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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Haute-Loire : une centaine de vautours dévore une vache à Saugues
Les faits se sont déroulés lundi 1er juin, dans le village de Saugues, en Haute-Loire. Une des vaches du troupeau du Gaec de Pruneloux a été retrouvée morte. Une centaine de vautours se trouvait sur elle.
Pauline Hugony reste encore sous le choc. Comme tous les matins, à cette période de l'année, lundi 1er juin à 8 h 30, elle va nourrir ses vaches de son exploitation à Saugues, en Haute-Loire. Ses 45 vaches laitières, des Montbéliardes, ont pris leur quartier d'été et certaines d'entre elles sont prêtes à vêler.
"Aux alentours de 10 heures après avoir pris un café, on a vu des ombres au sol, raconte Pauline Hugony. On a vu que c'étaient des vautours. On les a suivis et ils étaient autour de nos vaches. Il y avait sept vautours sur une de nos vaches. On est arrivés à les faire partir. Quand on s'est approchés, la vache était encore chaude".
Une centaine de vautours
La vache était pleine de 8 mois. L'agricultrice a donc appelé les gendarmes, les chasseurs et un agent de la faune sauvage. Le lendemain, une vingtaine de personnes est venue compter les vautours qui étaient toujours près de la prairie, ils étaient une centaine selon Pauline Hugony.
"L'équarisseur est venu enlever la vache seulement hier (vendredi). Les vautours continuaient de venir autour de la vache". "On ne dit pas qu'ils ont tué notre vache, elle devait être en train de vêler et ils ont dû profiter de ce moment pour s'attaquer à elle. Il y avait plein de coups de griffes. Elle saignait encore donc elle ne devait pas être morte quand ils se sont attaqués à elle". "Ce ne sont pas des prédateurs, ce sont des nécrophages" Il s'agirait de vautours fauves. Certains d'entre eux viendraient d'Espagne selon la ligue de protection des oiseaux de Haute-Loire. "Chaque été, il y en a. Ils viennent des gorges du Tarn ou d'Espagne. Ce ne sont pas des prédateurs, ce sont des nécrophages.
Les vautours sont incapables d'attaquer. Ils sont trop lents avec leurs ailes, s'ils s'attaquaient à un animal vivant, ils ne pourraient pas s'envoler", explique un représentant de la LPO Haute-Loire. "On sait qu'ils mangent les placentas, mais pour qu'ils consomment une proie, il faut que plein de conditions soient remplies. Il faut que l'animal ne puisse plus se débattre, qu'il soit mourant". Dans le parc des Cévennes, la ligue de protection des oiseaux travaille avec les éleveurs. "C'est un moyen d'éviter l'équarissage et de faire ainsi une économie globale de 150 000 euros. Les vautours viennent manger les carcasses d'animaux laissés par les éleveurs". Pour ce qui est des vaches de Pauline Hugony, elles ne sont pas encore retournées dans la prairie.
L'agricultrice s'inquiète et espère que des solutions seront trouvées si d'autres situations comme celles-ci se reproduisent.
Brigitte Bardot s'en prend violemment à Macron et dénonce l’ouverture anticipée de la chasse
Comme Macron se fout de sa gueule et de la nôtre par la même occasion, elle aurait tord de se gêner. Merci Brigitte
Extrait :
"Comment osez-vous lâchement permettre l'ouverture de la chasse, deux mois avant celle qu'autorise la loi européenne ? En pleine période de reproduction, c'est scandaleux ! », dénonce la fervente défenseure des animaux. « Votre ambition démesurée et votre outrecuidance vous privent de toute humanité », cingle encore Brigitte Bardot, épinglant un chef de l'Etat « fossoyeur des animaux».
Ce décret « relatif à la maîtrise des populations de grand gibier et de leurs dégâts » est censé permettre, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire, d'aider à « la maîtrise des populations de grand gibier et notamment du sanglier », à l'origine de « dommages agricoles en hausse », d'une valeur estimée à 30 millions d'euros par an, précise 20 Minutes. Comme le prévoit le code de l'environnement, les « périodes d'ouverture générale » de la chasse sont comprises entre septembre et février. Des exceptions sont toutefois prévues pour certaines espèces, comme le sanglier, le chevreuil, le daim et le renard.
