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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un Jeune Homme Violenté Et Violé Par Deux Filles Et Un Homme
C'est le monde à l'envers, une société qui part en vrille, qui déraille, c'est juste inadmissible. Selon le quotidien La Provence, dans le quartier de la Rose à Marseille, un jeune homme de 19 ans fut abordé par deux jeunes filles de 14 et 20 ans.
Elles lui demandent s’il pouvait les déposer à Châteauneuf-les-Martigues. Sans se méfier, il accepta. Une fois arrivé à destination, une troisième personne, un jeune âgé de 20 ans, attendait le trio, ils séquestrèrent, torturèrent et violèrent la victime !
« Ils l’ont violenté, lui ont fait fumer des joints, l’ont forcé à sniffer de la coke, l’ont enfermé dans le coffre de sa voiture, l’ont déshabillé, l’ont forcé à s’enfoncer des légumes et des tiges de fleur dans l’anus, l’ont frappé à coups de barre de fer et l’ont brûlé avec une cigarette. », a renseigné une source judiciaire !
Elle a voulu reconquérir son mari sur Meetic
Âgée de 48 ans et cadre supérieure, Alice découvre sur Meetic que son mari la trompe.
Elle décide de s’inscrire sur le réseau pour tenter de le reconquérir… Cinq ans plus tard, elle raconte le terrible engrenage qui lui a fait perdre pied.
« “Belle inconnue, il est temps de me montrer votre vrai visage.”
L’homme qui partage mon lit depuis vingt ans est en train de tomber amoureux de Pennylane. Et, Pennylane… c’est moi ! La joie d’être aimée le dispute à la honte de l’avoir dupé, à l’inquiétude d’être démasquée. Ma colère contre cet homme infidèle s’est dissoute dans le profond dégoût de moi-même.
Entre dépression et excitation, je suis électrisée par ses mots de plus en plus tendres à l’écran et écrasée de chagrin d’être de plus en plus abandonnée au quotidien. À chaque nouveau message, mon vieux coeur saute de joie dans ma poitrine et je fonds de plaisir comme une adolescente enamourée.
Je ne dors plus, je ne mange plus et je n’ai même plus la force de me rendre au bureau. Le soir, à mon mari distrait, j’explique mon état par des soucis professionnels, mais Jean-Louis me prodigue des attentions paternalistes et distantes. Et il confie à Pennylane, par clavier interposé, qu’il n’a plus de désir pour sa femme et qu’il va bientôt la quitter.
Encore aujourd’hui, mon mari ignore les circonstances réelles qui m’ont conduite sur Meetic. Il m’a cru volage alors que j’étais là pour le reconquérir. Je ne l’ai jamais trompé. Même si je sais que je me suis mal conduite de bout en bout, je ne peux pas dire que je le regrette. Jusque-là, je pensais être une femme lucide et sincère : je me suis longtemps vantée d’avoir réussi ma carrière en refusant les compromis et en respectant les personnes comme la parole donnée. Jean-Louis et moi avons deux grands enfants.
Ils étaient déjà partis du foyer à cette époque. Je travaillais beaucoup, lui s’absentait plusieurs jours par semaine pour ses missions. Nous venions de traverser une crise grave : j’avais découvert qu’il avait une maîtresse à l’étranger depuis quelques années déjà. Forts de notre longue et grande complicité, nous avions passé le cap. J’avais pardonné.
Enfin, c’est ce que je croyais. Un jour, il a laissé sa messagerie ouverte à l’écran. L’occasion était trop belle : j’ai récupéré ses codes et lu ses messages. J’ai vu que cette femme lui demandait en dernière faveur de l’aider à créer son profil sur Meetic. Elle voulait, disait-elle, “se donner le maximum de chances de rencontrer quelqu’un comme lui”.
À mon grand soulagement, Jean-Louis n’est pas tombé dans le piège : il acceptait de l’aider, mais sans aucune complaisance. Puis j’ai vu dans sa boîte des pseudonymes étranges. Pas de doute, il s’était créé un profil sur le site de rencontres. Et voilà qu’un jour une inconnue lui donnait rendez-vous !
