Canadien Felix d’Hérelle a isolé ces «particules», qu’il a nommées bactériophages, dans les selles de patients infectés.

«Il a constaté qu’en introduisant de grandes quantités de phages dans les puits de villages en Inde, on pouvait éradiquer une épidémie de choléra en deux jours au lieu de sept», explique Grégory Resch, microbiologiste à l’UNIL. Il a donc proposé d’utiliser ces phages en médecine humaine, ce qui a été fait jusqu’à l’arrivée, dix ans plus tard, des premiers antibiotiques.



Véganisme

Publié à 07:47 par fandeloup Tags : monde sur enfants mode animaux solidarité vie
Véganisme

Le Véganisme, un mouvement qui prend de l’ampleur

 Ils ne consomment ni viande, ni volaille, ni charcuterie, ni poisson, ni œuf, ni lait, ni miel. Ne portent ni laine, ni cuir, ni fourrure. Ils se refusent à chasser, à pêcher, à aller aux corridas ou même dans les Marinelands.

En somme, ils excluent toutes formes d’exploitation et de cruauté envers les animaux, que ce soit pour se nourrir ou s’habiller. On les appelle les Végans. Plongez au cœur d’un monde utopique.

Le terme de végan a été créé par Donald Watson en 1944 et son principe se fonde sur la compassion. Décider d’être végan, c’est assumer un mode de vie axé sur le respect de la vie de tous les être dits « sensibles ». Les végans ne doivent pas être confondus avec les végétariens ; les végétaliens, eux, sont une branche des végans. Contrairement aux autres formes de régimes, le véganisme est beaucoup plus stricte.

Si vous devenez végan, il vous faudra renoncer aux vêtements en cuir, laine, ou fourrure car ils proviennent d’animaux. Mesdames, vous devrez jeter tous vos produits de beauté, ces derniers étant fabriqués à l’aide de molécules animales. C’en est fini également des distractions mettant en scène les animaux ; autrement dit oubliez les cirques, les corridas, et autres Marinelands. Enfin, fini les bonnes entrecôtes, steaks, poulets, charcuteries… ainsi que les œufs, le lait et même le miel !

Il faudra vous astreindre à un régime sec. Ses adeptes sont de plus en plus nombreux à travers le monde Chaque année et depuis 10 ans a lieu la « Veggie Pride » qui a pour but d’exprimer « ‘publiquement l’existence des personnes qui refusent de manger les animaux et leur solidarité avec les victimes de l’exploitation animale et de l’abattage et de la pêche. » Les végans assurent que ce mode de vie est source de nombreux bienfaits, non seulement pour les animaux, mais aussi pour la santé des hommes, la faim dans le monde, ou encore l’écologie.

Mais cette philosophie a récemment été remise en cause par bon nombre de professionnels du corps médical qui alertent sur les possibles carences dont pourraient souffrir ses initiés et mettre à mal leur santé. Alors que l’Association américaine de diététique et des Diététistes du Canada, assurent qu’un « régime végétalien bien planifié, de même que d’autres régimes végétariens, est adapté à tous les stades de la vie, y compris en cours de grossesse, pendant l’allaitement, la petite enfance, l’enfance et l’adolescence. »

L’Institut national de prévoyance et d’éducation pour la santé affirme, quant à lui, que « ce type de régime rend très difficile la satisfaction des besoins en acides aminés indispensables, en fer, en calcium et en certaines vitamines. Le suivi d’un régime végétalien à long terme fait courir des risques pour la santé, notamment pour les enfants. »



L’Arctique

Publié à 18:45 par fandeloup Tags : photo bonne sur photos centre neige paysage
L’Arctique

L’Arctique verdit : il se couvre de plantes à un rythme inattendu

On ne peut pas dire que l’Arctique ne nous ait jamais habitués à une végétation luxuriante. Les étendues de glace, les plaines balayées par le blizzard, forment un environnement peu propice aux plantes.

Les seuls végétaux capables de résister à ces froids extrêmes sont en général des arbustes de très faible hauteur. Or avec le réchauffement climatique, beaucoup plus intense dans les régions polaires que sur le reste de la planète, les petits arbustes se mettent à pousser, à croître et à se multiplier à un rythme effréné.

Du jamais vu pour les chercheurs qui viennent de faire cette découverte. Une nouvelle qui va faire le bonheur des botanistes mais qui présente des risques majeurs. Nous allons voir pourquoi. Une équipe de scientifiques de l’Université d’Edinburgh a étudié 117 sites différents dans la toundra Arctique, relevant plus de 60 000 lectures de données différentes.

Différents caractères végétaux ont été enregistrés, notamment la hauteur, la surface foliaire, la teneur en azote, le caractère ligneux et la permanence de l’écologie. Leurs recherches viennent de faire l’objet d’une publication dans la revueNature.

Des plantes plus grandes Les chercheurs ont d’abord observé deux phénomènes conjoints : les plantes existantes prennent de la hauteur d’une part, et d’autre part, de nouvelles plantes, plus grandes, s’installent dans leur voisinage. Selon les scientifiques, ces changements dans l’écosystème se sont produits rapidement au cours des 30 dernières années.

Les botanistes polaires expliquent le phénomène en avançant que les plantes plus hautes ont tendance à retenir plus de neige. De ce fait, la neige supplémentaire forme un tapis isolant sur le sol, sous les plantes. Le gel devient plus tardif laissant le temps aux végétaux de pousser.

« Nous avons constaté que l’augmentation de la taille ne s’est pas produite sur quelques sites seulement, mais presque partout dans la toundra », explique l’une des chercheuses, Anne Bjorkman du Senckenberg Biodiversity and Climate Research Centre (BiK-F) en Allemagne.