Ces gibiers peuvent faire l'objet de chasses anticipées dans certains départements dès le 1 er juin (sur arrêt préfectoral), explique CheckNews. Pétition Depuis la fin du confinement, le gouvernement a publié plusieurs textes sur l'organisation et la reprise de la chasse. En s'appuyant sur les lois sur l'état d'urgence sanitaire, il a notamment pris ce décret du 18 mai, qui permet notamment de raccourcir les délais de publication des arrêtés préfectoraux de vingt à sept jours. En cause, le ralentissement des procédures liées à la crise sanitaire du Covid-19, empêchant les préfets de publier les arrêtés dans les temps.
Ces délais raccourcis ne seront en vigueur que jusqu'au 10 juillet. Après cette date, les anciens délais de vingt jours devront être respectés.
Affaire Maëlys : Nordahl Lelandais veut montrer un visage plus lisse
La Cour de cassation examine ce jeudi deux pourvois formés par le tueur présumé de la petite Maëlys visant à lui permettre d’échapper à des poursuites pour viol et d’annuler une expertise psychologique accablante.
Nordahl Lelandais est mis en examen et écroué pour le meurtre de Maëlys, 9 ans, en marge d’un mariage au Pont-de-Beauvoisin (Isère) en août 2017.
Est-il un prédateur d'enfants? Ou un homme dépassé par ses gestes lors d'une soirée arrosée?
Alors que l'instruction de l'affaire Maëlys est quasiment clôturée et que la menace d'un procès se rapproche, Nordahl Lelandais abat ses ultimes cartes pour présenter un visage plus lisse. La Cour de cassation examine ce jeudi deux pourvois formés par l'ancien maître-chien de 37 ans, mis en examen et écroué pour le meurtre de la fillette de neuf ans en marge d'un mariage au Pont-de-Beauvoisin (Isère) en août 2017.
Mais aussi pour agressions sexuelles sur deux petites-cousines de six et quatre ans. Le premier pourvoi vise à faire annuler les déclarations d'un codétenu, pièce maîtresse de l'accusation pour réclamer des poursuites pour viol.
Or, si Nordahl Lelandais est renvoyé aux assises pour avoir abusé sexuellement de Maëlys en plus de l'avoir tuée, il est passible d'une peine de prison à la perpétuité dite « réelle », c'est-à-dire avec une période de sûreté illimitée.
Coronavirus : «La décélération de l’épidémie se confirme», observe un syndicat de généralistes
Le syndicat MG France a mené une nouvelle enquête auprès de médecins et les résultats communiqués mercredi attestent l’idée d’un virus en perte de vitesse.
Val-d'Isère : il retrouve une marmotte sous le capot de sa voiture ! La marmotte a été probablement attirée par les protections thermiques du moteur fabriquées en cellulose de maïs. Des sifflements typiques du cri de la marmotte ont attiré l’attention de Joël, un guide de Haute Montagne, qui avait garé sa voiture devant chez lui en plein centre de Val-d’Isère. Mardi soir, en ouvrant son capot il y a trouvé… une marmotte ! Les pompiers ont bien tenté d’évacuer l’animal mais ils ont préféré lui laisser passer la nuit dans sa couchette improvisée. Ce mercredi matin, le véhicule a été déplacé au centre technique communal de la Daille. Un arrosage a réussi à faire sortir l’animal qui est allé se réfugier… dans un autre moteur de voiture. L’intervention d’Alain, garde au Parc National de la Vanoise, a finalement permis la capture de l’animal qui a été remis en liberté dans les prés voisins.
Ebola : une «nouvelle épidémie» s’est déclarée en RDC, déjà 4 morts En plus du Covid-19, un deuxième foyer épidémique a été détecté en République Démocratique du Congo, dans la province de l’Equateur.