Alors, seulement, j’ai réalisé que j’étais en train d’espionner mon mari depuis plusieurs semaines. Mais comment contrer ses projets sans révéler mon forfait ? J’étais prise au piège. J’ai fouillé, cherché et trouvé ses codes d’accès à Meetic. Quand j’ai découvert ses échanges, le ciel m’est tombé sur la tête.
Dix, vingt femmes gravitaient autour de mon mari, et lui leur prodiguait ses petits mots d’amour : “Mon trésor” et, surtout, “Mon unique”. Les mots étaient les mêmes pour toutes. Il avait détruit ce qu’il y avait d’inédit entre nous. Ce fut une expérience terrible. Encore aujourd’hui, cela me fait mal d’y penser. Mon mari mentait sur son âge, s’inventait des sports, nous faisait disparaître de sa vie, moi et les enfants.
Et tout ce sirop – style pompeux et mots mièvres – que j’adorais quand il m’était destiné me dégoûtait. Était-ce cela, mon homme, ce dragueur pathétique ? J’ai échafaudé tous les scénarios possibles. Répondre à sa place, insulter ces femmes, le ridiculiser, faire un scandale, débarquer au prochain rendez-vous…
Mais je n’ai jamais pensé à le quitter. C’est à cette époque que j’ai cessé de manger et de dormir. Je me connectais fiévreusement à son compte pour lire et relire tout ce qui se passait, sans trop savoir qu’en faire. J’ai même arrêté d’aller au bureau. Il n’y avait plus que cet écran, ces messages. Je me levais la nuit pour les relire, j’allais jusqu’à me cacher des heures dans les toilettes avec l’ordinateur quand il était là.
Bien sûr, j’aurais dû tout arrêter et lui parler, mais je n’en avais plus la force. Je ne voulais plus être celle qui se fait berner. Pour une fois, je voulais être la plus forte, celle qui tire les ficelles dans l’ombre. Je n’ai eu besoin de personne pour m’inscrire sur Meetic. Mécaniquement, j’ai sélectionné les critères choisis par Jean-Louis pour éditer mon profil. Je ne me suis pas aperçue au début que mon avatar me ressemblait “comme une soeur”.
La machine a très bien fonctionné : il est immédiatement apparu dans les personnes que l’on me proposait de contacter. Écrire mon premier message a été le plus difficile. J’ai hésité pendant des jours. Le seul fait de voir son nom dans ma liste de contacts suffi sait pour que mon coeur batte la chamade. Il était là, de nouveau à ma portée, et pourtant…
Un matin, très vite, je me suis lancée : quelques phrases simples, un peu de fantaisie, beaucoup de mystère. Je savais le cocktail détonnant pour Jean-Louis. Sa réponse a tardé. Il était très occupé ailleurs. Je ne me suis jamais demandé s’il couchait avec toutes ces femmes. Matériellement, c’était peu probable, mais mon problème n’était pas là. Je voulais seulement redevenir la préférée.
Et il m’a répondu… comme à toutes les autres. J’ai reconnu sa série de copier-coller, mais j’ai joué le jeu. Au début, je suis restée sur mes gardes, puis nos échanges sont devenus plus familiers. Nous avons “flirté” une nuit entière.
Nous échangions des images, des tableaux que nous préférions et, comme des enfants, nos couleurs, nos plats, nos poèmes favoris. D’un coup, il m’a annoncé qu’il recherchait quelqu’un comme moi, qu’il voulait quitter sa femme et me rencontrer. Et, bien sûr, il voulait voir mon “vrai visage” !
Je me suis terrée dans le silence. Le dernier message, il l’a adressé à la vraie Alice, via mon e-mail personnel : “Es-tu Pennylane ?” Consciemment ou non, j’avais donné trop d’indices.
