Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre

Il y a des personnes pauvres qui n'ont que leur amour et un peu de nourriture à donner, aussi lorsqu'on nous appelle pour nous dire que ces animaux risquent d'être retirés par manque de moyens, et se retrouver dans un refuge où ils n'auront aucune chance, nous ne pouvons pas ne rien faire...Ne serait ce que pour payer les vermifuges, antipuces et soins de première urgence, Merci à tous pour vos partages

Un animal ne s'offre pas : avoir un animal est un choix personnel qui s'assume. C'est un être vivant qui partagera votre vie pendant de longues années.

Beaucoup d'animaux attendent une nouvelle vie, une seconde chance, adoptez les , n'achetez pas dans une animalerie, ADOPTEZ !

On verra cela tant qu'on alimentera les zoos et les cirques

Je trouve insupportable que l'on tente d'opposer l'amour des hommes et l'amour des animaux. Je crois à l'amour de la vie

Il ferme les yeux sous le soleil ,écoute le vent,prend tout sont temps .Il voudrait seulement en les ouvrants que rien ce soit vrai. Qu’elle soit encore là devant lui.Les larmes brulent .Il se rappelle ce geste délicat d’une main qui le caresse.Enfin tout ce qu’il imaginait pouvoir vivre un jour est là dans sa mémoire,éparpillé au milieu du refuge

Je rêve les yeux ouverts. Ma terre et l’eau autour de mes frères, sans détour .Des lieux. Des instants .Ces heures incandescentes quand tombe le vent .Des aubes tendres aux soirs de cendres .Je rêve de ma terre et l’eau autour. Cet endroit .Mon berceau

Je regarde dehors, rien ne bouge ni vis. Là de l’autre coté du mur ,juste un souffle, à peine un murmure .J’étouffe un cri .Tout autour plane la vie,et moi damné au cœur brulé, un jour de plus en sursis. Le regard perdu sur de vieux souvenirs. Des visages aux sourires figés .J’ai fermé la porte sur un passé. Qu’est ce qui me retient encore ? Pourquoi faire des efforts. Le soir j’ai le silence pour compagnon et à ne pouvoir le fuir. Le pousser dans un coin du refuge. Mais ont ne peut le réduire. Je respire mais c’est tout .Alors j’ai laissé mes rêves pendus a mon cou .Jamais je n’aurais de trêve

Je tue le sommeil. Ma proie c’est le cœur de la nuit et ses entrailles

Le long silence des jours m'étouffe, je n'attends plus rien a présent ,je survis