Les pieds de cette jeune femme sont en sang. Ce que son patron lui demande est tout bonnement aberrant.

Lorsque Nicola Gavins originaire de Edmonton (Canada) voit les pieds ensanglantés de son amie, elle est profondément choquée. Mais au moment où elle apprend la raison, elle sort de ses gonds et se tourne vers Facebook pour clamer sa frustration et son énervement :

"Ce message s’adresse à celles et ceux qui mangent aux Restaurants Joey (précisément celui sur Jasper Ave à Edmonton). À cet endroit, le règlement pour les femmes consiste à porter des talons pendant le service sauf contre-indication médicale. Les pieds de mon amie étaient en sang à tel point qu’elle a même perdu un ongle de pied. Or, son responsable l’a réprimandée pour avoir changé ses talons contre des chaussures plates à cause de ses blessures (et lui a expressément signalé qu’elle devrait porter à nouveau ses talons pour son service du lendemain).

En plus de cela, le personnel féminin de se restaurant doit s’acheter lui-même un uniforme à 30 $ tandis que le personnel masculin peut s’habiller avec des habits noirs provenant de sa propre garde-robe (et n’est évidemment pas obligé de porter des talons).

La politique de ce restaurant est sexiste, archaïque et absolument écœurante. J’ai beaucoup d’amis qui travaillent dans la restauration et je connais beaucoup de femmes qui ont de bons pourboires sans avoir besoin de mettre une croix sur leur confort pour servir.

Je continuerai donc à fréquenter ce genre d’établissements et non ceux faisant fi du confort de leurs employés. Publié le 5 mai 2016 – Les restaurants Joey ont aussi des stagiaires qu’ils ne payent pas ce qui est illégal selon l'Alberta Labour Laws (lois du travail de l'Alberta) (contrat signé ou non).

Scandaleux !" C'est incroyable de voir ce que les femmes sont forcées de faire dans ces restaurants, surtout dans un métier aussi physique que la restauration où les heures passées à marcher ou à rester debout sont infinies. Nicola souhaite que ce genre de conditions de travail disparaissent totalement, pas seulement pour son amie, mais pour l'ensemble de l'industrie de la restauration.

Les pompiers sauvent des chiots et un chat enfermés dans une voiture

Jeudi après-midi, cinq chiots et un chat, enfermés dans un véhicule, ont été sauvés par les pompiers, dans la zone industrielle de Coulommiers. Le sergent Delzenne avec les cinq bergers allemands après l’intervention. (©SDIS 77 - Coulommiers) Le sergent Delzenne avec les cinq bergers allemands après l’intervention. (©SDIS 77 - Coulommiers)

Présents au bon moment et au bon endroit. Des pompiers columériens, qui étaient simplement partis acheter quelques outils, ont dû s’employer dans une opération de sauvetage animal, jeudi 12 mai. L’opération s’est déroulée dans la zone industrielle de Coulommiers.

Alors qu’il faisait assez lourd, cinq chiots et un chat étaient enfermés dans une voiture stationnée sur un parking. Interpellés par une dame, les pompiers sont rapidement intervenus. Déshydratation Il faut dire qu’il possède dans leurs rangs le sergent Delzenne, le seul pompier de la ville formé à la capture et au sauvetage animal. Les pompiers ont utilisé un outil d’effraction pour forcer la portière du véhicule.

À l’intérieur, les cinq bergers allemands et le chat étaient en état de déshydratation et totalement mouillés par la chaleur. Les pompiers leur ont donc donné à boire et les ont séchés, avant qu’ils ne soient amenés chez le vétérinaire en fin d’après-midi. Cette affaire coïncide avec le début de la période estivale.

Dans cette perspective, le sergent Delzenne entend véhiculer un message de prévention : « Ce genre de situation est agaçant. Il ne fait pas spécialement chaud mais lourd. Qu’il s’agisse d’un enfant, d’une tante, d’une belle-mère ou d’un animal, il ne faut jamais laisser quelqu’un dans le véhicule, car on peut rapidement tomber en déshydratation. »

Il va en Australie pour rencontrer un petit garçon au visage déformé. Le message qu’il fait passer est rempli d’espoir.

