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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'arbre est devant moi. Je l'interroge chaque matin: "Quoi de neuf aujourd'hui?" La réponse vient sans tarder, donnée par des centaines de feuilles: "Tout".
Vous pouvez voir que c'est un jeu avec eux. Ils se tiennent debout et attendent de voir qui va faire le premier pas. Au moins, le chien reçoit son exercice pour la journée! Et vous savez jamais quand vous allez faire un ami ou comment différents que l'ami sera!
Une députée PS demande que le statut des animaux sauvages soit également révisé
En forêt de Rambouillet, en juillet 2013. Comme les animaux domestiques, désormais qualifié d'êtres doués de sensibilité dans le Code civil, ceux vivant à l'état sauvage doivent bénéficier d'une telle mesure, estime Geneviève Gaillard.
La députée PS Geneviève Gaillard, présidente du groupe d’étude sur les animaux à l’Assemblée nationale, a déposé mardi une proposition de loi pour que les animaux sauvages soient eux aussi reconnus comme «des êtres vivants doués de sensibilité» dans le code civil, qui les considère comme des «biens meubles». «Je veux faire en sorte que dans cette proposition de loi, les animaux ne soient plus considérés comme des biens meubles mais aussi étendre la reconnaissance d’êtres sensibles aux animaux sauvages», a-t-elle dit lors d’une conférence de presse à l’Assemblée.
«Nous avons aussi voulu rassurer les chasseurs à travers cette proposition de loi,la chasse est reconnue comme un fait sociétal et nous ne voulons pas qu’ils croient que leur activité de chasse sera arrêtée. Par contre, comme la société évolue, les pratiques de chasse peuvent évoluer», a-t-elle estimé.
«On peut chasser avec des règles précises, comme on peut manger des animaux avec des règles précises lors de l’abattage, considérant que l’animal est un être doué de sensibilité», a-t-elle insisté.
Le 15 avril, La commission des lois de l’Assemblée nationale a reconnu aux animaux la qualité «d’être vivants doués de sensibilité», alors que jusqu’à maintenant le Code civil les considère comme «des biens meubles».
Actuellement, le code rural et le code pénal «reconnaissent, explicitement ou implicitement, les animaux comme "des êtres vivants et sensibles"» mais pas le code civil, avaient expliqué les auteurs de l’amendement, dont le député PS Jean Glavany.
Pour Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Bardot, «l’amendement Glavany se limite à sortir les animaux des biens meubles» alors que le groupe d’étude de Geneviève Gaillard «donne la possibilité d’attaquer pour acte de cruauté aussi pour actes commis sur les animaux sauvages».
«C’est une énorme avancée, car la proposition de loi remet en cause certaines pratiques cruelles de chasse mais pas la chasse elle-même», a-t-il ajouté.
De son côté, Réha Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d’amis, s’est félicitée «que le débat au sein du parlement se poursuive» jugeant «nécessaire d’aller au bout de ce processus». «Il s’agit d’une rare opportunité qu’il ne faut pas laisser passer.
En effet, cela fait des années que la question de l’évolution du statut juridique de l’animal est soulevée mais sans traduction législative concrète», a-t-elle dit. Les actes de cruauté envers les animaux sont passibles de 30 000 euros d’amende et de deux ans d’emprisonnement.
j aime le regard de sa maman comme pour dire merci
La joie de regarder et de comprendre est le plus beau cadeau de la nature
Madame Ségolène Royale, ministre de l'écologie et du développement durable : Le renard n'est pas un animal "nuisible" ... !
Pourquoi c'est important Nous soutenons l'action de l' ASPAS (Association de protection des animaux sauvages) à votre encontre, et affirmons aussi que le renard, loin d'être nuisible, est au contraire de grande utilité au monde agricole pour son rôle de limitation de la prolifération des rongeurs, et de régulateur des écosystèmes qu'il occupe.
Les battues aux renard ne sont que prétexte à la libération débridée de penchants pervers et sadiques, s'exprimant en une sorte d'hystérie collective pour se livrer au piégeage de ce petit animal jusque dans son terrier... à l'aide de pinces acérées, ou en le supprimant par empoisonnement.
À ce titre, les « nuisibles » sont chassés, piégés ou empoisonnés en toute impunité. En œuvre depuis des décennies, l’éradication systématique n’a pas produit les effets escomptés. Les trois méthodes préconisées pour leur suppression –le tir, le piégeage ou le poison- sont toutes violentes pour les animaux.
Elles entraînent la souffrance des individus traqués, qui bien souvent ne succombent pas immédiatement. De plus, ces méthodes ont des conséquences sur la faune, le piégeage par exemple ne fait pas de distinction entre les espèces, et la flore.
Dans certains départements, le lapin de garenne est classé « nuisible » car il se nourrit de cultures. On pourrait imaginer que le fait de laisser les renards et les fouines réguler les lapereaux serait une option idéale pour tous.
En effet, renard est considéré comme « UN POLICIER SANITAIRE » tant il permet d’éviter les épidémies en consommant des milliers de rongeurs par an et en s’attaquant toujours aux individus affaiblis, malades ou morts… Et bien non !
