Fandeloup

Je t'ai cherché cette nuit. J'ai raclé tout au fond de moi, à la lumière des étoiles. Comme ça, pour voir. Comme on joue au poker. Une trace de ta présence. Une absence. Je n'ai plus rien trouvé. Je t'ai perdu.

Je sais que ce moment est charnière. Je sais qu'il y aura un avant et un après maintenant. Et pourtant, quelque chose d'évident. Comme quelque chose qui était déjà là, mais qui attendait que je sois prêt. Qui attendait que j'ai grandi. Alors, merci à ce chemin qui m'a vue pousser. Qui m'a vue devenir moi, pas à pas.

Il y a des êtres qu'on aime instinctivement. Au premier regard, au premier contact. Pour leurs forces et leurs faiblesses. Leur ombre et leur lumière. Pour tout ce qu'on a su d'eux, dès la première seconde à leurs côtés. Pour la douceur de leur présence qui nous effleure, inexplicablement. Il y a des êtres qu'on aime et puis c'est tout.

J'ai oublié la peur. Je m'en suis délestée. Morceau par morceau. Pas après pas. Dans chacune de mes chutes où je me suis relevée, j'en ai abandonné des traces. Elle n'est qu'un frein à la vie qui vibre. À la vie qui vaut la peine d'être vécue. Elle est le chien de berger qui empêche de sortir du rang pour être enfin soi-même. Elle empêche la raison d'être. J'ai abandonné la peur. Cette illusion.

Le temps est mon ennemis il passe mais rien ne bouge la solitude et l'ennuie m'envahis Des larmes cachées montent doucement J'aimerais les retenir , les stoppées Elle submergent mon cœur meurtri Il se noie et ne veut pas se battre Il ne veut plus souffrir , il le supporte plus Lui qui voulais donner amour et sérénité Maintenant il vas se l'interdire Faut le laissé en paix pour de bon Car à chaque fois les cicatrices sont de plus en plus durs à se refermer Et voilà les larmes coulent .De toute façon elles arrivent toujours à leurs fin Elles gagnent à tous les coups A quoi bon lutter cela ne sert à rien

Aux temps anciens, les animaux parlaient aux hommes.

Une vieille grand mère vivait dans son tipi et entretenait de bonnes relations avec Iktomi, une araignée qui avait élu domicile en haut du tipi, et construit une immense toile. Et à chaque fois que des enfants venaient rendre visite à la grand mère celle-ci devait leur interdire de toucher à la toile d’Iktomi car c’était la maison de l’araignée. Un jour, Iktomi devait quitter le tipi, et elle s’adressa à la grand mère, la remercia d’avoir protégé sa maison aussi longtemps et lui dit : « Pour te remercier je vais te faire cadeau de ma toile, qui va t’aider à piéger les mauvais rêves. Ils seront attrapés au centre de ma toile et brûlés aux rayons du soleil. Ajoutes des plumes, symboles des oiseaux qui lient le monde des hommes et le monde des esprits, et les bons rêves redescendront par les plumes pour aider le rêveur »

On à tous en soi ce besoin de courir , libre , aux quatre vents , simplement pour se remémorer que nous sommes issus du vent de la liberté et de la lumière ...

J'ai lu un commentaire , sur l'amour , qui disait que cela fait mal..... Ce qui fait mal dans l'amour n'est pas l'amour évidemment , mais ce besoin de posséder , l'amour se doit d'être offert librement et d'être reçu librement en accord avec les âmes . Aimer , c'est offrir à l'autre sans attente de retour... Simplement pour aimer....

Ne laisse pas le jugements des autres détruire tes rêves , tu es le seul à pouvoir choisir et aller de l'avant pour réaliser tes rêves. Maître de ton destin ! Voila ce que tu es !

Ne te laisse pas berner , un jour le soleil brillera à nouveau dans ta vie, ce n'est qu'une question de temps.