J’étais démasquée. Les heures qui ont précédé son retour à la maison m’ont semblé une éternité. La discussion ne s’est pas bien passée. Selon lui, que pouvais-je donc bien faire sur Meetic, sinon chercher l’aventure ? Impossible d’avouer mon espionnage, je l’aurais perdu définitivement. J’ai tenté par tous les moyens de le calmer :
“Je t’ai trompé, mais c’est oeil pour oeil”, “Puisque nous sommes devenus si proches sur Meetic, pourquoi ne pas nous offrir une deuxième chance ?”… J’ai essayé d’en rire, mais mon rire sonnait faux. J’étais une moins que rien, une rien du tout. Et je l’ai regardé, impuissante, faire ses valises.
D’abord, il y a eu plusieurs mois de silence. Je n’ai pas dit trois mots par jour pendant tout ce temps. J’avais repris le travail. Pour éviter les confrontations, je me suis mise à échanger par e-mail avec mes collaborateurs. Le soir, je continuais, fascinée, à assister au bal des prétendantes de mon mari. Officiellement séparé, Jean-Louis se racontait de plus en plus.
“L’épouse dont il était séparé” était mentionnée. Sa solitude lui pesait. Les femmes qui lui parlaient étaient davantage dans l’empathie. J’ai fini par comprendre, à force de lire leurs messages, combien je n’étais pas différente d’elles. Nous sommes toutes pareilles, prêtes à partir au quart de tour au premier compliment joliment troussé ; rouées, séductrices, sans foi ni loi quand il s’agit de devenir “l’unique”.
Et douées, quand il le faut, de compassion… Une Nolan lui a écrit un jour : “Si ta femme t’aime assez pour t’avoir suivi jusque sur Meetic, ne la perds pas.” Pendant toute cette période, je voyais un psy. C’est idiot, mais je me sentais trop mal pour parvenir à lui avouer l’ampleur de mes forfaits.
Nolan ne me jugeait pas. C’est elle qui m’a donné la force d’en parler à mon thérapeute. Ce qui me sauvait, m’a-t-il dit, c’était de ne pas me sentir fière de ce que j’avais fait. Au bout de ce chemin, il y avait la réconciliation avec les femmes, notamment ma mère, avec qui j’ai pu renouer.
Jean-Louis ne saura jamais ce que j’ai enduré et jusqu’où je suis allée pour ne pas le perdre. Huit mois après, il m’a passé un coup de fil. Un déjeuner banal, un sourire échangé et ses valises étaient à nouveau dans l’entrée. Nous avons repris notre vie comme si de rien n’était. Mais, depuis cette histoire, nous nous sommes donné le mot pour ne plus nous faire souffrir. Nous prenons grand soin l’un de l’autre. Et j’ai jeté tous ses codes. »
Son mari a 54 ans de plus qu'elle, elle sera jugée
Mariage d'amour ou abus de faiblesse ?
Le tribunal tranchera le 28 juin.
Elle a 28 ans. Son mari en a 82. Un mariage d'amour, assure-t-elle. Le 28 avril 2015, le maire de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) les a unis. Mais lors du repas de noce, le restaurateur tilte. Un doute l'habite. Le mari est seul à table, apathique.
« Il ne mange rien, son état physique est particulièrement dégradé et son état psychique est également inquiétant », décrit Ouest France sur son site. Flairant une possible entourloupe, le restaurateur prévient le procureur de la République.
L'enquête est lancée.
Laquelle révèle que, suite à un AVC, le mari avait été mis sous tutelle, mais que le juge des tutelles, saisi quant à lui par la mairie de Saint-Brieuc, avait autorisé le mariage...
« J'ai appris à l'aimer »
Quoi qu'il en soit, la jeune épousée se retrouve maintenant devant le tribunal correctionnel. Elle est poursuivie pour abus de faiblesse. Ce dont elle se défend. Tout comme elle refuse d'être présentée comme une "aide-soignante" :
« Il [son mari ] m’a demandé d’arrêter mon boulot, je suis restée avec lui. J’ai appris à l’aimer, malgré la différence d’âge ».
