J'appréhende la fin. Elle se rapproche, elle est tout près. Elle va bientôt arriver. Je la sens, elle me frôle, elle me hante, elle ronge. Elle souffle sur mon corps, elle crie dans mes oreilles, elle est là, elle est proche, elle ne m'abandonnera pas. Elle me demande devenir avec elle, elle me murmure que c'est fini, que je dois partir d'ici. J'ai peur. Je retiens mon souffle, peut être le dernier, peut être qu'après lui je vais cesser de respirer. Elle chante, elle est présente en étant absente. Elle veut que je la rejoigne , le doute me gagne. Elle m'attire, j'ai envie de partir, de la suivre. Pourquoi rester dans un monde dévasté ? Pourquoi rester quand il n'y a personne pour vous aimer ?  J'ai vécu, hélas j'ai tout perdu. Tout ce qui me retenait ici s'est enfui, est parti. Tout ça ne sont plus que des souvenirs qui me hantent, qui me mentant. Je n'ai plus peur, je retiens mon souffle. Le dernier cette fois ci je sais. Je lève les yeux au ciel, tout est bien à sa place. Elle me supplie de venir, mais je ne vais plus la faire attendre, je vais la suivre, car un jour il faut bien en finir. Tout devient flou, je n'entends plus rien, je ne sens plus mon pouls. Ça doit être ça la fin

Je suis comme un oiseau en cage, je ne souhaite que bonheur et liberté

Je suis perdu là où la seule mélodie qui résonne est le battement de ce coeur qui s'étouffe. Tout ce que j'ai construit s'écroule, tu y crois toi à ce que disent les autres sur l'amour des hommes? Tu crois qu'un jour on sera enfin heureux de vivre ? Moi j'aimerais bien, mais tout à changé depuis que la douleur m'a été délivrée de ses mains. J'ai le coeur en lambeaux et mes pensées, sur ses péchés se deversent en sanglots. J'aimerais te dire que la vie est belle et que forcément l'avenir sera beau, que l'amour reviendra s'écraser dans mes pattes, mais je crains que toutes ces choses ne soient pas faites pour moi. J'ai perdu l'envie d'y croire et tout espoirs en la vie, il ne représente plus grand choses pour moi tu sais, si ce n'est qu'une succession de jours et de nuits, fatalement associés à de mauvaises pensées. Le temps est aux "adieux" mais mon coeur est ailleurs, depuis que je me suis noyée dans ses yeux, j'ai perdu ma douleur. La solitude n'est que traînée, mais ne m'en veut pas de l'aimer plus que je m'aime moi-même.

Te protéger jusqu'au réveil .Tendrement et tout en douceur .Ouvrir les portes de ton coeur et sans faire de bruit entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé des plus profonds de tes pensées. Je dissiperais le brouillard qui détruit tous les espoirs, et lorsque tu te réveilleras tu te souviendras, de tout l'amour que j'ai pour toi

Quand on se sent perdu malheureux et vaincu.Quand chaque jour passé et un jour de perdu,sans savoir si vraiment il fera beau demain, mon cerveau est noyé comme dans un brouillard et mon cœur chaviré a perdu tout espoir. Que vais-je devenir? Pour moi est-il trop tard? Es-ce que toute ma vie sera vouée au noir! Me sortirais-je un jour? De ce tunnel sans fin .Pourrais-je voir un jour à nouveau le soleil! Pour moi quel grand bonheur si par un beau matin je retrouvais la vie comme un nouveau réveil .Quand donc finira-t-il? Ce sombre cauchemar qui me brûle la vie et me vole mes jours. Quand donc reviendras-tu ? Toi, mon ESPOIR Pour me rendre la joie le bonheur et l’amour

Le jour le plus important ce n'est pas le jour ou nous avons rencontrer une personne mais le temps qu'elle passe à exister à l'intérieur de nous

 Ho toi, mon tendre maitre, sans qui je ne suis ce que je suis. Tu m’avais redonné gout à la vie, et le chagrin, en ta compagnie, j’oubliais. J’avais l’habitude que tu me railles,tu connaissais toutes mes failles. Mais que s’est-il passé cette fois ? Je ne comprends pas ton choix. Tu as fait de tes mots des armes, tu as fait couler mes larmes. Ho toi, mon tendre ami, que t’a-t-il donc pris ? Je t’avais, sans en prendre conscience, accordé mon entière confiance. Désormais je suis prévenu, de mon cœur, à jamais tu es exclu. Je ne suis plus qu’un petit animal blessé, encore une fois, abusée et trompé. Qui pourrait de nouveau panser mes plaies, maintenant que tu m’as toute cassée ?

La nature créa la liberté ... Et puis l'homme créa les cages ...

Dans les ténèbres qui m’enserrent, noires comme un puits où l’on se noie, je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient, pour mon âme invincible et fière, dans de cruelles circonstances, je n’ai ni gémi ni pleuré, meurtri par cette existence, je suis debout bien que blessé, en ce lieu de colère et de pleurs, se profile l’ombre de la mort, et je ne sais ce que me réserve le sort, mais je suis et je resterai sans peur, aussi étroit soit le chemin, nombreux les châtiments infâmes, je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme.