sourire sur société afrique monde prix animaux animal
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ces lionceaux sont élevés pour être tués par des touristes fortunés
Une association de défense des animaux est montée au créneau pour dénoncer des fermes sud-africaines qui élèvent des animaux, parfois en danger, dans le seul but d’être chassés par des touristes.
Le tabloïd britannique The Sun a publié plusieurs clichés d’animaux élevés dans le seul but d’être chassés une fois adultes par des touristes.
Ces animaux sont élevés par la société Imberba Rakia, qui organise des safaris de chasse en Afrique du Sud. Sur son site, on découvre que l’on peut chasser des oryx, des zèbres, des impalas ou encore des autruches et des babouins.
Un safari de sept jours, avec cinq chasses à l’arc, coûte par exemple entre 2.550€ et 3.250€ par chasseur. Les prix varient pour le reste entre 200€ et 13.000€ alors qu’il est également possible de chasser des animaux en danger, comme des lions, des tigres et des rhinocéros.
« Imberba Rakia nourrit des tigres, des lions et d’autres félins qui sont ensuite tués par des chasseurs pour le plaisir », confie au Sun Eduardo Goncalves, qui milite dans une association se battant pour bannir les trophées de chasse.
« L’industrie des fermes de félins est en plein boom en Afrique du Sud. C’est un commerce dégoûtant qui exploite cruellement les animaux sauvages du berceau à la tombe »
. Il affirme que les mères sont (ré)inséminées le plus rapidement possible après chaque accouchement dans une optique de productivité avant d’être tuées lorsqu’elles deviennent trop âgées pour procréer. Leurs os sont alors revendus à des « dealers louches » qui les utilisent pour créer de faux médicaments.
Eduardo Goncalves souhaite que les pays du monde imposent un moratoire qui empêche les citoyens de ramener ces trophées de chasse dans leur pays.