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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un écolier de 2 ans oublié sous la pluie dans la cour de récréation
Un enfant de deux ans et demi a été oublié mercredi matin par l'équipe enseignante dans la cour de récréation de son école maternelle à Saint-Benoit près de Poitiers...
Ce sont ses parents qui l'ont découvert en pleurs, seul et sous la pluie racontent nos confrères de France Bleu.
Mercredi alors qu'il se présentait un peu plus tôt - une dizaine de minutes avant la fin de la classe - devant la grille de l'école maternelle à Saint Benoit près de poitiers, un couple a aperçu son fils de deux et demi livré à lui-même dans la cour de récréation.
Aussitôt, les parents ont sonné aux portes de l'école maternelle pour prévenir l'équipe pédagogique. Pas de réponse. Ils passent l'enfant par-dessus le portail Ils ont alors décidé de passer l'enfant par-dessus le portail pour le réconforter en attendant la sortie des autres écoliers.
Face à l'enseignante, ils ont souhaité avoir des explications. "Il y a beaucoup d'enfants dans la cour et votre fils n'écoute pas toujours lorsque nous leur demandons de rentrer en classe après la récréation", s'est justifiée la professeur des écoles.
Pas question d'en rester là : les parents ont demandé un rendez-vous avec la directrice de l'école qui a, semble-t-il, elle aussi minimisé les faits : "On nous a dit qu'effectivement il y avait eu un problème, mais que tout se finissait bien". "Une erreur humaine"
Les parents du petit garçon ont alerté l'inspection académique et l'adjointe aux affaires scolaires de la mairie. L'inspection reconnaît une "erreur humaine" et "s'excuse pleinement". Elle va ouvrir une enquête administrative.
L'institution va également mettre en place un accompagnement de l'école pour optimiser l'organisation de la surveillance dans l'enceinte scolaire.
A Beauvais, Michel, 56 ans, filmait sa belle-fille de 27 ans sous la douche à son insu
Michel L. vient d’être condamné à un an de prison avec sursis pour ces enregistrements, mais aussi pour détention d’images pédopornographiques.
Le 18 octobre 2019 à 10h21, modifié le 18 octobre 2019 à 20h10
Depuis presque deux ans, Estelle* se réveille tous les matins avec l'envie de vomir. En plus d'un travail qu'elle peine à exercer, la jeune femme de 27 ans n'a « pas de vie sentimentale ». Derrière son mal-être, un homme : son beau-père, Michel L., 56 ans qui, en plus de l'avoir filmée dans son intimité la plus complète, a été reconnu coupable de détenir des images à caractère pédopornographique.
Ce mardi, il a été condamné à une peine d'un an de prison avec sursis. Ce 8 décembre 2018, Estelle est de passage chez sa mère, à Beauvais. Dans la salle de bains, après sa douche, elle distingue une petite lumière qui clignote à travers un trou dans la poche du peignoir de son beau-père.
À l'intérieur, une petite caméra type Go Pro est en train d'enregistrer. Sans même visualiser le contenu, elle s'empare de la carte mémoire et décide d'écourter son séjour au domicile familial pour retourner à Paris, où elle vit.
Le mensonge de la mère…
Au commissariat, les images parlent d'elles-mêmes. Son beau-père qui positionne la caméra, la jeune fille qui se douche et la découverte en direct. Pendant plusieurs mois, Estelle ne donne plus de nouvelles. Son frère en expliquera les raisons à sa mère. Mais celle-ci préférera inventer une explication saugrenue : la caméra n'était pas là pour filmer sa fille mais des ébats sexuels qu'elle s'apprête à avoir avec son mari
. Plus tard, elle reconnaîtra avoir menti, à la demande de ce dernier. Trois mois après, suite à une nouvelle plainte déposée à Beauvais, les policiers mènent des perquisitions au domicile du couple et mettent la main sur plusieurs disques durs et ordinateurs, dont un caché dans un sac de granulé, à l'intérieur d'un abri de jardin.
« Tout aurait pu s'arrêter là », rappelle la présidente. Mais l'exploitation de l'ordinateur et des contenus supprimés permet de retrouver plusieurs vidéos d'Estelle, filmées dans les toilettes et la salle de bains. … Et la mauvaise foi du prévenu
Des faits que le prévenu reconnaît devant les enquêteurs. Il parle alors d'« une attirance mentale » et rejette la faute sur les « tenues indécentes et sexy » que porterait la victime. Les policiers découvriront également plus de 3 000 vidéos pornographiques, des photos qu'il a prises de jeunes filles parfois du voisinage en train de faire de la balançoire ou à la piscine, mais aussi des images à caractères pédopornographiques.