Jono Lancaster habite en Grande-Bretagne. Il est grand, blond, mannequin et souffre du syndrome de Treacher Collins. C’est une maladie héréditaire très rare qui provoque des malformations du visage. Jono a donc les traits déformés et a été victime de brimades pendant toute sa scolarité.

Les enfants qui ne le harcelaient pas le fuyaient. Cette enfance particulièrement triste l'a profondément marqué. Néanmoins, il a grandi optimiste et n’a pas laissé ses malformations physiques l’empêcher de vivre.

Son rêve est de devenir une sorte de modèle pour les autres personnes, surtout les enfants, atteints de la même maladie que lui. En novembre 2014, il a reçu la lettre d’une mère dont le fils de 2 ans, Zackary, souffre également du syndrome de Treacher Collins. Jono apprend alors que Zackary peut uniquement respirer via un tube en plastique, car sa trachée est bloquée à cause des déformations.

Enfin, le jeune garçon commence à se rendre compte de sa différence. Sa mère craint qu’il ne soit rejeté par les autres dans le futur, c'est pouquoi Zackary a besoin d’autant d’inspiration que possible. Pour Zackary, Jono est un héros. Le Britannique a réussi à vivre une vie complète, saine et pleine de bonheur.

Seul son courage lui a permis de se libérer des cauchemars de son enfance. Le journal australien “Adelaide Now” a eu vent des échanges entre Jono et Zackary. Les membres de ce journal ont alors aidé le Britannique de 30 ans à entreprendre le long périple jusqu’en Australie afin de rencontrer Zackary. Lorsque les deux se sont vus pour la première fois, le rêve est devenu réalité pour le petit garçon.

Mais Jono ne s’est pas arrêté là, il a rendu visite à de nombreux autres enfants afin de sensibiliser la population à leur condition commune. “Nous voulons toucher tous ceux qui pensent que nous ne valons rien. Si vous croyez en vous et que vous restez positifs, vous pouvez accomplir de grandes choses.” La visite de Jono a redonné espoir à Zackary et sa mère.

Ils ont décidé de procéder à une opération pour ouvrir sa trachée afin que le petit garçon puisse respirer tout seul. L’opération est risquée, compliquée et nécessite qu'on lui brise la mâchoire. Malgré tout, Zackary sait que : Facebook "S'il croit en lui et qu'il reste positif, il peut accomplir de grandes choses."

L’histoire de Zackary et Jono donne du courage à beaucoup de personnes souffrant du même syndrome. L’optimisme avec lequel ils font face aux difficultés de chaque jour est remarquable.

Partagez cette belle histoire et diffusez ce message rempli d’espoir.

Ce garçon prend la tablette de ses parents pour montrer cette vidéo au chien.

Quand les parents découvrent ce qu’il fait, ils n’en reviennent pas! Tasha et Daniel Ball ont quatre enfants et le petit dernier, Lincoln, 4 ans, souffre de multiples allergies. Lors d’un rendez-vous médical, le médecin lui dit :

“J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle : la mauvaise nouvelle, c’est que tu es allergique à à peu près tout ce qui est dehors. La bonne nouvelle, c’est que tu n’es pas allergique aux animaux domestiques. Tu pourrais avoir un chiot.”

Évidemment, le petit Lincoln n’a retenu de cette consultation qu’une information précieuse : il pouvait avoir un chien. Alors ses parents lui achètent un bébé Saint Bernard.

Le problème, c'est que Tasha et Daniel n’ont jamais eu d’animaux en 15 ans de mariage et ils préviennent leur fils : le chiot sera sous sa responsabilité et ce sera à lui de l’éduquer. Ils lui proposent même de regarder des tutoriels sur Youtube pour savoir comment s’y prendre avec son chien.

Mais Lincoln a décidé de brûler les étapes et a préféré que son chien regarde directement les tutoriels sur internet pour s’éduquer lui-même !

Lorsque la maman s’en rend compte, elle fond complètement devant la scène et prend cette photo qu’elle publie sur Facebook. Le cliché fait rapidement le buzz !

Aujourd’hui, Lincoln et son chiot sont devenus de petites stars sur la toile et la photo a fait mourir de rire des centaines de milliers d’internautes !

Quand les médecins ont vu quel âge avait la maman de ce bébé, ils n’en ont pas cru leurs yeux!