Le tribunal jugera l'affaire le 28 juin.
Un Garçon De 13 Ans Décèle Une Grave Erreur Dans Une Exposition Dédiée À Al Capone !
Eastern State Penitentiary, ce nom ne vous dit certainement pas grand chose, c'est une prison qui se trouve aux Etats-Unis plus précisément à Philadelphie.
Elle a la particularité d'avoir reçu un locataire célèbre qui est le gangster Al Capone.
Devenue un musée en 1994, sa cellule où il a séjourné entre 1929 et 1930 a été refaite de façon méticuleuse dans le cadre d'une exposition qui lui est consacrée.
Tout a été fait pour qu'aucun détail ne soit laissé au hasard, comme l'a voulu le parrain de l’Outfit de Chicago lors de son emprisonnement en août 1929.
Seulement, le musée ne voyait pas une erreur qui figurait dans la déco, mais un visiteur surprenant et très averti l'avait décelé. Le jeune garçon Joey Warchal âgé tout juste de 13 ans est un grand collectionneur de vieilles radios.
Le poste radio qui se trouve dans la cellule refaite est un Philco A-361, ne devant pas être là, Joey a envoyé un e-mail à Sean Kelley, le vice-président du musée lui disant que le fameux poste de radio présent dans la reconstitution de la cellule d’Al Capone a été commercialisé en janvier 1942, soit plus de dix ans après le séjour en prison de celui-ci.
Sean Kelley lui a sur le coup accordé un budget de 400$ pour trouver le poste radio qui doit y être. Une chose facile pour le jeune Joey qui a ramené un modèle Philco 76 datant de 1929. Génial !
Grâce à la compagnie suisse Algordanza, les cendres d’un proche peuvent être transformées en bijou. En pierre précieuse, plus exactement. Les ateliers Algordanza basés en Suisse connaissent un succès phénoménal à l’international grâce à ce procédé unique qui permet de garder un être cher près de soi en permanence et d’une manière… plutôt unique en son genre.
Il faut en effet 500 grammes de cendres pour réaliser une pierre… Sachant que les cendres d’un corps humain incinéré pèsent au total entre 2 et 3 kilos, il est possible de réaliser plusieurs pierres. Patrick Baudry, un professeur à l’université de sociologie de Bordeaux parle de ce procédé : «Ici, on cherche au contraire à retenir la personne ad aeternam parmi les vivants, à se raccrocher à lui en le matérialisant sous la forme d’un support physique.»
Chaque année, la société a entre 800 et 900 clients de 23 pays différents. Ces diamants très particuliers ont cependant un prix… Il vous en coûterait pas loin de 5000 euros pour la création d’un diamant à partir des cendres d’un être aimé. Yvonne, une dame allemande ayant perdu son fils de 14 ans raconte après avoir fait monter un de ces diamants sur une bague : «Mon fils est désormais de retour à la maison, là où il appartient. Je l’ai en permanence auprès de moi.»
Que pensez-vous de ce procédé?
La maman photographie son fils en superhéros. Mais ce qui sort de son ventre dépeint une triste réalité.
L’Américaine Renee Bergeron et mère et photographe professionnelle. Son fils, Apollo, n’avait que 18 mois lorsque les médecins lui ont diagnostiqué un double arc aortique. À cause de cette maladie, le bébé a dû subir deux opérations à coeur ouvert et les médecins ont dû lui insérer une sonde d’alimentation dans l’estomac.
Heureusement, Apollo a survécu et c’est ce qui fait de lui un superhéros aux yeux de sa mère. Un après-midi, alors qu’il a 2 ans, Renee le déguise en héros : une cape, des bottes, des lunettes et les voilà partis pour une séance photo.