Le tabagisme quotidien régresse pour la troisième année consécutive En 2019, cette consommation n’a pas baissé pas chez les jeunes hommes, les étudiants et les chômeurs. La baisse de la consommation de tabac a été la plus significative chez les femmes . La baisse de la consommation de tabac se confirme pour la troisième année consécutive. Le baromètre annuel de Santé Publique France constate la plus forte baisse du tabagisme depuis le début des années 2000. Ainsi, en 2019, 30,4 % des Français âgés de 18 à 75 ans déclaraient fumer, au moins occasionnellement, contre 34,3 % en 2014. Pour le tabagisme quotidien, le chiffre a baissé à 24 %, contre 28,5 % en 2014.
Un ingénieur invente le stéthoscope connecté pour des consultations à distance
La crise sanitaire aura permis à Cyrille Lecroq, un ingénieur de Seine-Maritime, de développer, avec des médecins, un dispositif médical imprimé en 3D baptisé SKOP.
Avec cet appareil, les auscultations cardiaques à 10 000 kilomètres sont dorénavant possibles. Avec cet appareil, les auscultations cardiaques à 10 000 kilomètres sont dorénavant possibles.
René Laennec avait inventé le stéthoscope en 1816 en observant des enfants jouer sur une poutre en chêne avec une aiguille. L'ingénieur Cyrille Lecroq de Tourville-les-Ifs, près de Fécamp, a, lui, participé à la bataille contre le Covid-19 pour le moderniser. « Je suis concerné personnellement, car mon épouse est infirmière aux urgences de l'hôpital.
Avec son équipe, ils n'avaient pas assez de stock de matériel de protection pour tenir la crise. Alors, en spécialiste de l'impression 3D, j'ai mis mes machines à disposition », explique l'ingénieur en R & D. « J'ai d'abord fabriqué des visières fermées et hermétiques validées par les médecins. J'ai poursuivi par des adaptateurs pour SAP (Seringue Auto Pousseuse) ».
Avec un corps médical à l'écoute, Cyrille Lecroq s'est vite rendu compte que la crise sanitaire a changé les paradigmes médicaux et que l'impression 3D encadrée « est devenue un élément sauveur ! ». Connecter le symbole de la médecine moderne « C'est après une discussion sur « la difficulté de consulter plusieurs patients atteints par le Covid-19 sans symptômes graves et en convalescence chez eux que j'ai eu l'idée de stéthoscope connecté », se souvient-il.
Comment ausculter régulièrement à distance ? Comment permettre au médecin derrière son écran d'entendre le cœur ? Il fallait un stéthoscope connecté. Des modèles existent, mais au prix d'environ 1500 euros l'unité. « Alors, comment le rendre simple et accessible ? La 3D était, là encore, la solution. Des médecins m'ont rejoint. Ils m'ont expliqué le bruit ou l'absence de bruit définissant parfois des pathologies graves au-delà du simple rythme cardiaque. Ils m'ont aussi envoyé des bandes-son », détaille Cyrille Lecroq. Pour remplacer les pièces métalliques et la membrane du modèle courant, l'inventeur est reparti sur « le principe que la nature fait bien les choses et que rien ne peut remplacer des millions d'années d'évolution.
J'ai reproduit un coquelet en forme d'escargot pour amplifier et nettoyer le son. J'ai imprimé un prototype. Et là, Eurêka ! Le son était propre. Depuis, 19 versions se sont succédé et le projet est abouti ». Maintenant, avec le SKOP, une oreillette et un smartphone, une auscultation en vidéo est possible par téléphone, Skype ou autres réseaux. Obtenir une autorisation de mise sur le marché Les dix médecins qui ont participé à l'étude informelle ont aussi « rendu leur verdict. Les résultats obtenus sont mieux qu'avec le stéthoscope classique.