Je ne savais même pas que c’était possible! Daljinder Kaur, 70 ans, est mariée depuis 46 ans à son époux Mohinder Singh Gill, 79 ans. Pourtant, ils n’ont jamais eu la chance de fonder une famille.

Or dans leur pays, en Inde, l’infertilité est souvent vue comme une punition de Dieu et le couple est souvent ridiculisé pour ne pas avoir d’enfant.

Au comble du désespoir, Daljinder et Mohinder décident alors de procéder à une fécondation in vitro, sachant que leurs chances de devenir parents sont plus que minces.

Pourtant le miracle se produit : au bout de 9 mois, Daljinder accouche du petit Arman.

Le couple est aux anges ! À 70 ans, Daljinder est ainsi devenue l’une des mères les plus âgées du monde ! Elle partage la première place avec Rajo Devi Lohan qui avait également donné naissance à son premier enfant à 70 ans.

LEUR FILS DE 3 ANS DIT QU’IL ENTEND DES VOIX LA NUIT . QUAND ILS DÉCOUVRENT LA VÉRITÉ, LE CHOC EST TERRIBLE.

Un couple de parents, que nous appellerons Jay et Sarah pour respecter l'anonymat, a découvert quelque chose dans la chambre de leur enfant qui les a fait trembler. Aujourd'hui, ils veulent que le monde entier soit au courant. Tout commence lorsque le petit garçon de 3 ans raconte à ses parents qu'il entend des voix bizarres qui lui parlent la nuit.

Au début, ils pensent que leur fils a fait un rêve ou qu'il invente une histoire farfelue comme le font tous les enfants. Mais un soir, alors que Jay entre dans la chambre de son fils, son sang se glace ! Il entend une voix qui s'adresse à son enfant : « Debout petit, ton père te cherche ».

Au moment où Jay, pris de panique, appelle Sarah, la voix retentit à nouveau : « Je te l'avais dit, quelqu’un arrive ». Au début, le couple ne sait pas d’où vient la voix, puis tout devient clair : le babyphone ! Ils remarquent que la caméra du babyphone suit leur moindre mouvement. Ils comprennent tout de suite ce qu’il est en train de se passer.

Le babyphone a été piraté et est contrôlé depuis un ordinateur ou un téléphone. Aujourd’hui, les babyphones high-tech possèdent des dispositifs de surveillance complets, avec des fonctions de transmission de son et de vidéo souvent contrôlées via internet , et c’est précisément ce qui représente un danger. Personne ne sait ce que le pirate faisait avec le fils de Sarah et Jay.

Se contentait-il de l’effrayer ?

Prenait-il des photos ?

Était-ce un parfait inconnu ou un proche ?

Après avoir eu le choc de leur vie, ces parents souhaitent informer le plus grand nombre ce à quoi elles peuvent être un jour confrontées. Dans un premier temps, le meilleur moyen d’éviter le piratage est de faire très attention avec les mots de passe et de faire régulièrement les mises à jour de sécurité.

Pour un babyphone, il est préférable d’utiliser un mot de passe différent de celui du WiFi et d'en choisir un très compliqué pour le rendre difficile à deviner. Énormément de personnes se contentent d'utiliser le prénom ou le nom de leur enfant ou conjoint, ou même “1234“ ou “abcd“ comme mot de passe. Il faut les changer immédiatement, car ils laissent la porte ouverte aux intrus. De plus, il est indispensable de mettre régulièrement à jour le logiciel du babyphone ainsi que votre routeur WiFi.

Si vous n'êtes pas familier de la technologie, demandez conseil à un expert, car vous ne savez pas qui peut vous regarder. Contrairement à l’histoire de Jay et Sarah, on ne se rend pas forcément toujours compte qu'une caméra a été piratée.

C'est pourquoi il est très important de partager au maximum cet article afin de faire en sorte que tout le monde protège au mieux ses enfants ainsi que sa maison des intrusions indésirables.

L'histoire qui a fait pleurer au refuge ABCDA

Bébé joli tigré, d’environ 2 ans,est arrivé au Parc,amené par sa propriétaire âgée ,accompagne de son fils. Motif: Son entrée en maison de retraite où les animaux n ont pas leur place.