À la barre ce mardi, Michel L. nie toujours avoir visionné ou conservé ce type de contenu. « Et ça, qu'est-ce que c'est ? », lui répond, irritée, la présidente une copie à la main des images « dégueulasses, ultra-sordides »
. À demi-mot, il reconnaît avoir consulté régulièrement la rubrique « adolescentes » de sites pornographiques. « Mais ce sont des sites légaux », tente-t-il. « Il y a quelque chose que vous n'avez pas compris, s'énerve la présidente avant de mettre un point final aux minimisations répétées du prévenu. En dessous de 18 ans, c'est niet. »
Yvelines : elle obligeait sa fille à manger des cafards et des araignées
Une femme de 46 ans a été condamnée par le tribunal correctionnel pour des maltraitances commises sur ses enfants âgés de 9 à 14 ans à Trappes.
Le calvaire a pris fin en juillet dernier, quand un homme a poussé la porte du commissariat de Trappes, pour raconter l’histoire de cette famille, qui circulait au sein de la communauté tamoule
Elle faisait subir un véritable enfer depuis des années à sa fille de 13 ans. Une femme de 46 ans a été condamnée, mercredi soir, par le tribunal correctionnel de Versailles à une peine de 18 mois de prison avec sursis, pour avoir maltraité depuis six ans ses quatre enfants, âgés de 9 à 14 ans, qu'elle élève seule dans son appartement de Trappes.
En particulier l'aînée, devenue son souffre-douleur. Leur calvaire a seulement pris fin le 10 juillet dernier, quand un homme a poussé la porte du commissariat de Trappes, pour raconter l'histoire de cette famille, qui circulait au sein de la communauté tamoule. C'est une femme qui l'a révélée, très choquée par les scènes de violence et d'humiliation auxquelles elle avait assisté au domicile de cette maman maltraitante.
Elle a même pris soin de filmer quelques scènes où l'on voit la quadragénaire donner des coups de pied à sa fille et de photographier les ecchymoses de l'adolescente. Battue avec une louche ou une ceinture, brûlée avec un briquet, l'aînée devait manger par terre dans la cuisine Les forces de l'ordre interviennent aussitôt et les quatre enfants sont placés auprès de l'aide social à l'enfance. Interrogés, ces deux garçons et deux filles racontent tous qu'ils sont régulièrement frappés. Mais la colère de la mère est bien plus souvent orientée vers l'aînée, qui subit bien plus que des coups. Cette frêle jeune fille accuse un tel retard de croissance qu'on lui donnerait seulement 7 ou 8 ans.
En plus de la frapper avec une louche, une ceinture et divers objets ou de la brûler avec un briquet, sa mère la privait de nourriture. Elle la forçait à manger par terre, dans la cuisine, alors que le reste de la famille était à table, dans le salon. « Elle l'obligeait à manger des cafards et des araignées qui pullulaient dans la maison. L'enfant ne devait pas sortir de sa chambre, sans autorisation », ont rapporté les autres enfants devant les enquêteurs. Elle ne prenait pas de douche, mais devait nettoyer toute la maison et faire la lessive.
Dans l'appartement, les policiers n'ont trouvé aucun jouet lui appartenant. Une méthode pour lui apprendre à obéir, selon sa mère Durant l'enquête, la maman a expliqué avoir mis en place cette série de sanctions contre sa fille parce qu'elle était « désobéissante » et lui aurait volé 350 €. Grâce à cette méthode, elle avait fini par lui obéir, s'est-elle félicitée. Mais devant les juges du tribunal, cette petite femme, visiblement tendue, reconnaît les faits qu'on lui reproche. « J'ai fait une bêtise, lâche-t-elle. Je m'excuse… »
Les mauvais traitements ont commencé lorsque le père des enfants a abandonné le foyer… peu après que son épouse, accompagnée de l'aînée, a déposé plainte contre lui pour des faits d'agression sexuelle sur l'enfant. Les enfants veulent retourner auprès d'elle Le procureur avait requis quatre ans de prison, dont deux ferme, contre cette femme au casier judiciaire vierge. L'avenir des enfants est entre les mains d'un juge pour enfants, chargé de l'assistance éducative.
Toujours placés, ils aimeraient retourner vivre chez leur mère, a rapporté l'expert psychiatre qui les a rencontrés. Y compris la grande sœur, qui souffre de maux de tête et d'une grande tristesse. Elle a encore peur de sa mère, mais souhaiterait tout de même retourner vivre auprès d'elle.