“Quand j’ai vu comment il posait, avec une telle force et une telle confiance, j’ai su que je voulais qu’il garde cette image de lui, se souvient Renee. À deux ans, il était trop jeune pour se rendre compte de sa sonde d’alimentation ou se voir différent des autres enfants, mais je savais que ce jour viendrait. J’ai pris ces photos et les lui ai montrées dans un album pour qu’il puisse toujours se voir comme quelqu'un de fort et de confiant.”
C’est ainsi que Renee a eu l’idée du Superhero Project.
Elle voulait booster la confiance de tous les enfants malades. Elle est donc allée à la rencontre des enfants souffrant de handicap ou de maladie pour les prendre en photo gratuitement. Ces clichés révèlent le superhéros qui se cache en ces enfants.
Renee ne photographient pas seulement les enfants qui souffrent de maladies physiques mais aussi ceux atteints de maladies mentales comme les autistes, ceux qui ont des troubles des sens et ceux qui souffre d’apraxie.
Avec ce projet, Renee espère que les autres ne verront plus ces enfants comme des handicapés mais qu’ils comprendront au contraire à quel point ils sont très forts. “Je pense que nombreux sont ceux qui regardent les enfants ou adultes avec des besoins spéciaux comme s’il étaient “amoindris” en quelque sorte. Mais regardons les choses en face : ces enfants sont des battants.
Avec les obstacles qu’ils vainquent chaque jour juste pour s’en sortir dans notre monde, nous devrions tous les voir comme des superhéros.” Cette initiative épatante permet non seulement à la société de changer le regard qu’elle porte sur les personnes malades et handicapées mais surtout, elle permet à de jeunes enfants de retrouver confiance en eux et de montrer leur force.
Car que sont-ils, sinon des superhéros, lorsqu’ils doivent chaque jour affronter des défis que nous ne pourrions même pas imaginer ?
Assises : l'espoir de vérité des parents d'Alexandre
Le père d’Alexandre, Philippe Junca et sa mère, Valérie, se préparent à affronter le procès de l’assassin présumé de son fils.
L'adolescent de 13 ans avait été tué par un marginal et son corps dépecé à Pau en 2011. Le procès de son meurtrier présumé et de ses complices s'ouvre aujourd'hui. Des moisqu'ils s'apprêtent à faire face aux quatre accusés, ces trois hommes et cette femme renvoyés devant les assises de Pyrénées-Atlantiques, à Pau, pour le meurtre de leur petit garçon. Et le jour de ce procès, craint autant qu'attendu, est là.
Cinq ans après la mort d'Alexandre, 13 ans et demi, tué pour son téléphone portable avant que son corps ne soit dépecé, ses parents, Valérie Lance et Philippe Junca, abordent cette épreuve judiciaire avec « l'espoir d'une vérité ». « Ils ont tous joué un rôle. Où ça s'est passé, comment cela s'est organisé ? » interroge la mère de la victime, prête, selon son avocate Pierrette Mazza-Capdevieille, « à accompagner Alexandre jusqu'au bout, même si c'est le bout du bout de l'horreur ».
L'affaire Alexandre Junca est d'abord celle de la disparition d'un adolescent, le 4 juin 2011 dans le centre de Pau, un samedi où il rentrait chez son père à vélo après une soirée entre copains. L'hypothèse de la fugue écartée, d'intenses recherches sont lancées. Vingt-deux jours plus tard, un morceau de sa jambe droite est découvert dans le gave de Pau.
Puis en octobre, d'autres restes de son cadavre sont exhumés d'une digue érigée sur la rivière. L'expertise médico-légale décèle que la victime a subi de violents traumatismes au crâne alors qu'il était vivant. A Pau et au-delà, le sort tragique du garçon soulève une très forte émotion.
La cellule d'enquête de la PJ procède à de colossales investigations. C'est un message signé « Mike, SDF », sur un registre de condoléances, qui va conduire au meurtrier présumé. Début 2013, quatre suspects sont interpellés. Parmi eux, Mickaël Baehrel, alors 25 ans, un marginal impliqué dans une agression au marteau peu après la disparition d'Alexandre. Sa compagne Fatima Ennajah, quinquagénaire au parcours de vie chaotique.