Le fils de cette dame est aussi triste mais ne peut prendre Bébé. Bébé lui habitué à vivre à l intérieur,proche de sa maîtresse,connaît des débuts difficiles au Parc, demandant plus que de l’attention, tant son état a été préoccupant…

C'était sans compter sur l’énergie et la volonté de Suzanne et des bénévoles… Finalement,au bout de plusieurs semaines, Bébé a pris ses aises,des habitudes et s’est frayé un chemin au milieu des autres congénères… Il va bien.

Mais à t il oublié?

Il y a15 jours,la dame nous téléphone et demande si elle peut venir voir Bébé , car son fils peut l’accompagner. L´état physique de la dame nous fait ouvrir le portail et amener sa voiture au plus près . Se déplaçant plutôt difficilement, elle part en direction du parc de Bébé .. Et nous sommes là...

Suzanne court chercher son appareil photo car le moment est émouvant, laissant tout le monde présent en larmes… Bébé la RECONNAÎT, reconnaît “sa famille”,les accueille avec miaulements de joie… C était incroyable.

Les photos parlent d elles mêmes et le visage illuminée de cette dame en dit long . L après midi passe vite, trop vite. Et bien sûr le moment de la séparation arrive…

La dame repart vers sa voiture..et...Bébé arrive à se faufiler et court derrière elle…nous devons le rattraper et franchement, tout le monde avait mal au cœur…

Remontant dans sa voiture soutenue par son fils,la dame se tourne vers Suzanne lui prends les mains et lui dit “Pourquoi on nous enlève tout?que serait il devenu si vous n aviez pas été la? Et finit sur un ”merci beaucoup Suzanne.”

Non,Madame c’est nous qui vous remercions,de nous rappeler que si,la mission que nous nous sommes donnée est de soigner,sauver et protéger les animaux,quoiqu’en disent nos détracteurs,nous sommes aussi ici, pour des personnes comme vous,et bien d’autres encore. Aujourd'hui, tous les refuges sont confrontés à ces drames..les personnes âgées, déjà meurtris de quitter leur lieux de vie de toujours, loin d une famille souvent trop occupée,sont OBLIGÉES de se séparer ce qui leur apportent affection, tendresse , amour et responsabilité.

Bref ce qui les relie encore par ce fil invisible à la vie. Nous sommes à l’ère de la beauté,de la jeunesse, de la réussite,de la compétitivité ,du profit et de l’argent !

En oublierait-on d être humain tout simplement???

Merci,vous qui lisez ce post de le partager, et de le laisser épingler sur votre mur quelques jours… Juste pour se rappeler qu’un jour aussi nous serons des vieilles personnes et que peut être, nous serons confrontés à cette situation . Et si ce post pouvait faire changer quelque chose ,nous y aurions modestement participer. Merci à tous. 

Alors qu’elle était en phase finale de son cancer du foie, elle apprend qu’elle n’a jamais été malade

Anne Milne, une écossaise de 56 ans était en phase finale de son cancer du foie, elle découvre qu’en fait, elle n’avait jamais été malade.

L’histoire semble surréelle, et pourtant, c’est bien le cas pour cette mère de famille qui avait déjà entamé des séances de chimiothérapie pour ce prétendu cancer diagnostiqué en 2008 afin de profiter de sa famille plus longtemps.

Un an après, voyant que son état n’avait pas empiré, les médecins se sont résignés à la réalité : Anne n’a jamais eu de cancer du foie. Ce qu’elle avait, n’étaient que des lésions du foie inoffensives.

Ce n’est que 6 ans plus tard que l’écossaise décide d’en parler, et c’est par le biais de ses avocats qu’en apprend qu’elle aura très certainement des compensations financières.

En effet, outre l’aspect financier du traitement du prétendu cancer déjà assez onéreux en soi, toutes ces séances thérapeutiques ont causé des séquelles irréversibles, aussi bien mentales que physiques. «Ces traitements m’ont complètement changée. Ça m’a pris six ans avant d’être capable d’en parler et d’obtenir des excuses raisonnables. Je serais en meilleure santé aujourd’hui si je n’avais pas subi de chimiothérapie» affirme Anne.

