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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

tristesse

Publié à 17:41 par fandeloup
tristesse

Le regard de la compassion dans l'agonie !

tristesse

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : vie sur cul bande poème
tristesse

A l'attention de toutes les ordures qui ont, où qui vont abandonner leur compagnon sur le bord de la route ! Tout ça pour aller tremper leur pitoyable cul de pekno dans la flotte !! Que vos vacances soient les pires de votre vie, bande de bouseux !!!! Lorsque j'ai écrit ce poème, il y a 4 ans, les abandons étaient déjà très nombreux, mais le plus triste, c'est que les chiffres explosent d'années en années

horreur

Publié à 16:24 par fandeloup
horreur

L'HUMAIN EST UN VIRUS !!! Regardez leurs regards, ils sont complètement terrifiés, comme s'ils avaient vu le diable. Et C'est exactement ce qu'ils voient, des monstres humains, ils les enlèvent, les asservissent et les torturent, les torturent et sont forcés de faire des " Tours ", " N'allez pas aux cirques, et si vous voyagez dans des pays où vous voyez ces singes asservis, ne payez pas pour leur souffrance.

recherche

Publié à 14:54 par fandeloup
recherche

Loulou est malade et doit prendre un traitement

abandon..J'entends des pas ...

Publié à 10:51 par fandeloup Tags : aime vie chez amour sur mort nuit heureux chien
abandon..J'entends des pas ...

Il me reste peut-être un ou deux jours à vivre. Personne n'est venu ... Je sais, je vais mourir. Dans ma tête de chien, y'a tant de souvenirs et j'étais si heureux au temps où j'étais libre... Je vous aimais depuis presque une vie entière six ans, je m'en souviens, et c'était merveilleux vous m'avez "balancé" à travers la portière et je n'ai pas compris. C'était peut-être un jeu ... Vous avez disparu au loin sur l'autoroute et je suis resté seul, me traînant au fossé le cœur désespéré et l'esprit en déroute gémissant de douleur sous ma patte cassée ... J'ai fini au refuge où j'attends chaque jour qu'on vienne me chercher pour tout recommencer... Je ne vous en veux pas. J'ai pour vous tant d'amour qu'on sera bien chez nous comme par le passé... La nuit tout doucement a envahi ma cage ... C'est vrai, je vous aimais et je vous aime encore .Je ne dormirai pas et j'attendrai l'aurore en guettant tristement à travers le grillage et puis, quoi qu'il arrive, n'ayez pas de remords, au bout de mon amour, je vous offre ma mort. Vous pouvez à loisir vous dorer sur les plages J.'entends venir quelqu'un ... Il vient d'ouvrir ma cage.

horreur

Publié à 17:38 par fandeloup Tags : photo divers femme vie mer sur nuit animaux amitié chien solidarité
horreur

Elle donnait des coups de pied dans un sac contenant deux chiots

La bénévole d'une association cannoise a signalé, le week-end dernier, la maltraitance aux autorités.

Les chiots, en bon état, ont été placés dans un refuge. L'association Amitié Solidarité Animale (ASA) de Cannes ne sait plus où donner de la tête: chaque jour, elle est appelée pour des maltraitances sur animaux et n'en finit pas de se démener pour les sauver.

Le week-end dernier, l'une de ses bénévoles a été appelée en gare de la Bocca par deux jeunes filles. Celles-ci signalaient une femme qui donnait des coups de pied dans un sac contenant deux chiots d'un mois.

"Un golden retriever de 9 ans était allongé, visiblement épuisé et déshydraté à côté d'elle, détaille la bénévole. J'ai appelé la police. La femme a été placée en garde à vue au commissariat, les chiots ont été mis sous la protection du Refuge de l'Espoir, à Mougins. Quant au chien malade, je l'ai emmené dans une clinique. Il était effectivement déshydraté, sa propriétaire lui donnait à boire de l'eau de mer. Le pauvre est décédé la nuit suivante, les soins du vétérinaire n'ont pas suffi à le ramener à la vie."

La propriétaire a dû se présenter au tribunal. Ce dernier a mis son affaire en délibéré pour septembre. Quant aux chiots, pas tout à fait sevrés, bourrés de tiques et de puces mais en bon état, ils sont toujours au refuge. Sans doute mieux traités que par leur ancienne propriétaire.

honteux

Publié à 10:29 par fandeloup Tags : france bleu sur mort histoire animal jardin chat coup
honteux

Un chat tué par balle au pied d'une résidence de Bayonne .

 Une personne a tiré à balle réelle sur un chat au pied des résidences Breuer de Bayonne ce mardi. Le chat a été abattu au pied des résidences Breuer, côté jardin

Il fait beau ce mardi après-midi à Bayonne. De nombreuses personnes profitent du soleil sur la pelouse au pied des résidences Breuer, qui comptent 2.200 appartements.

