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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Iréna SENDLER 1942

Publié à 17:37 par fandeloup Tags : maison anniversaire jardin chien film message prix femme fond enfants sur monde
Iréna SENDLER 1942

Regardez cette femme! Ne l'oubliez jamais!

Iréna SENDLER 1942 Récemment décédée à 98 ans. Elle demanda pendant la 2ème guerre mondiale à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier, serrurier. Elle avait une motivation bien particulière. Elle connaissait les plans d'extermination des nazis envers les juifs, elle était Allemande.

Irena a caché des enfants dans le fond de sa boîte à outils qu'elle transportait à l'arrière de son véhicule ainsi qu'un grand sac (pour les enfants plus grands). Elle avait aussi un chien à l'arrière qu'elle a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlaient à l'entrée et à la sortie du ghetto. Les soldats ne pouvaient rien contre le chien qui couvrit en fait le bruit que pouvaient faire les enfants.

Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi. Elle fut arrêtée et les nazis lui brisèrent les jambes, les bras et la torturèrent très sévèrement Irena garda tous les noms des enfants qu'elle avait sortis du Ghetto et garda ces noms dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre, au fond de son jardin derrière sa maison. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles; mais la plupart avaient été gazés. Les enfants qui avaient été sauvés ont été placés dans des familles d'accueil ou ont été adoptés.

L'année dernière elle a été proposée pour « le prix Nobel de la Paix », mais n'a pas été retenue; ( c'est Al Gore qui fut primé « pour son film » sur le « réchauffement de la planète »!!! ) En sa mémoire, 63 ans plus tard, je participe à cet anniversaire, très modestement en faisant suivre ce message.

J'espère que vous ferez de même. Nous espérons que ce courriel sera lu,par plus de 40 millions de personnes dans le monde entier !

horreur

Publié à 15:40 par fandeloup Tags : place pouvoir enfant sur vie animaux
horreur

Un feuille format A4. C'est l'espace dont dispose une poule

Affaire Alexia

Publié à 15:32 par fandeloup Tags : maison sur chez belle femme mort histoire jeune presse
Affaire Alexia

Affaire Alexia : le beau-frère et les parents veulent une confrontation avec Jonathann Daval

 Il est celui que Jonathann Daval accuse d'avoir tué sa femme, Alexia : Grégory Gay, le beau-frère de la jeune femme de 29 ans, retrouvée morte dans un bois fin octobre 2017, veut une confrontation.

La demande a été formulée par Me Portejoie, l'avocat de Grégory Gay et de son épouse Stéphanie, la sœur d'Alexia, précise ce jeudi notre confrère de L'Est républicain.

"J’en ai marre de les laisser mener la danse, il est grand temps de mettre les points sur les i", déclare Grégory Gay au quotidien régional. Confronter les différentes versions de Jonathann Daval

Il s'agit surtout de pointer les contradictions de Jonathann Daval et de confronter ses versions à celle du beau-frère d'Alexia. Principal suspect du meurtre, mis en examen fin janvier, le mari de la victime ans a changé plusieurs fois son récit pour finir par incriminer Grégory Gay, fin juin, lors d'une audition chez le magistrat instructeur.

Le 27 juin, dans le bureau du juge, Jonathann Daval minimise son rôle dans la mort de son épouse, dont il s'accusait encore du meurtre quelques mois plus tôt. Et il charge sa belle-famille et notamment son beau-frère Grégory.

Le mis en examen explique que lors d'une soirée raclette en famille, le 28 octobre, Alexia aurait eu une crise d'hystérie. La jeune

 

est impossible à calmer, et le ton serait monté entre la jeune femme et sa sœur, Stéphanie.

Quand on a pris connaissance des accusations de Jonathann Daval début juillet, on a traité cette dernière version par le dédain, tant c’est une histoire invraisemblable. Me Gilles-Jean Portejoie, avocat de Grégory Gay A l'étage de la maison familiale, Stéphanie et son époux Grégory essayent de calmer Alexia. Selon le récit de Jonathann Daval, son beau-frère aurait alors avoué avoir étranglé Alexia.

"Quand on a pris connaissance des accusations de Jonathann Daval début juillet, on a traité cette dernière version par le dédain, tant c’est une histoire invraisemblable. Mais cette thèse a été reprise en boucle dans la presse. Je ne critique pas mes confrères de la défense, mais pour nous, le temps du mépris est passé, et le temps de la réaction est arrivé", commente Me Gilles-Jean Portejoie, l'avocat de Grégory Gay.