Morale, ne jamais prendre la parole d’un médecin pour de l’évangile…

Pays-Bas: une victime de viol obtient d'être euthanasiée pour mettre fin à son traumatisme

La jeune femme avait subi plusieurs abus sexuels durant son adolescence. En expliquant que le traumatisme était insurmontable, elle a obtenu d'être euthanasiée par l'Etat néerlandais. La décision crée la polémique.

La Commission Néerlandaise à l'Euthanasie (CNE) a autorisé l'année dernière une jeune femme victime d'abus sexuels à mourir grâce à l'assistance de médecins. Ce cas vient seulement d'être rendu public par la commission, soulevant un vif débat quant à l'opportunité d'une telle décision. Les spécialistes ont estimé que son traumatisme était incurable, et que l'euthanasie serait pour elle une forme de libération.

Plusieurs abus sexuels pendant l'enfance

La jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années mais dont l'identité n'a pas été révélée, avait subi plusieurs abus sexuels alors qu'elle avait entre cinq et 15 ans. Selon plusieurs psychiatres, qui ont longuement examiné la jeune femme, son traumatisme était "insupportable" et "incurable" comme l'explique CBS News.

La jeune femme souffrait d'anorexie, de dépression chronique, de tendances à l'auto-mutilation, d'hallucinations et restait alitée en permanence. Conformément au droit hollandais, qui a légalisé l'euthanasie en 2002, la jeune femme a donc reçu une dose létale de médicament. Selon les juristes de la CNE, lui refuser l'euthanasie aurait été illégal, la loi de 2002 autorisant l'euthanasie pour les personnes dont les souffrances sont jugées "sans solution".

56 personnes en 2015 D'après les statistiques publiées par la Commission, cette jeune femme fait partie des 56 personnes dont l'euthanasie a été légalement autorisée en 2015 aux Pays-Bas. Un nombre qui comporte une proportion élevée de citoyens étrangers, venus spécialement dans le pays pour bénéficier d'une mort assistée.

Si aux Pays-Bas la nouvelle est passée quelque peu inaperçue, elle a relancé un débat difficile au Royaume-Unie ou les pro-euthanasie réclament une loi de longue date. Le député travailliste Robert Flello a balayé cette idée, en argumentant que ce cas était l'exemple type de ce qu'il refusait. Il a expliqué que c'était comme dire aux victimes de viol "vous devez être punie par la peine de mort".

Une Américaine a retrouvé, à son plus grand étonnement, son sac à main dérobé durant les fêtes de 2002

Elle retrouve son sac à main intact, volé il y a 14 ans Une Américaine a retrouvé, à son plus grand étonnement, son sac à main dérobé durant les fêtes de Noël… de 2002 !

C’est un homme qui est tombé sur le sac de Lisa Hall Mazzaglia la semaine dernière, jeté dans une poubelle devant une épicerie de Seabrook (Nord-est des Etats-Unis).

Tous les objets présents quatorze ans plus tôt y étaient : téléphone portable, vieilles cartes de crédit, chewing-gums, pellicules photos et…un bipeur ! A l’époque, Lisa faisait ses courses pour Noël et en rangeant ses courses dans sa voiture sur le parking du centre commercial, son sac à main, laissé dans le chariot de courses, avait disparu. Lorsque la police l’a prévenue, la semaine dernière, que son sac avait été retrouvé, elle n’y a pas tout de suite cru.

"J'ai trouvé ça difficile à croire étant donné que mon sac était à cet instant même posé dans la cuisine mais ils m'ont assuré que c'était bel et bien le mien, raconte-t-elle sur Facebook. Je me suis dit que ça devait être une erreur ou que j'étais victime d'une usurpation d'identité. J'ai ensuite brièvement pensé au sac que je m'étais fait voler il y a des années, mais ça m'a semblé ridicule".

Pourtant, une fois au commissariat, elle dut admettre qu’il s’agissait bien de son sac contenant tous ses anciens objets personnels. "Même quatre dollars traînaient au fond que le voleur n'a pas dû voir". Une histoire sans queue ni tête que la concernée souhaiterait éclaircir. "Je dois dire que je suis curieuse et je rêverais de comprendre pourquoi quelqu'un a gardé mon sac tant d'années et ce qui a poussé cette personne à s'en débarrasser maintenant.

Et pourquoi cette personne n'a pas touché à autre chose que l'argent ou essayé de revendre le reste. C'est tellement étrange".