Et Claude Ducos, un électricien retraité de 76 ans, grand amateur de chasse. Confondu par la téléphonie, Baehrel passe aux aveux : c'est lui qui a frappé Alexandre à la tête à coups de marteau. Le gamin venait de se faire dérober son téléphone par Christophe Camy — un autre marginal identifié plus tard — et cherchait à le récupérer. Alcoolisé, en « rage » en raison d'un conflit avec son amie, Mickaël Baehrel, qui traînait dans le centre-ville, s'est soudain déchaîné sur l'adolescent.
Quant au cadavre, c'est Claude Ducos, avec qui il entretenait des relations sexuelles tarifées, qui l'aurait découpé avant de l'aider à s'en débarrasser -- ce que l'intéressé a toujours nié. Maintes fois durant l'instruction, Baehrel a changé de version, laissant de multiples zones d'ombre sur l'enchaînement des faits et la participation des uns et des autres.
Qui a transporté le corps d'Alexandre et comment ?
Où a-t-il été déposé ?
Qui l'a démembré puis jeté à la rivière ?
« S'il a une conscience, il dira ce qui s'est passé ! » De la confrontation des accusés à l'audience jailliront peut-être des réponses, espèrent les parents et les proches d'Alexandre. Baehrel et Camy, 30 et 27 ans, renvoyés pour « vols avec violences ayant entraîné la mort », encourent la perpétuité. L'avocate du premier n'a pas souhaité s'exprimer. Celle de Camy, Me Emmanuelle Legrand-Bogdan, assure que ce dernier est prêt à « assumer toute sa responsabilité » : celle d'un « vol avec violence sans lequel Alexandre serait peut-être encore en vie. »
La femme et le retraité sont jugés pour des délits. Me Jean-Josy Bousquet, l'avocat de ce dernier, poursuivi notamment pour « atteinte à l'intégrité d'un cadavre », prévient qu'il n'y a « aucune révélation » à en attendre. Le père d'Alexandre, lui, supplie : « S'il a une conscience, il dira ce qui s'est passé ! »
Abandonnée Par Sa Famille Adoptive, Parce Qu'elle Présente Une Malformation
Un père qui ne veut pas assumer ses responsabilités, un papa qui manque à l’appel, une maman dans le désarroi, incapable de subvenir aux besoins de son futur enfant et ne pouvant se résoudre à avorter, une mère célibataire récemment mise à la rue a décidé de confier sa petite fille à naître au service d’adoption de l’État de Floride.
Un destin incertain pour ce petit bout qui doit voir le jour dans quelques mois. En réalité, c'est depuis la fermeture du camping dans lequel elle avait à peine les moyens de louer une petite caravane, que ces ennuis ont commencé. Christina Fisher, âgée de 36 ans, s’est tournée vers une agence d’adoption afin de trouver une famille d’accueil à la petite Abigail.
Après quelques semaines de recherches, celle-ci rencontre une charmante famille de Géorgie avec laquelle elle reste en contact durant toute sa grossesse. La fin d'un rêve, 11 janvier, Abigail voit enfin le jour, mais est atteinte du syndrome de Treacher Collins, une maladie génétique non détectée durant la grossesse, causant des malformations au visage de la petite.
Face aux traits singuliers de l’enfant, la mère adoptive qui était venue là voire à l’hôpital prend immédiatement la fuite et ne donne aucune nouvelle à Christina. Consternée, l’agence en charge de l’adoption a immédiatement rayé la famille de ses listes. Christina témoigne :
« C’est là que j’ai réalisé que son destin était de rester avec moi » En dépit de ses malformations, Abigail devrait connaître une existence normale et pourra même subir une opération. En attendant, Christina ne peut désormais plus imaginer sa vie sans elle et a réalisé une série de photographies signée Oksana Peery d’ores et déjà devenue virale.