Un chat passe devant l'Artotekafe. C'est alors que plusieurs témoins disent avoir entendu un coup de feu. Le chat s'écroule, raide mort. L'une des personnes présentes appelle la mairie pour signaler ce qui vient de se produire.

Le service propreté de la municipalité de Bayonne confirme avoir enlevé un animal mort, en l’occurrence un chat, devant le bâtiment 3 bis. L'histoire aurait pu en rester là car la Police municipale n'a pas été alertée.

Sauf que l'un des témoins est allé déposer une main courante au commissariat de Bayonne pour prévenir de la présence d'une personne armée dans l'un des appartements des résidences Breuer.

amour

Publié à 16:34 par fandeloup Tags : tendresse aime douceur
amour

Petit morceau de tendresse .Regarde le petit morceau de douceur .Et lui dit "oh que de ton regard j'aime tes caresses" Car tu fais fuir mes plus grosses peur...

tristesse

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : amour monde
tristesse

Tout ce qu'il voulait c'est un peu d'amour. Oui il voulait des toujours .Tout le monde lui a toujours dit qu'il méritait d'être véritablement aimée.Il a terminé d'y croire car tout foire .Peut-être qu'un jour. Mais adieu les toujours

horreur

Publié à 12:16 par fandeloup Tags : france sur animaux livre prix air place bretagne
horreur

" La taille moyenne des exploitations a été multipliée par 70 en quarante ans. Dans les fermes d’antan, on se félicitait de compter 12 ou 13 porcs. Aujourd’hui, à moins de 900 cochons, c’est une exploitation miniature. Trois mille élevages concentrent plus de la moitié du cheptel de France. En haut du podium, vainqueur toutes catégories, la Bretagne, qui détient le sinistre record d’élever plus de la moitié des cochons de l’Hexagone.

En Armorique, il y a trois fois plus de cochons que de Bretons… Toujours plus de cochons sur des espaces toujours plus réduits. Pour mettre en place ce système, il a fallu rationaliser l’élevage. Un doux euphémisme : on a retiré les cochons de leurs cours, sans doute un peu rustiques mais dans lesquelles ils étaient libres de leurs mouvements, pour les entasser dans d’immenses bâtiments borgnes, éclairés par la seule lueur des néons.

Dans son édition de 1952, le Larousse agricole élevait pourtant au rang de première condition à la réussite de l’élevage le fait que « les animaux vivent le plus possible à la lumière dans des enclos bien ensoleillés »… Plus de paille, mais des caillebotis sur lesquels les bêtes s’esquintent les pattes. Dommage collatéral de l’élevage industriel. Les petites lattes de bois ou, mieux encore, de plastique doivent en effet être suffisamment espacées pour permettre aux déjections des porcs de s’y faufiler.

D’ailleurs, à peine entré dans l’un de ces bâtiments, une odeur nauséabonde vous assaille. La poussière, lourde, s’infiltre dans vos narines et semble tapisser votre gorge. Sous vos pieds flottent des kilos et des kilos de merde, baignant dans des litres d’urine. Un bruit assourdissant, un ronronnement perpétuel, scande vos pas. C’est la ventilation.

L’air de ces bâtiments est filtré en permanence pour tenter de réduire l’un des principaux fléaux de ces élevages hors sol : les maladies respiratoires, qui représentent la moitié des pathologies frappant les porcs industriels. Elles sont dues à l’air confiné, un air chargé d’ammoniac, de fermentation d’excréments et de squames de peau causés par les frottements des bêtes les unes contre les autres. Étant donné la concentration des animaux, sans cette ventilation les porcs mourraient en quelques heures. D’ailleurs, tous les gros élevages sont munis d’un groupe électrogène en cas de panne électrique… Les assureurs refusent de couvrir les élevages qui en seraient dépourvus. Autre option indispensable : le dépannage 24 heures sur 24.

L’air est d’autant plus irrespirable que la température est élevée. Pourquoi cette chaleur étouffante ? Pour que les bêtes ne dépensent pas sottement leur énergie à se réchauffer plutôt qu’à grossir à la vitesse de l’éclair. Et, surtout, pour qu’elles ne fassent pas de gras. Le porc moderne se doit d’être maigre. En dix ans, il a perdu plus d’un centimètre de graisse afin de satisfaire aux exigences diététiques des consommateurs. S’il vendait des carcasses trop grasses, l’éleveur serait pénalisé financièrement : le prix de la viande dépend de son épaisseur de gras.

Le porc n’a donc qu’à s’accommoder de vivre dans cette atmosphère confinée. Et sans jamais voir la lumière du jour : il vit dans le noir. Les néons ne sont allumés que lorsque l’éleveur débarque pour lui administrer des médicaments ou pour s’assurer que la machine à soupe (c’est-à-dire l’ensemble des tuyauteries qui parcourent les bâtiments) a bien desservi à heure dite et à chacun sa ration de nourriture."

-Le livre noir de l'agriculture, d'Isabelle Saporta