Gros incendie en Haute-Savoie : plusieurs magasins en feu dans la zone d'activité Espace Léman à Thonon-les-Bains
Un impressionnant panache de fumée noire est visible dans toute l'agglomération
Un important incendie s'est déclaré ce mercredi 16 octobre 2019 en début de matinée dans la zone commerciale Espace Léman sur la commune de Thonon-les-Bains. Plusieurs magasins seraient concernés.
L'incendie s'est déclaré en début de matinée, peu avant l'ouverture des magasins, dans la zone d'activité Espace Léman. Selon le maire d'Anthy-sur-Léman, l'une des trois communes sur lesquelles s'étend la zone d'activité, plusieurs enseignes commerciales seraient concernées, dont les magasins Kiabi, Célio et Chausséa.
En fin de matinée, vers 11h30, les pompiers de Haute-Savoie indiquaient que l'incendie n'était toujours pas circonscrit. 70 sapeurs-pompiers étaient toujours présents sur les lieux pour tenter de venir à bout des flammes.
Le sinistre a entraîné la formation d'un très gros panache de fumée visible plusieurs kilomètres à la ronde. Des spécialistes en risques chimiques sont présents sur place pour effectuer des mesures de la qualité de l'air dans le secteur.
Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont relayé des photos et des vidéos de l'impressionnant panache noir. Les pompiers de Haute-Savoie invitent les automobilistes à éviter le secteur pour faciliter l'intervention des secours.
La sortie n°5 sur la route D1005 a d'ailleurs été fermée à la circulation dans le sens Thonon/Genève, toujours pour permettre aux secours d'arriver sur place.
Selon un premier bilan établi par les pompiers, l'incendie n'aurait pas fait de blessés mais il convient bien-sûr de rester prudent alors que l'intervention se poursuit. L'évolution de situation est suivie également par nos voisins suisses. "Un impressionnant dégagement de fumée était visible depuis la côte suisse du lac Léman" indiquent nos confrères du journal Le Matin.
L’allocation adulte handicapé augmente, le plafond de ressources pour les couples baisse
L’AAH, dont bénéficient près de 1,1 million de personnes, augmentera de 40 euros à partir du 1er novembre, passant de 860 à 900 euros par mois.
Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées. Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées.
La revalorisation de l'Allocation adulte handicapé à 900 euros par mois a été officialisée dimanche au Journal officiel, dans un décret qui abaisse par ailleurs à nouveau le plafond de ressources pour les bénéficiaires en couple, une mesure très critiquée par les associations.
Selon ce décret, l'AAH augmentera de 40 euros à partir du 1er novembre, passant de 860 à 900 euros par mois, conformément à une promesse de campagne d'Emmanuel Macron.
Versée sous conditions de ressources aux personnes handicapées, cette allocation bénéficie à près de 1,1 million de personnes de plus de 20 ans et n'ayant pas encore l'âge de la retraite. Mais parallèlement à la revalorisation, ce décret modifie à partir du 1er novembre le plafond de ressources pour percevoir cette allocation pour les personnes en couple.
En effet, pour les personnes mariées, pacsées ou en concubinage, les ressources du couple sont prises en compte dans le calcul. Au lieu de multiplier par 1,89 le plafond de ressources annuelles maximales pour une personne seule (12 fois le montant de l'AAH), un couple devra désormais avoir des ressources moins de 1,81 fois supérieures à ce plafond pour pouvoir prétendre à cette allocation.
L'an passé, lorsque l'AAH était passée de 819 à 860 euros par mois, ce coefficient multiplicateur avait déjà été abaissé de 2 à 1,89.
La mesure s'était attirée les foudres des associations de défense des personnes handicapées, qui avaient déploré « une augmentation en demi-teinte » et calculé que 80 000 allocataires n'allaient pas bénéficier de la revalorisation et 1500 00 seulement partiellement. En octobre 2017, la secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, avait affirmé que ces changements dans « les règles d'appréciation des revenus des bénéficiaires de l'AAH » ne feraient « pas de perdants chez les couples » car ceux ayant des ressources supérieures à ce seuil verraient leur situation « strictement inchangée ».
Port du voile islamique : ce que dit la loi sur les signes religieux
De nouveau au cœur du débat politique, le voile divise la majorité sur la nécessité, ou non, de faire évoluer le cadre légal sur le sujet.
Le port du voile, au contraire de la burqa ou du niqab, est autorisé « dans la limite du respect de l’ordre public ».
Il estime qu'il n'existe « aucun vide juridique » à combler. Alors que le gouvernement se divise sur la nécessité de faire évoluer la loi de 2004 sur le port du voile, notamment pour les parents d'élèves en sortie scolaire, Me Thierry Vallat, avocat au barreau de Paris, revient sur les dispositions qui encadrent aujourd'hui le port de signes religieux dits « ostentatoires ».