Il appartient désormais au juge d'instruction d'apporter une réponse positive, ou non, à la demande de confrontation des parties civiles.

LES PARENTS D'ALEXIA DAVAL VEULENT AUSSI UNE CONFRONTATION

Selon L'Est Républicain, les parents d'Alexia Daval ont également demandé ce jeudi après-midi à être confrontés à Jonathann Daval. Leur gendre "met également en cause mes clients, les accusant, au mieux, d’avoir été les témoins oculaires du drame, au pire, d’en avoir été les complices.

À partir de là, il est logique que M. et Mme Fouillot veuillent également être confrontés à celui qui, après s’être accusé du meurtre, tente aujourd’hui de sauver sa peau en éclaboussant la famille tout entière", confie leur avocat Me Jean-Marc Florand. Le juge d'instruction a été officiellement saisi de cette demande ce jeudi après-midi.

jugement

Publié à 14:54 par fandeloup Tags : animal vie blog france homme sur mort cheval animaux nature coup pouvoir
jugement

Sortir du lieu de la battue, s'introduire dans un champ entièrement clôturé, confondre deux animaux aux proportions radicalement distinctes, tirer sur une jument, annoncer une "erreur d'appréciation"... Aujourd'hui a lieu le procès pour Olympe morte dans d'atroces souffrances, nous sommes partie civile.

Aujourd'hui se poursuit le jugement du chasseur ayant brusquement tué la jument Olympe dans son propre champ et déclarant l'avoir confondu avec un sanglier.

One Voice avait porté plainte le 24 janvier 2018.

Un tir mortel hasardeux lors d'une battue aux sangliers Le 20 janvier 2018, trois chasseurs s'adonnaient à une battue aux sangliers à Valflaunès dans l'Hérault. Pris dans la traque abominable, un des chasseurs est entré dans un enclos privé et a fait partir la balle de sanglier.

La taille de l'animal tué ne l'ayant pas surpris sur le coup, il s'est rendu compte trop tardivement qu'il s'agissait en réalité d'une jument, prénommée Olympe. Olympe se reposait paisiblement dans son champ en présence d'un autre cheval, avant d'être pris pour cible par erreur par un chasseur.

Cela faisait 16 ans qu'elle vivait avec la même famille, très affectée par sa mort soudaine et brutale. La balle l'a atteinte dans le cou, la faisant partir dans d'atroces souffrances.

La fameuse "erreur d'appréciation", c'est certainement la même que tout chauffard peut se voir appliquer après un accident mortel, non? Ca marche moins bien? ah!

 La chasse, ce « loisir » menaçant toute forme de vie Pouvoir sortir du lieu de la battue puis s'introduire dans un champ entièrement clôturé pour au final confondre deux animaux aux proportions radicalement distinctes, fait ressurgir de nombreuses questions liées à la sécurité lors de la chasse.

Le nombre de victimes animales, voire humaines qu'implique cette pratique désuète est aberrant. Les propriétaires d'Olympe craignaient déjà depuis quelques temps qu'un tel accident ait lieu, puisque ce n'est pas la première fois que des chasseurs pénètrent sur leur terrain privé.

Angoissés à l'idée que le pire puisse arriver, ils avaient averti à plusieurs reprises les chasseurs de la présence d'Olympe et de la proximité du champ avec les habitations. Le deuxième cheval est heureusement sain et sauf. Rien n'a pu empêcher le chasseur d'entrer dans le terrain où se trouvait Olympe, avant de l'abattre d'un barbare coup de fusil.

Encore une fois, le partage des terrains en période de chasse a montré ses limites et a fait apparaître les conséquences cruelles et destructrices de la chasse. Préserver les animaux dans leur environnement La pétition lancée par One Voice vise à fournir une réforme radicale de la pratique de la chasse en France, en attendant de pouvoir l'interdire totalement, afin de protéger au mieux l'ensemble des animaux (victimes chassées et accidentelles) et participer ainsi à leur sauvegarde indispensable au sein de la nature.

Pour Olympe mais également pour chaque victime abattue, nous devons faire en sorte qu'il n'y ait plus d'animaux qui tombent sous les coups de l'Homme, dans un seul but lucratif.

Rejoignez-nous dans cette demande adressée au Président de la République et signez !

au chômage

au chômage

Hella, aide-soignante en Ehpad, au chômage depuis son témoignage

« Je paie les pots cassés parce que j’ai osé parler, mais depuis la parole se libère, en ce sens j’ai gagné », nous confie Hella, deux semaines après la diffusion d’Envoyé Spécial.