En trois semaines, c'est exceptionnel ! Alors, nous allons passer à une phase supérieure » déclare Cyrille Lecroq. Ainsi, après un dépôt du concept à l'INPI, la société IMPAC Ingénierie de Montpellier rédige en ce moment un protocole d'essais cliniques afin d'obtenir une certification du dispositif par l'ANSM et une autorisation de mise sur le marché. Avec un fichier Open Source, les demandes sont si importantes que je vais fonder une structure juridique pour pouvoir imprimer le SKOP en gros volume et fournir ainsi une traçabilité et une garantie ». Une vision solidaire et universelle Grâce à un faible coût de fabrication, le prix du SKOP est fixé à 20 euros.
Cyrille Lecroq souhaite à moyen terme, avec la future entreprise et une association, répondre aussi aux problématiques ponctuelles comme des praticiens installés dans des espaces immenses en Afrique ou sur des îles, ou encore pour des ONG lors de conflits ou d'opérations sanitaires avec la possibilité de consulter un cardiologue à 10000 km. « Pour cela, je reçois déjà des dizaines de messages par jour et j'en suis heureux et fier. C'est une belle aventure technologique, solidaire et équitable qui a débuté » s'enthousiasme-t-il. Maintenant, car c'est le nerf de la guerre, l'ingénieur cherche des « fonds privés ou publics. Des Business Angels qui auront la même vision de l'accès à la santé que moi ».
La révélation est terrible…
Puisqu’elle contredit formellement la version officielle. Il semblerait, selon une source avérée, que des athlètes militaires français qui se sont rendus en Chine en octobre 2019, aux Jeux mondiaux militaires organisés fin octobre en Chine, soient ensuite rentrés malades, genre mauvaise grippe, mais comme ils étaient « en forme », ils n’ont pas été diagnostiqués « correctement » et comme personne, à ces dates-là, n’évoquaient de coronavirus ou COVID…. Mais c’était déjà le virus !!! Tous les symptômes décrits par les athlètes l’attestent.
Ensuite l’armée a demandé aux militaires de ne plus rien dire… Il faudra bien qu’un jour les deux ministres de la Santé, le ministre des Armées, le ministre des Affaires Étrangères, le Premier ministre viennent nous expliquer comment eux ne savaient rien jusqu’au 25 février 2020 ! Oui, parce que le 26 février 2020, on annonçait le premier mort français, officiellement cette fois, à l’hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière.
On s’en doute, les dirigeants des États ne mentent que par omission ou par ignorance. Cependant la chronologie des faits, elle ne ment pas.
Jugez plutôt : Les Jeux en question se sont déroulés du au 18 au 27 octobre 2019. Or, le premier cas de COVID-19 remonte en Chine au 17 novembre 2019. Il avait 55 ans et habitait la région du Hubei, en Chine. Cet homme a été diagnostiqué le 17 novembre 2019 avec ce qui, plus tard, allait être appelé le Covid-19, devenant ainsi le « patient 1 » de l’épidémie, d’après des documents officiels consultés par le quotidien hongkongais South China Morning Post, du vendredi 13 mars 2020.
Ah ! Comme l’avait dit Louis Jouvet dans le célèbre film « Drôle de Drame » : “ Moi , j’ai dit bizarre, comme c’est bizarre ! “ Au fait, où ces fameux Jeux avaient-ils lieu en Chine ?
Voilà la réponse : À Wuhan ! NON : ce n’est pas possible !!! Mais quel coïncidence !!! Décidément, chaque jour nous apprend de nouvelles informations qui prouvent s’il en était encore besoin comment les gouvernements s’arrangent pour nous enfumer en permanence. Ils gagneraient vraiment à dire la vérité car celle-ci finit toujours par être connue
. Et, puisque nous en sommes aux précisions, en voici une autre : la championne du monde de pentathlon, Élodie Clouvel, interviewée par la chaine de télévision Loire 7, le 25 mars 2020, a déclaré que « … parce que je pense qu’avec Valentin***, on a déjà eu le coronavirus, enfin le Covid-19 ». *** Valentin est son compagnon et il était aussi à Wuhan en tant qu’athlète de l’équipe de France. La sportive a ensuite confirmé que de nombreux athlètes sont tombés malades suite à ces jeux en Chine. Un autre athlète, mais resté anonyme, a confirmé que beaucoup d’entre eux avait été atteints par le même mal. Vous ne pourrez pas faire croire que tous ces athlètes rentrés en France, malades, même pour certains très malades, n’ont pas suscité quelques interrogations ! Incohérence, incompétence, ignorance, contradiction, prétention et faiblesse, telles sont hélas les inconvénients dramatiques de ce gouvernement face à cette épidémie, mais en y ajoutant le refus de nous dire les choses, cela aggrave son cas.