Dans l'espace public
. Le port du voile -au contraire de la burqa ou du niqab qui masquent intégralement le visage- est autorisé « dans la limite du respect de l'ordre public ».
Une passante portant le voile n'enfreint aucune loi. Les élèves jusqu'au lycée. De l'école maternelle au lycée, les élèves des établissements publics ont l'interdiction d'aborder des signes religieux ostentatoires. Les signes discrets (typiquement, un pendentif caché sous un t-shirt) sont autorisés.
Les lycées privés, y compris sous contrat, fixent leurs propres règles sur la question. Le port du voile est autorisé pour les étudiants de l'enseignement supérieur. Les professeurs. En tant que fonctionnaires, les enseignants du public doivent se conformer au principe de neutralité qui régit tout le service public.
Ce principe exclut logiquement les signes religieux. Dans le privé, le choix est laissé au directeur de l'établissement. Les accompagnateurs scolaires. Ceux-ci, bénévoles, sont considérés comme des « collaborateurs occasionnels » des établissements, et non comme des agents de service public. Le Conseil d'Etat estime qu'ils ne souffrent donc d'aucune « limitation à la liberté d'opinion et de croyance, ni à la possibilité de les exprimer », à condition de ne pas verser dans le prosélytisme. Le port du voile est donc autorisé.
Qui est Julien Odoul, l’élu RN qui s’en est pris à une mère de famille voilée ?
En entreprise. Les salariés du privé ont le droit d'arborer des signes religieux ostentatoires. Des règlements intérieurs peuvent limiter le port de ces derniers de manière « proportionnée » dans certaines fonctions, pour des questions de sécurité, d'hygiène ou de contact avec les clients. En cas de refus du salarié, les entreprises ont l'obligation de proposer un autre poste qui ne comporterait pas ces contraintes et de ne procéder à un licenciement qu'en dernier recours.
Savoie.
Le doudou volé de “Princesse Zoé”, une petite fille décédée d’une tumeur cérébrale, retrouvé à Grenoble
La mère de la petite Zoé, décédée en juin dernier des suites d'une tumeur au cerveau, annonce sur Facebook, ce jeudi 10 octobre 2019, que le doudou de sa fille a été retrouvé à Grenoble.
Il avait été volé en août dernier. Un appel avait été lancé sur les réseaux sociaux.
Les voleurs du sac à main ont-ils entendu l’appel désespéré de la maman, lancé sur les réseaux sociaux en aout dernier ? On ne le saura sans doute jamais. Mais le résultat est là. Pimpinou, le doudou de princesse Zoé, a été retrouvé. C’est l’association Brin d'Grelinette de Grenoble qui a contacté la maman. Elle a retrouvé son sac à main volé dans l’arrière-cour. A l’intérieur, le doudou préféré de Zoé ainsi qu’un petit galet qu’elle avait décoré et d’autres souvenirs s’y trouvaient. Seul l'argent a disparu. La maman de Zoé est soulagée.
Les souvernirs de Zoé sont précieux, irremplaçables. La petite fille est en effet décédée, en juin dernier, des suites d’un Gliome Infiltrant du Tronc Cérébral (GITC), une tumeur au cerveau inopérable et incurable.
Puy-de-Dôme : un promeneur découvre un crâne et des ossements humains
La macabre découverte a été réalisée mardi et mercredi près de la commune de Nohanent. Les gendarmes ont découvert de nombreux ossements et effets personnels lors de leurs recherches
Un promeneur a découvert mardi dans la soirée un crâne humain dans un ravin longeant une route départementale près de Nohanent (Puy-de-Dôme), rapporte La Montagne. Le lendemain, les gendarmes ont également mis au jour d'autres ossements et plusieurs effets personnels. Les recherches ont été poursuivies tout au long de la journée de jeudi.
Selon le quotidien régional, c'est un promeneur qui était parti ramasser des châtaignes qui a fait la macabre découverte mardi vers 20 heures, dans un petit ravin, situé le long de la route départementale 943, à quelques mètres d'un ruisseau.
Alertés, les gendarmes de Saint-Amant Tallende et de Clermont-Ferrand, avec l'aide de la cellule d'identification criminelle du Puy-de-Dôme, ont poursuivi les recherches le mercredi et le jeudi. Plusieurs objets ont alors été retrouvés à proximité du crâne
Il s'agit d'une ceinture, d'une montre, de lunettes, de chaussures et de vêtements. Ces indices pourraient se révéler précieux pour permettre l'identification des ossements envoyés à l'institut médico-légal. Les conclusions de ces différentes analyses devraient apporter des éléments déterminants sur les circonstances et la date du décès.