 L’aide-soignante a perdu un CDI au lendemain de la diffusion de l’émission consacrée aux dérives dans les maisons de retraite. Elle oscille entre désarroi et combativité. Au téléphone, ce jeudi, Hella Kherief semble déterminée. Mais à d’autres moments, cette jeune maman de deux enfants admet se sentir désemparée.

Depuis deux semaines, plus aucune maison de retraite ne veut l’embaucher. Non pas que l’aide-soignante ait manqué à ses obligations, ni même qu’elle ait perdu son sans-froid avec un des résidents, mais au contraire parce qu’elle a dénoncé à visage découvert, dans un reportage télé, les conditions de vie dans certains Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes).

« Il faut la soutenir »

A 29 ans, cette Marseillaise est en effet l’une des rares à avoir accepté de témoigner sans floutage, dans un reportage d’Envoyé Spécial sur les dérives des maisons de retraite privées. Couches rationnées, draps souillés, solitude, abandon pendant des heures, manque criant de personnel…

Le documentaire, diffusé le 20 septembre sur France 2, a eu l’effet escompté et a choqué nombre de téléspectateurs. Mais alors qu’une prise de conscience a déferlé sur les réseaux sociaux, les directeurs d’établissements semblent avoir décidé de black-lister la jeune lanceuse d’alerte.

Fin de vie en Ehpad :

«Ma mère a souffert un mois pour rien» « Elle a osé parler […] pour dénoncer l’insoutenable. Elle a mis des mots sur l’indicible. […] Mais voilà ce qu’il se passe aujourd’hui quand on ose lancer l’alerte. Il faut la soutenir, elle demande simplement à continuer son travail d’aide-soignante », implore sur Facebook la journaliste qui a recueilli son témoignage. Julie Pichot craint en effet que Hella Kherief ne puisse plus exercer son métier, simplement parce qu’elle a voulu améliorer les choses. Son message a été partagé près de 6000 fois sur le réseau social mais la Marseillaise est toujours au chômage. Une plainte aux Prud’hommes Le lendemain de la diffusion du reportage, l’établissement marseillais dans lequel elle venait de signer un CDI l’a appelée. Son supérieur lui a demandé de prendre les gardes de nuit du week-end mais lui a dit de l’attendre le lundi matin avant de rentrer chez elle, pour « faire le point sur la période d’essai qui se termine », nous rapporte-t-elle.

« Là je n’ai rien vu venir, j’étais tellement contente d’avoir ce CDI, j’étais hyper impliquée », se souvient-elle. Puis le lundi, « quand je rentre dans le bureau de mon cadre de santé, je vois qu’il est triste… Quand il me dit que je suis licenciée, je tombe des nues, je deviens pâle, me mets à trembler… Je lui demande pourquoi maintenant, alors que ça fait deux ans que je fais des missions dans cet établissement, que j’adore mes collègues et que mon supérieur m’avait vendu du rêve en me donnant le CDI, en me disant que j’étais un de ses meilleurs éléments… » Hella Kherief a encore du mal à y croire, tant elle ne s’attendait pas à une telle fin.

« Puis je lui ai demandé si c’était par rapport à l’émission. Il était gêné, m’a répondu que c’était le directeur qui avait décidé, que j’étais en période d’essai et donc qu’ils n’avaient pas à se justifier. J’ai insisté sur l’émission, il n’a pas répondu, a haussé les épaules. »

Face à l’embarras de son cadre de santé, la jeune femme a demandé un entretien avec le directeur, qui ne l’a jamais reçue.

« Ce que je ne comprends pas c’est que j’avais déjà témoigné dans des émissions », s’interroge-t-elle. Mais aucune n’avait eu la portée médiatique d’Envoyé Spécial.

« Tous mes collègues étaient choqués, tout le monde sait que c’est par rapport à l’émission », estime-t-elle. Ce jeudi soir, la jeune maman d’un garçon de dix ans et d’une petite fille de 9 mois a rendez-vous avec son avocate pour finaliser une plainte contre l’hôpital marseillais qui l’embauchait, qu’elles déposeront aux Prud’hommes. « Je me faisais encore jeter comme une malpropre »

En attendant, elle est au chômage. Plus personne ne semble vouloir l’embaucher. Et à en croire l’une de ses anecdotes, ce n’est a priori pas du fait de ses compétences :

« Après avoir perdu mon CDI, je me suis dit que je n’allais pas me laisser abattre. J’ai appelé la boîte d’intérim et elle avait 4 missions pour moi en maison de retraite. La première commençait le soir-même. Je me suis présentée une heure avant, j’ai vu le personnel soignant qui m’a dit que la direction était en réunion et que je devais attendre. Pas de problème. Une femme sort, s’excuse de m’avoir fait attendre, me dit qu’elle revient et qu’elle va me faire visiter l’établissement ».