D’autant que les rares médias, qui osent évoquer ce qui s’est passé en octobre 209 à Wuhan, font comme s’il s’agissait d’un problème en Chine, alors que ce sont bien des sportifs qui ont été ainsi contaminés. Au fait, il ne s’agit pas d’une crise sanitaire mais d’une épidémie sur le plan strictement national et d’une pandémie sur le plan mondial, ce qui n’est pas du tout pareil. Il serait temps d’appeler un chat un chat !!! Et aussi, de lâcher votre sacro-sainte idéologie. Cela prouve que le virus était bel et bien là et que le fait, que des centaines d’athlètes et les délégations de dizaines de pays ont été contaminés et c’était en :
Brésil: Déforestation record en Amazonie depuis janvier
POUMON VERT
Selon des données officielles : 1.202 km2 de forêt ont disparu lors des quatre premiers mois de cette année, soit 55 % de plus que lors de la même période de 2019 20 Minutes avec AFP
Une zone de déforestation illégale en Amazonie, au Brésil en 2018. Une zone de déforestation illégale en Amazonie, au Brésil en 2018.
Le pessimisme est de mise concernant l’Amazonie. Des chiffres laissent en effet entrevoir une nouvelle année noire pour la plus grande forêt tropicale du monde . Selon des données officielles publiées vendredi, la déforestation a ainsi atteint un record entre janvier et avril en Amazonie brésilienne.
Des doutes sur l’action du président Bolsonaro D’après les images satellites de l’Institut brésilien de Recherches Spatiales (INPE), un organe gouvernemental, 1.202 km2 de forêt ont ainsi disparu lors des quatre premiers mois de cette année. Cette déforestation est de 55 % supérieure à celle de la même période de 2019 et la plus élevée sur la période de janvier à avril depuis le début des statistiques mensuelles en 2015.
Surtout, ces chiffres soulèvent des questions sur l’engagement du président Jair Bolsonaro à protéger l’Amazonie, dont plus de 60 % se trouvent en territoire brésilien. 2019, la première année au pouvoir du chef de l’Etat d’extrême droite, avait été marquée par un nombre jamais vu d’incendies qui avaient dévasté d’immenses zones d’Amazonie et attiré un flot de critiques de la communauté internationale sur le Brésil. Au total, la déforestation en Amazonie brésilienne a progressé de 85 % l’an dernier, sur 10.123 km carrés, dépassant le seuil symbolique des 10.000 km carrés pour la première fois depuis le début de ces statistiques en 2008.
L’armée va intervenir La tendance pour cette année paraît inquiétante alors que la saison sèche, qui favorise les incendies, ne commence qu’à la fin mai. Mais le feu n’est de loin pas l’unique responsable de cette situation. Cette destruction de la forêt est en grande partie imputable aux coupes de bois sauvages, à l’extraction minière ou à l’activité agricole sur des terres normalement protégées. Face à une situation alarmante, Jair Bolsonaro a été contraint cette semaine de réagir. Le président a autorisé jeudi l’envoi de l’armée pour lutter contre la déforestation et les incendies en Amazonie, entre le 11 mai et le 10 juin. Mais pour les défenseurs de l’environnement, il serait plus avisé d’augmenter les budgets et les moyens en personnels des agences environnementales, dont certaines ont vu leurs moyens fondre depuis son accession au pouvoir.