Les chasseurs préfèrent classer le lapin de garenne « nuisible » ainsi que le renard et la fouine.». . En, en ce qui concerne l'échinococcose, maladie rarissime, véhiculée par l’échinococcus, parasite dont le renard serait porteur et véhiculeur, il est précisé, scientifiquement, que l'Homme se contamine de manière très exceptionnelle seulement, et uniquement par contact direct :
« La contamination directe se réalise par contact avec le carnivore hôte définitif du parasite et on peut qualifier cette parasitose de " contagieuse ".
Les renards, les chiens et les chats parasités, en se léchant l’anus, chargent leur langue d’œufs qu’ils répandent sur leur pelage en se " toilettant ".
L’homme se contamine EN TOUCHANT CES ANIMAUX et en portant ensuite, sans les laver, les mains à la bouche. Dans ce cadre, IL EST EVIDENT QUE LE RISQUE REEL POUR LA POPULATION NE VIENT PAS DU RENARD qui n’est généralement manipulé que par des personnes parfaitement informées des risques s’entourant de toutes les précautions indispensables.
Le risque réel vient des chiens et des chats parasités et repose sur leurs rapports affectifs avec l’homme : caresses, léchage des plats et des d’autant plus insidieuse que le chien et le chat ne sont pas affectés par le parasite ».
ll a été démontré scientifiquement que le renard possède un mécanisme d’autorégulation (les femelles n’ont pas toutes des petits chaque année).
De plus, les prédateurs sauvages ne peuvent pas proliférer, car ils doivent nécessairement adapter leur densité en fonction des ressources du milieu : s’ils étaient trop nombreux, ils seraient contraints à mourir de faim due à une insuffisance de proies! . À ce titre, il est urgent d'enlever le renard, qui est chassé et tué en toute impunité, de la liste des "nuisibles".
:IL EST AU CONTRAIRE UTILE PAR SON RÔLE DANS LA PRESERVATION DE L'ECOSYSTEME QUE CHACUN PRETEND VOULOIR SAUVER !!!
En période de naissances d’animaux, soyons vigilants en forêt !
Jusqu’au 30 juin 2014, les balades en forêts sont soumises à certaines règles afin de protéger les portées d’animaux sauvages qui viennent de naître.
30millionsdamis.fr fait le point sur les bons réflexes à adopter.
En période de naissances d’animaux, soyons vigilants en forêt ! Alors que les mises-bas des mammifères sauvages et l’éclosion des nichées d’oiseaux se multiplient en cette saison, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) a fixé à partir du 15 avril certaines règles à destination des usagers de la nature.
Sont plus particulièrement visés les promeneurs accompagnés de leurs chiens, car ces derniers peuvent représenter un danger pour les marcassins, faons et autres oisillons, particulièrement vulnérables au printemps.
AMENDE
Dotés d’un flair exceptionnel, les canidés repèrent très facilement les nouveaux-nés cachés et peuvent les déranger - voire les poursuivre - et causer des perturbations à la faune sauvage pouvant aller jusqu’à la mort des jeunes animaux . L’arrêté ministériel du 31 juillet 1989 impose que, du 15 avril au 30 juin de chaque année, dans les bois et forêts, les chiens soient, en dehors des allées et chemins forestiers, tenus en laisse.
Quant au reste de l’année, ils doivent être constamment sous la surveillance de leur maître. En cas de non-respect de ces dispositions, le contrevenant encourt une amende forfaitaire de 135 euros. Le propriétaire d’une forêt privée peut par ailleurs en interdire l’accès aux personnes non autorisées.
Pour les chiens errants - c’est-à-dire « tout chien qui n’est plus sous la surveillance effective de son maître », la loi s’applique toute l’année. Dans ce dernier cas, l’animal est capturé et gardé selon les accords passés dans chaque commune, et le propriétaire peut payer jusqu’à 150 euros d’amende.
QUELQUES PRÉCAUTIONS
Et si lors d’une promenade l’on est amené à faire la découverte impromptue d’un jeune animal sauvage, quelques règles élémentaires doivent être observées. Il faut éviter de toucher l’animal et de déposer ainsi une odeur étrangère qui pourrait déstabiliser sa maman… et la pousser à abandonner son petit.
Attention également : si les petits animaux sauvages sont très attendrissants, leur détention est très réglementée, voire illégale. Les autorisations que peuvent être amenés à délivrer les services des préfectures le sont à titre dérogatoire.
Cependant, si l’animal est blessé ou menacé, les centres de sauvegarde de la faune sauvage ont pour mission de l’accueillir partout en France.
Leurs coordonnées figurent sur le site de l’Union Française des centres de sauvegarde de la faune sauvage (UFCS). L’ONCFS peut également vous aiguiller vers un centre adéquat.
Il met par ailleurs à disposition toute la réglementation en vigueur sur son site Internet. Pour les oiseaux, la Ligue pour la Protection des Oiseaux disposent également de sept centres spécialisés.
Un chevreuil a la peur de sa vie… vous aurez jamais vu ça !!! Regardez ce qui arrive ???
Les forêts sont plus instructives que les livres. Les animaux, les arbres et les rochers vous apprennent des choses qui ne se trouvent pas ailleurs.