Elle ajoute :

« Si les plantes plus grandes continuent d’augmenter au rythme actuel, la hauteur de la communauté végétale pourrait augmenter de 20 à 60 % d’ici la fin du siècle. »

Il s’agit a priori d’une bonne nouvelle. Mais en réalité, il faut se souvenir que 30 à 50 % du carbone du sol mondial est piégé dans le pergélisol de l’hémisphère Nord. Tout ce qui modifie l’équilibre écologique pourrait libérer une quantité importante de dioxyde de carbone et de méthane dans l’atmosphère. Sur l’île d’Ellesmere, à près de 80 degrés nord dans l’Arctique canadien, Salix arctica est l’espèce d’arbuste dominante dans cette oasis polaire du Haut-Arctique.

 D’autres photos sont disponibles sur le site de l’équipe de recherche Ce développement de la végétation en Arctique indique que les plantes semblent profiter d’une saison de croissance qui n’est plus aussi froide ou aussi courte que par le passé. Les chercheurs ont noté une augmentation de la hauteur des plantes indigènes de l’Arctique, ainsi que la propagation d’autres plantes plus hautes, comme le foin d’odeur printanier – qui s’est répandu furtivement des basses terres d’Europe vers certaines régions d’Islande et de Suède. Effet de rétroaction et accélération du réchauffement

Les scientifiques notent également une conséquence inattendue du développement rapide de cette végétation. En effet, en plus d’emprisonner davantage de neige, les plantes qui poussent la tête au-dessus de la ligne de neige assombrissent l’ensemble du paysage de l’Arctique, ce qui, à son tour, emprisonne davantage la chaleur du soleil.

« Bien qu’il y ait encore beaucoup d’incertitudes, les plantes de la toundra plus hautes pourraient alimenter le changement climatique, tant dans l’Arctique que sur l’ensemble de la planète », déclare Anne Bjorkman à la BBC. Comme d’autres études l’ont montré, à mesure que le pergélisol commence à fondre dans les régions septentrionales de la planète, nous pourrions assister à une amplification importante des rejets de gaz à effet de serre.

Au fur-et-à-mesure que la planète se réchauffe, cela crée encore plus encore d’alertes – un véritable effet de rétroaction. D’autres recherches seront nécessaires pour déterminer exactement comment ces plantes plus hautes contribueront au changement climatique, mais c’est certainement un facteur supplémentaire à prendre en compte dans nos modèles de prévision – et cela devrait nous donner une idée plus précise de l’ampleur avec laquelle nous altérons les écosystèmes de la planète.

« Quantifier le lien entre l’environnement et les caractéristiques des plantes est essentiel pour comprendre les conséquences du changement climatique, mais de telles recherches se sont rarement étendues à l’hémisphère Nord, qui abrite les écosystèmes de toundra les plus froids de la planète », explique l’une des membres de l’équipe, la géoscientifique Isla Myers-Smith de l’Université d’Edimbourg au Royaume-Uni.

« C’est la première fois qu’une étude à l’échelle biologique est menée pour aller à la racine du rôle critique que jouent les plantes dans cette partie de la planète qui se réchauffe rapidement. »



oiseaux

Publié à 17:59 par fandeloup Tags : pensées vie mer sur nature oiseaux
oiseaux

Dans ma tête il y a des oiseaux qui volent, qu’ils sont beaux. Il y a la mer, qui se jette doucement sur la terre. Il y a le soleil, qui me réchauffe et m’émerveille. Il y a des nuages, qui passe comme un présage. Il y a du sable, pour ancrer mes souvenirs stables. Dans ma tête il y a des millions de pensées , de la nature et des vers par milliers. Il y a de la poésie, et aussi de la vie.



Emmène moi

Publié à 17:28 par fandeloup Tags : moi vie
Emmène moi

Emmène moi dans ton paradis, la où il n’y a pas d’ennuis, la où la guerre n’existe pas, la où les chimères n’y sont pas. Emmène moi loin d’ici, main dans la main allons y, ensemble pour affronter la vie, tous les deux donnons nous l’envie. Emmène moi loin de tout, ensemble pour faire les fous, dis-moi des mots doux, et puis allons y laissons tout derrière nous.



loups

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : douceur
loups

Ma main glisse, le long de ta fourrure, d’un simple murmure, mes doigts se plissent. J’aime ta douceur, comme une chevelure, entrer dans ton cœur comme une caresse pure. Tu aimes cette tendresse, malgré ton humeur, c’est ta faiblesse, je connais ta peur.



campagne

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : aimer sur
campagne

Parcourir les champs, aimer la campagne, s’allonger sur la paille, s’endormir doucement sous le soleil d’été



faire

Publié à 16:14 par fandeloup Tags : douceur
faire

Faire le bien partout tour à tour. Donner de la douceur, pour réchauffer tous les cœurs. Être la paix intérieure qui viendra te dire que tu es le meilleur.



écrire

Publié à 15:47 par fandeloup
écrire

J'écris, j'écris encore, j'écris sans cesse pour te revivre, pour oublier la tristesse .Je sillonne mes recueils à l'encre de mes yeux.J'existe sans exister,mon cœur, mon esprit témoignes de mon passage... de mes écrits..Je crie, je crie encore, je crie sans cesse d'une sourde voix, d'un cœur en tristesse de te connaître sans t'entendre, sans te voi,r de t 'adorer infiniment sans te percevoir



loups

Publié à 15:13 par fandeloup Tags : monde sur
loups

Nés sous la même étoile d'été Bercés par la lune...Sa clarté sur les pénombres, tout un monde à mimer



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