On leur souhaite tout le bonheur du monde. On leur souhaite beaucoup de bonheur et surtout courage !
Le Chili produit tant d'énergie solaire qu'il la distribue gratuitement
Le Chili ne sait plus quoi faire de son énergie solaire. Ses 29 fermes de production ouvertes ces derniers mois moulinent tant que les excédents ne peuvent plus être écoulés.
Fin mai, le pays a décidé de donner ses kilos de Watt-crête (unité de mesure de l'énergie solaire) aux concitoyens habitant le nord, car c'est dans cette région seulement que la production est excessive. C'était déjà le cas début 2016.
Pendant 113 jours, entre janvier et avril, les Chiliens n'ont pas payé leur électricité. Le gouvernement espérait que le mois de mai permette de fixer à nouveau les prix. Mais la situation économique n'a pas bougé d'un pouce.
Dès lors, cette période de 113 jours laisse à penser que le record de 192 jours d'énergie gratuite enregistré l'an passé devrait être battu en 2016. Le pays a beaucoup investi dans les énergies renouvelables pour faire face à une demande grandissante de la part de l'industrie minière qui a connu un boom ces dernières années. La croissance économique a repris de plus belle également.
Le Chili a d'ailleurs 15 autres projets de construction de fermes solaires. Une bonne nouvelle pour les consommateurs, mais... Le problème, c'est que tout s'est fait trop vite. Les infrastructures n'ont pas mis en place de systèmes de raccordements entre elles.
Ainsi, la surproduction de l'usine du nord ne peut être transférée à celle du centre du pays, malgré ses besoins. Conscient de ces problèmes, le gouvernement précise qu'il fera construire une ligne de transmission de 3000 kilomètres pour unir les deux réseaux, mais il faudra attendre 2017.
D'ici là, ce qui est une excellente nouvelle pour les consommateurs, l'est moins pour les entreprises. Notamment, celles qui se sont engagées dans la construction de nouvelles fermes solaires. Les banques se montrent plus frileuses pour accorder des prêts, tandis que les prix ne sont pas encore prêts de remonter.
Alors, le Chili essaie d'imaginer à quoi toute cette énergie pourrait bien lui servir. La meilleure des idées semble être ce projet de ligne de métro, annoncée fin mai, qui roulerait entièrement aux énergies solaire et éolienne dès 2018. D'ici là, le Chili a intérêt à s'équiper en batteries de stockage...
La grand-mère meurt en emportant avec elle un secret.
Dans toutes les familles, la naissance d’un enfant est toujours un grand moment de joie et inoubliable, qui restera à jamais dans les mémoires des heureux parents.
C’est exactement ce qui est arrivé à ce couple, Katrina et Danny, lorsqu’ils ont appris qu’ils seront bientôt parents d’un petit garçon. Mais parfois même dans le meilleur des mondes tout ne va pas toujours bien.
L’annonce de la bonne nouvelle, est arrivée à un moment que l’on qualifierait de triste, car Katrina a appris que son adorable mère souffre d’un cancer du poumon que l’on ne peut soigner. La mère de Katrina a toujours vraiment compté dans sa vie, et cette dernière est vraiment triste car elle sait que sa maman ne verra jamais son fils.
Pour s’assurer de la présence de sa mère dans les mémoires et les cœurs, elle décide de lui laisser le choix du prénom de son fils, en lui disant au passage de ne dire ce prénom qu’à sa sœur Sarah, qui gardera le secret jusqu’à la naissance du bébé.
La tâche la plus difficile fut donc confiée à Sarah, qui tant bien que mal, s’est battue afin de ne pas divulguer le secret avant le jour-J. C’est un vendredi 13, que le petit garçon est né et c’est également ce jour-là, que le fameux secret laissé par la grand-mère allait être dévoilé.
C’est un véritable moment d’émotion surtout pour le couple qui a eu l’occasion de connaitre enfin le prénom de leur fils. À une 2:40, le prénom du nouveau-né est ainsi dévoilé, regardez la vidéo !