« C’est très bien, on va me briefer, ce n’est pas toujours le cas… » se dit-elle alors, avant la désillusion. « Puis elle revient, me regarde, elle re-rentre dans la salle et n’en est jamais sortie… C’est la boîte d’intérim qui m’a appelée pour me dire qu’il fallait partir ! Que finalement ils avaient trouvé quelqu’un d’autre ! »

A ce moment-là, la jeune femme est un peu sonnée. « J’étais épuisée, j’avais travaillé la nuit, le matin je me faisais licencier et le soir je me faisais encore jeter comme une malpropre… J’avais l’impression d’avoir fait quelque chose de très grave. Alors que j’ai juste alerté sur les conditions de vie de certains patients. »

« Je souffre, mais la parole se libère » Et ce n’est pourtant pas le travail qui manque. « Avant, la boite d’intérim me proposait des missions quasiment tous les jours, et aujourd’hui, depuis 2 semaines, plus rien. Pourtant des missions il y en a, c’est la pénurie partout », assure la jeune femme qui a « vraiment besoin de travailler, financièrement mais aussi parce que c’est une vocation »,

 « Je relativise un peu, je reçois beaucoup de messages, des gens qui m’apportent leur soutien. Et surtout je ne regrette pas, en aucun cas, car la parole se libère. Moi je paie les pots cassés mais c’est pas grave, c’est bien que la parole se libère. En ce sens, j’ai gagné ! ». Plus encore si un établissement décidait de montrer l’exemple, et lui proposait un emploi.

ourse slovène

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : société bonne vie moi monde sur nuit place
ourse slovène

Une ourse slovène lâchée dans les Pyrénées, les anti-ours promettent de la «traquer» 

Les opposants se disent déterminés à «enlever les ourses par tous les moyens possibles».  La réintroduction des ourses en Pyrénées-Atlantiques, dénoncée par une partie des bergers, avait été confirmée le 20 septembre par le ministre de la Transition écologique, François de Rugy.

Une ourse capturée en Slovénie a été relâchée ce jeudi matin, vers 9h, dans les Pyrénées-Atlantiques, par hélicoptère, malgré les éleveurs anti-ours qui l'ont guettée toute la nuit, bâtons de berger à la main, organisant des barrages en vallée d'Aspe.

Un deuxième ours devrait la rejoindre prochainement.

«L'opération de réintroduction se poursuivra dans les prochains jours avec pour unique priorité de garantir la sécurité des deux ourses femelles», a annoncé le ministère de la Transition Écologique.

«On a vu l'hélicoptère au-dessus d'Etsaut. Il a fait du vol stationnaire et a posé une cage. On n'a pas vu s'il y avait un ours dedans», avait auparavant affirmé de son côté Olivier Maurin, chef de file des éleveurs béarnais anti-ourses, en annonçant une future «battue d'effarouchement».

Selon l'AFP sur place , aux premières lueurs du jour, un hélicoptère soulevant une cage avec un filin, a pris la direction d'Etsaut dans les montagnes. Une heure plus tard, l'appareil a été vu prenant le chemin du retour, vers Oloron. Le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, qui avait lui-même annoncé la réintroduction d’ours dans l'ouest des Pyrénées, a dénoncé dans le même temps, sur Franceinfo, «les attitudes inacceptables» des personnes «qui se croient autorisées à faire des barrages sur les routes, à me menacer avec des fusils».

Car les opposants, déterminés à «enlever les ourses par tous les moyens possibles» et sur le pied de guerre depuis des semaines, ont amplifié leur mouvement dans la nuit de mercredi à jeudi. Avec des tracteurs et des ballots de paille, bâtons de bergers à la main, ils ont filtré puis barré la circulation sur les routes de la vallée, à la recherche du plantigrade dont la rumeur annonçait l'arrivée imminente.

Répartis sur les points stratégiques comme Bielle, Arette ou le col de Marie-Blanque, ils ont tenté de repérer et arrêté dans la nuit les véhicules susceptibles, selon eux, de transporter un ours.

