Toi aussi, ils te traquent N'ours .... Pourtant toi aussi tu es une espèce protégée .

Pour apprivoiser l’ombre il me suffit d’un arbre.. Pour approuver le vent il me suffit d’une herbe ..D’un souvenir pour que le ciel s’éclaire.. De ton regard pour donner un sens au monde.

Joyeux anniversaire, les amis Suisses : 44 ans sans chasse, et tout va bien !

Genève, Le 14 mai 1974, l’interdiction de la chasse dans le canton de Genève était approuvée par 72 % de la population. Malgré les affirmations alarmistes des chasseurs d’alors, tout se passe très bien !

Un exemple salué par l’ASPAS, mais qui contrarie un lobby toujours paniqué par la vie sauvage… Aujourd’hui, la faune du canton de Genève est devenue exceptionnellement riche, et les promeneurs apprécient la quiétude des lieux.

Depuis l’arrêt de la chasse, les seuls problèmes notables n’ont été que politiques ou psychologiques, mais certainement pas écologiques. Pourtant, en 1974, le petit monde des chasseurs s’était affolé, maudissant les écologistes et prédisant d’épouvantables pullulations. Même phénomène en France en 1972, lorsque la chasse des rapaces a été interdite. Les chasseurs paniqués multipliaient les prévisions alarmistes.

Aujourd’hui, on observe couramment des faucons jusqu’au cœur des villes, et aucun excès n’a été signalé… Dans les 282 kilomètres carrés du canton de Genève, c’est donc la sérénité. Quelques sangliers commettent bien des dégâts à l’agriculture, mais ces problèmes ponctuels sont réglés par des gardes professionnels, ce qui satisfait les habitants.

Ces sangliers, d’ailleurs, viennent souvent de France , où ils prolifèrent, car leur chasse y est très rentable. De plus, l’absence de grands carnivores favorise l’expansion de ces proies potentielles. En revanche, la présence de petits carnivores (renards, fouines, hermines, etc.), considérés par les chasseurs français comme des « nuisibles » qu’il faudrait à tout prix « réguler », ne pose ici pas de souci.

Il est toujours curieux de constater que des hommes adultes et armés, les chasseurs, sont aussi ceux qui ont le plus peur des animaux. Ce sont encore des chasseurs paniqués par la rencontre qui ont tiré sur nos ours Claude, Melba ou Cannelle, alors que les promeneurs n’ont jamais eu de problème.

Responsables de l’appauvrissement de la nature, les chasseurs n’ont donc pas de leçon à donner sur leur prétendument nécessaire « gestion de la faune ».

L’ASPAS, qui met en place des Réserves de Vie Sauvage® où la chasse est totalement interdite, tient à les rassurer : ils ne se feront pas attaquer par les lapins… source = ASPAS : Association pour la Protection des Animaux Sauvages

- Contacts presse : Pierre Athanaze, Président de l’ASPAS Marc Giraud, Vice-Président de l’ASPAS ASPAS

- Association pour la Protection des Animaux Sauvages BP 505

- 26401 Crest cedex, France Tél : 04 75 25 10 00 - Fax : 04 75 76 77 58

C'est un matin ordinaire ? Le jour se lève, tout est calme .La lune se repose autour des étoiles .Le soleil timidement ouvre ses rayons .La nature s'offre au vent léger qui la caresse .Surprise insolite dans un coin du jardin. Délicatement posées sur quelques fleurs de jolies dentelles nous sont offertes .Nous ne méritons pas de tels chefs d'oeuvre .Nous qui méprisons ces pauvres Aranéides. Peut être plus agréable à écrire qu' Araignée. A mes pieds se faufile coccinelles et fourmis .Caché dans le noisetier un écureuil s'agite .Sur la plus haute branche siffle le pinson .Sur la cheminée un pigeon attend sa belle. Non ce n'est pas un matin ordinaire. Pour ceux et celles qui savent écouter et regarder ...

Le ciel est gris qu'importe il y aura toujours de belles images à partager

Cette vidéo de 2 minutes est le plus beau documentaire que j’ai jamais vu sur la nature. Je pourrais la regarder encore et encore, sans jamais me lasser ! Partager sur Facebook Ce sont les deux plus belles minutes que tu passeras aujourd'hui. Cette superbe vidéo montre notre planète dans toute sa splendeur et est accompagnée par les paroles de la chanson « What A Wonderful World ». Cette vidéo illuminera, à coup sûr, ta journée !

Cette magnifique vidéo, narrée par David Attenborough de la BBC, nous fait voyager dans le monde et nous fait découvrir la nature dans toute sa splendeur. Nous voyons des animaux et des paysages qui nous font rêver. Toutes ces images sont harmonieusement associées aux paroles de la chanson « What A Wonderful World ». Notre monde est vraiment merveilleux !

Si tu aimes notre planète, partage cette vidéo avec tes amis et tes proches !

https://youtu.be/auSo1MyWf8g

Je crois que je l'ai vexé en l'traitant de gros .... Encore dis une connerie moiiiiiiiii

La brise automnale...

L’automne a posé son manteau de couleurs rouges et jaunes sur l’Hexagone et a aussi apporté sa fraicheur !

C’est la révolution de la Terre autour du Soleil et l’inclinaison de son axe de rotation qui fait varier la durée d’éclairement au cours de l’année. La Terre incline son hémisphère nord vers le soleil, de mars à septembre puis c’est l’hémisphère sud qui penche peu à peu vers le soleil. Ainsi, notre région tempérée rentre d’abord dans une mi- saison, l’automne, au cours de laquelle les températures diminuent et le temps devient progressivement nuageux, venteux et pluvieux.

Mais jusqu’à la mi-novembre, arrive parfois l’été Indien, durant lequel le temps nous offre un supplément de journées ensoleillées et adoucies.

L’été qui ne voulait pas s’achever cerf dans un rai de lumière en forêt

 Peut-on parler d’été indien en France comme celui qui enflamme de ses incroyables couleurs les forêts canadiennes ?

En ce mois d’octobre, le mercure ne cesse de cumuler des records et les températures affichent 29,4 °C a Nevers ou 26°C à Nancy, soit entre neuf et dix degrés au-dessus des normales saisonnières.

Mais ce n’est pas pour autant un été indien. Cette expression que l'on peut également trouver sous la forme "été des Indiens" est née il y a deux siècles en Pennsylvanie, aux Etats-Unis et se caractérise par des températures particulièrement douces survenant durant quelques jours après l’arrivée des premières gelées, entre la mi-octobre et le début novembre. Ce que nous vivons actuellement sur l’hexagone n’a donc rien d’un été indien et n’est autre que que notre été jouant les prolongations.

Si nous devions lui donner un petit nom, nous devrions plutôt le qualifier d’été de la Saint-Martin en référence à la légende racontant que lors du passage de la dépouille de ce saint le 11 novembre, tous les buissons se mirent à refleurir sur son passage. Un phénomène qui ne doit rien au miracle mais à des vents venus du sud-ouest provoquant souvent un redoux à cette période.

Rencontre automnale.