Bordeaux : la justice reconnaît des effets néfastes pour la santé du compteur Linky
Au nom de leur santé et du principe de précaution, ils étaient 206 plaignants à réclamer devant le juge des référés de Bordeaux, la fin de la pose des compteurs Linky.
Treize d'entre eux ont, en partie, obtenu gain de cause. Enedis va devoir poser un filtre pour les protéger des ondes dégagées. Maître Hurmic qui porte la voix des 206 particuliers engagés contre les compteurs Linky Maître Hurmic qui porte la voix des 206 particuliers engagés contre les compteurs Linky
Le juge des référés du Tribunal de Grand Instance de Bordeaux a donné, en partie, raison à treize particuliers, sur les 206 au total, qui avaient engagé une action en justice contre les compteurs communicants Linky. Ces treize plaignants, dotés d'un certificat médical attestant de leur hypersensibilité électromagnétique (maux de tête, insomnies...) lors de l'audience le mois dernier, vont pouvoir réclamer à Enedis, dans les deux mois, la pose d'un filtre les protégeant des champs électromagnétiques. "Une première brèche... timide" "C'est une première brèche" estime l'avocat des 206 plaignants, maître Pierre Hurmic, "car la décision ne concerne que quelques demandeurs de la procédure. Mais c'est quand même une première brèche, dans ce qui était, la pensée dominante jusqu'ici ; Enedis se bornant à dire qu'il n'y avait aucun danger !" Pierre Hurmic reconnaît que "c'est timide". Il aurait préféré "l'interdiction de la pose des compteurs Linky.
Le combat continue et je ne désespère pas d'aboutir un jour." Enedis a quinze jours pour faire appel de la décision du juge des référés en attendant le procès au fond. Elle a prévu de le faire a indiqué la filiale d'EDF à l'Agence France Presse, en début de soirée. Pour Enedis la décision du tribunal de Bordeaux "conforte aussi bien le principe du remplacement des compteurs que notre démarche d'écoute à l'égard de certains de nos clients qui se déclarent électro-sensibles." Enedis souligne encore qu'il s'agit de cas "extrêmement rares pour lesquels nos équipes mettent en oeuvre un accompagnement personnalisé et adapté à chaque situation particulière".
La société rappelle que "toutes les mesures réalisées par les organismes indépendants mettent en évidence des niveaux de champs électriques et magnétiques très largement inférieurs aux limites réglementaires". A Toulouse déjà... Ce n'est pas le premier jugement allant dans ce sens. A Toulouse, le mois dernier, le juge des référés avait donné gain de cause à treize autres personnes souffrant d'hypersensibilité aux ondes. Ils avaient obtenu le droit de ne pas être équipés, contre leur gré, pour raison médicale, d'un compteur électrique Linky.
A ce jour, 22 tribunaux ont été saisis d'actions conjointes. La grande majorité des plaignants, ont été déboutés notamment à Rennes et à Bordeaux. Le compteur Linky, dont l'installation est pilotée par Enedis et qui permet de relever à distance et en direct la consommation des clients, fait l'objet de polémiques récurrentes depuis son déploiement en 2015.
Meuse : une sexagénaire tuée à coups de couteau, sa fille grièvement blessée
Le drame s’est déroulé mardi au domicile de la fille de la victime, à Rouvrois-sur-Othain. Les gendarmes de la brigade de recherches de Verdun ont été chargés des investigations
Une femme âgée de 65 ans a été tuée de plusieurs coups de couteau, dans des circonstances qui restent à éclaircir, mardi au domicile de sa fille à Rouvrois-sur-Othain (Meuse), rapporte l'Est Républicain. La fille de la victime, âgée de 43 ans, grièvement blessée elle aussi par une arme blanche, a été hospitalisée avec un pronostic vital engagé.
Les gendarmes de la brigade de recherches de Verdun ont été chargés des investigations. Selon les premiers éléments recueillis sur les lieux du drame et lors de l'enquête de voisinage, l'enquête s'oriente vers la piste d'un drame familial. Selon le quotidien régional, l'état de santé de la fille de la victime,
transportée vers l'hôpital de Mercy, à Metz, s'est amélioré ces dernières heures et ses jours ne sont plus en danger. Le maire de cette commune de 200 habitants, Simon Watrin, a exprimé auprès de France3 Grand Est l'immense surprise et la forte l'émotion ressentie par dans le village : « La commune est très affectée car cela touche des gens sans histoire. Ce drame n'est pas facile à expliquer ».