«Depuis la nuit des temps, les ours ont toujours été là» Au barrage de Sarrance, le maire de la commune, Jean-Pierre Chourrout-Pourtalet, a assuré vouloir «traquer les ours. Moi, j'ai pris un arrêté municipal interdisant aux ours et aux loups d'être sur le territoire de la commune».

Sur une route, une inscription proclame : «La guerre est déclarée. La population est déterminée». «On n'a pas vu la dépose exacte», dit Franck, un manifestant, chasseur, «mais soyez sûrs que dans les prochains jours, il va y avoir du monde dans les montagnes. On va la guetter».

Pour Julien Lassalle, frère du député Jean Lassalle et éleveur à Lourdios Ichère, cette première réintroduction «inspire du dégoût et de l'écoeurement d'être méprisés comme ça».

«Maintenant, l'ours, on veut l'enlever par tous les moyens. Les armes, c'est le dernier moyen».

Au contraire, d'autres bergers se réjouissent : «Depuis la nuit des temps, les ours ont toujours été là, on a toujours cohabité. On ne les voit pas et cela ne change rien à notre vie», souligne Elise Thébault, bergère à Etsaut. «C'est une bonne avancée pour la biodiversité», ajoute un membre - qui ne veut pas être nommé - du groupe Pé Descaous, qui soutient la cohabitation avec les ours, «on s'est toujours adaptés à la vie en montagne, aux intempéries et aux prédateurs et on va continuer».

Détention

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : france sur nuit bande
Détention

Détention de Redoine Faïd : il sera menotté lors de tous ses déplacements

Redoine Faïd, le roi de l'évasion, sera un prisonnier ultra-surveillé à Vendin-le-Vieil.

Le braqueur récidiviste, incarcéré depuis ce jeudi à la prison ultra-sécurisée de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais), sera soumis à des « mesures particulières ».

Des mesures de détention exceptionnelles pour un prisonnier hors normes. Le braqueur Redoine Faïd, décrit comme le roi de l’évasion, va être soumis à des « mesures particulières » durant son incarcération à la prison ultra-sécurisée de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais), où il a été transféré dans la nuit de mercredi à jeudi.

Redonne Faïd a déjà été détenu à Vendin en octobre 2017 le temps de son procès pour le braquage d’un fourgon blindé devant les assises du Nord.

Cette fois, il sera soumis à des « mesures particulières », explique ainsi Wilfrid Szala, secrétaire local FO.

« Il sera menotté et accompagné de plusieurs personnels dans tous ses déplacements. Au parloir, il y aura aussi un dispositif de séparation pour éviter tout contact physique avec son interlocuteur. Les collègues travaillant à l’isolement sont toujours les mêmes, ils ont l’expérience », détaille le reponsable syndical, accueillant « favorablement » ce dispositif.

« Une équipe spécifique va s’occuper de lui, il sera toujours seul, à tout moment, par exemple lors des promenades, dans une cour aux murs bétonnés et au toit grillagé. On sait de quoi il est capable, on sera vigilant. Il y aura aussi sûrement des transferts vers d’autres établissements de détenus de Vendin, pour éviter des connivences », ajoute Grégory Strzempek, secrétaire local UFAP-UNSA.

Transféré dans la nuit de mercredi à jeudi L’administration pénitentiaire ne souhaite pas faire de commentaire sur le dispositif auquel sera soumis celui qui était encore jusqu’à mercredi matin l’homme le plus recherché de France. Le braqueur multirécidiviste, âgé de 46 ans, a été transféré et incarcéré dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 0 h 40, dans cette prison du nord de la France.

« Il est conscient de la situation qui est redevenue la sienne et reste combatif », a assuré son avocat Raphaël Chiche dans une courte déclaration à l’AFP.

« Une fois l’apaisement venu, il sera nécessaire de reposer le débat des longues peines et des mouroirs faisant fonction de prisons », a ajouté l’avocat, qui avait déjà défendu Faïd notamment lors de son procès pour l’attaque d’un fourgon blindé dans le Pas-de-Calais en 2011. Cette prison accueille les détenus les plus difficiles et violents La prison de Vendin-le-Vieil accueille des détenus réputés parmi les plus difficiles et violents. Salah Abdeslam, dernier membre connu du commando des attentats de novembre 2015, a notamment été détenu dans cette prison le temps de son procès à Bruxelles. Redoine Faïd avait été présenté dans la journée de mercredi aux trois juges d’instruction de la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée) de Paris, compétente dans les affaires de criminalité organisée. En vertu du mandat d’arrêt qui le visait, il a été mis en examen notamment pour « évasion en bande organisée », « enlèvement et séquestration en bande organisée », « association de malfaiteurs en vue de la commission de crimes » et pour « transport d’armes ou d’engin explosif », avait détaillé une source judiciaire mercredi dans la soirée.

tristesse

Publié à 09:04 par fandeloup Tags : vie sur société heureux pouvoir demain
tristesse

Rencontre animale impossible

Sur les bords d'une route, un élevage de près de 4 000 porcs, sans que l'on ne puisse apercevoir le groin d'un seul

Les élevages industriels et intensifs sont le reflets d'une société malade qui ne se soucie pas des conséquences sur les êtres vivants détenus dans ces camps concentrationnaires, d'enfermement forcé et de privation de liberté élémentaire.

La vie de ces cochons n'a pas de sens. Ils attendent tous les jours au même endroit, cloîtrés dans des bâtiments artificiels sans avoir pu se déplacer, sans pouvoir explorer et se confronter à la vraie vie...

Les cochons sont des êtres qui explorent, qui aiment découvrir leur environnement. Dans la vraie vie, les cochons se trouvent un endroit pour dormir, un endroit pour manger, un endroit pour jouer, un endroit pour faire leur excrément, etc.

Dans ces hangars, tout se passe au même endroit, dans un petit espace. Ils sont obligé de dormir là où ils défèquent. Ils sont les uns sur les autres. C'est un peu comme si nous vivions à plusieurs dans un ascenseur.

Dire que l'on continue à construire ces centres de détresse et de souffrance physiques et morales.  Nous les consommateurs, nous avons le pouvoir de faire cesser cet enfer suivant nos achats alimentaires... Si nous voulons demain être toutes et tous heureux, agissons pour ceux et celles qui sont dans le malheur

tristesse

Publié à 08:32 par fandeloup Tags : divers sur enfants mort
tristesse

Audric, 4 ans, était mort après une opération des amygdales

La clinique avait autorisé la sortie d’Audric Chassaing, 4 ans, après une opération des amygdales. 

Une clinique de Vichy est jugée ce jeudi pour homicide involontaire.

L’établissement conteste toute faute.

Le tribunal de Cusset (Allier) va examiner une affaire douloureuse ce jeudi après-midi : la mort d’un enfant de 4 ans.

Le petit Audric est décédé le 25 octobre 2012, le lendemain de son opération des amygdales à la clinique La Pergola à Vichy.

Cet établissement est poursuivi, en tant que personne morale, pour homicide involontaire. Il lui est essentiellement reproché d’avoir laissé sortir trop tôt le tout jeune patient, et le fait de ne pas avoir possédé à l’époque de brassard pour prendre la tension adaptés aux enfants.

La clinique conteste toute faute, mais sera l’unique prévenu. Le chirurgien, qui avait été mis en examen le 30 janvier 2015, est en effet décédé pendant l’instruction, en juillet 2015.

Le jeune garçon - en parfaite santé avant l’opération - a été victime d’une « hémorragie cataclysmique » au niveau du foyer opératoire, survenue le lendemain de l’intervention.

« Il existait des complications postopératoires réelles, pouvant correspondre au risque hémorragique largement connu de la communauté médicale. Ce risque exigeait une surveillance toute particulière du patient Audric », ont estimé les juges d’instruction.

« En laissant sortir ce gamin, on a signé son arrêt de mort »

Insistant sur le défaut de brassard tensionnels appropriés, ils ajoutent dans leur ordonnance de renvoi : « L’absence de vérification artérielle a occulté toute possibilité de découvrir une éventuelle anomalie qui dans cette hypothèse aurait retardé la sortie de l’enfant. » L

’avocat des parents de l’enfant en tire une conclusion plus radicale.

« En laissant sortir ce gamin dans ces circonstances, on a signé son arrêt de mort », estime Me Gilles-Jean Portejoie, qui avait bataillé pour obtenir un procès même après les réquisitions de non-lieu prises par le procureur. De son côté, la clinique a admis l’absence de brassards adaptés aux enfants , un matériel rapidement acquis après le drame. Mais elle conteste tout manquement ayant entraîné la mort d’Audric et tout lien - même indirect - entre la sortie de la clinique et la survenue du décès.

 

hmmm

Publié à 07:59 par fandeloup Tags : merci
hmmm

On avait vachement faim... Merci Mam !