aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Cet incroyable animal n'est pas un extra-terrestre débarquant des profondeurs de l'espace, mais un ver marin du genre Chaetopterus, qui prend cette couleur sous une certaine lumière et crache de la bave bleue fluorescente lorsqu'on le dérange. On connaît plusieurs espèces qui produisent des secrétions bioluminescentes mais cette couleur est inhabituelle. Elle a intrigué des chercheurs qui ont découvert que ce mucus servirait à appâter des proies ou à dissuader des prédateurs et que la molécule responsable était la riboflavine, aussi appelée vitamine B
Une méduse d'1,50 mètre de diamètre s'est échouée sur une plage de l'île de Tasmanie.
Ces animaux prolifèrent actuellement dans les eaux du sud de l'Australie.
Hobart (Australie), jeudi.
Une méduse d'1,50 mètre de diamètre s'est échouée sur une plage de l'île de Tasmanie. Une méduse géante, d'un type non encore répertorié, s'est échouée cette semaine sur une plage australienne.
L'animal, une grosse masse visqueuse de 1,5 m de diamètre, a été découvert par une famille sur l'île de Tasmanie.
Selon la biologiste Lisa Gershwin, elle est apparentée à la méduse à crinière de lion, une espèce qui peut atteindre deux mètres. «Nous connaissons cette espèce mais elle n'a pas encore été classée», a expliqué la scientifique, précisant qu'une prolifération de grandes méduses était observée depuis quelques semaines dans les eaux de Tasmanie.
Le poisson Lanterne –
Myctophidae Myctophidae, ou poisson lanterne est une espèce de poisson avec la particularité, à part d’être très moche, de porter une lanterne devant les yeux, ce qui lui permet de chasser en eau profonde là où aucune lumière ne traverse, et là où les petits êtres, curieux d’y voir une lueur brillante, se jettent profondément dans la gueule de ce poisson…
Je vous l’avais bien dit… c’est moche.
Une espèce de poisson qui se fait piéger par hasard dans les filets des pécheurs, parce qu’en plus d’être laid, c’est pas bon.
Cette espèce à la particularité de ne comporter que des femelles dans leurs individus.
Cette caractéristique a longtemps interrogé les chercheurs, et ont cherchés à savoir si une espèce de vertébré avait réussi ce que les femmes aimeraient toutes : procréer sans les hommes. Et ne faire aucun garçon.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Commençons l’enquête.
Après la dissection d’une femelle de cette espèce, nous avons aperçu plusieurs sortes de « tumeurs », des ganglions à la surface épidermique de la femelle, et cela à plusieurs endroit et sur plusieurs spécimens. Dans ces ganglions, les chercheurs ont retrouvé des gonades mâles ressemblant étroitement à ce que pourraient être les testicules du mâle de cette espèce.
Avoir des gonades mâles « greffées » dans des sortes de « bourses » à la surface de la femelle, c’est déjà du sensationnel. Avoir des gonades mâles fonctionnelles, s’en est une autre ! Et c’est le cas chez cette espèce de poisson !
Alors les chercheurs se sont posé une tout autre question : les femelles naissent-elles directement avec ces gonades mâles à leur surface et leurs propres gonades femelles aussi fonctionnelles ? Pour répondre à cette question, les chercheurs ont récupéré un spécimen vivant, et l’ont gardé en captivité et ont tenté une reproduction grâce au sperme recueilli dans ces gonades et réinjecté sur les ovules que la femelle a largué dans l’eau.
Lors de l’éclosion des œufs, les chercheurs étaient stupéfaits : dans les sujets, il y avait autant de mâles et de femelles et les femelles ne portaient aucunes gonades mâles à leur surface. Comment se faisait-il que les pécheurs ne capturaient que des femelles avec de telles caractéristiques ?
Les chercheurs ont pu observer autre chose : seules les femelles possédaient la tige lumineuse sur leur tête, les mâles n’en ayant pas. Les chercheurs se sont alors penché sur la biologie de l’espèce directement dans son habitat naturel : les eaux profondes, tellement profonde qu’aucune lumière n’y passe. Et ils ne s’attendaient pas du tout à ce qu’ils allaient observer….
En effet, même en conditions normales, les éclosions observées ont été les mêmes que celles observées en captivité. Ils savaient alors qu’ils se passaient quelque chose après l’éclosion. Les femelles naissent directement avec une lanterne fonctionnelle, alors que les mâles n’en ont pas. Dans ces eaux profondes, les mâles sont attirés par la lumière émise par les femelles, et vont les suivre.
Dans les premiers moments de leur vie, les femelles vont pouvoir avoir accès à la nourriture alors que les mâles ne pourront pas, ne pouvant attirer les proies. Une fois que la femelle aura bien mangé et bien grossie, quelques mâles vont pouvoir se greffer sur elle. S’ensuit alors un processus complexe de fusion.
Tandis que les mâles profitent de la nourriture offerte par la femelle, par la mise place d’un réseau sanguin similaire à un placenta et un cordon ombilical comme dans la gestation chez les Hommes, les mâles vont de plus en plus fusionner avec la femelles, n’étant réduit qu’à de simples corps avec des nageoires, puis n’étant plus que de simples amas cellulaires puis n’étant plus que de simples gonades mâles.
Le reste est complètement fusionné ou disparu dans l’organisme de la femelle. Voilà pourquoi l’on ne retrouve que des sujets femelles et qu’elles possèdent les caractéristiques des sujets mâles.
Encore une preuve que les femelles/femmes veulent dominer le monde toutes seules !
Quand nous étions petits, nos parents nous montraient dans les livres ou dans la nature différents animaux pour nous apprendre à les reconnaitre. Comme cela, on a pu découvrir le chien, le chat, la vache, l'écureuil ou encore le particulièrement flippant croisé caniche-bergé-allemand de ma voisine. Mais il faut savoir que dans la nature, il existe également de nombreux animaux particulièrement étranges. On sait que la nature recèle de merveilles, il faut également se rendre compte que des créatures pas spécialement très belles peuplent également notre planète. Alors pour étayer au maximum votre culture des animaux bizarres et incroyables dont on ne soupçonnait même pas l'existant
Quand nous étions petits, nos parents nous montraient dans les livres ou dans la nature différents animaux pour nous apprendre à les reconnaitre. Comme cela, on a pu découvrir le chien, le chat, la vache, l'écureuil ou encore le particulièrement flippant croisé caniche-bergé-allemand de ma voisine. Mais il faut savoir que dans la nature, il existe également de nombreux animaux particulièrement étranges. On sait que la nature recèle de merveilles, il faut également se rendre compte que des créatures pas spécialement très belles peuplent également notre planète. Alors pour étayer au maximum votre culture des animaux bizarres et incroyables dont on ne soupçonnait même pas l'existant.
Cest Glaucus atlanticus, une limace de mer vivant dans les eaux tropicales > > > > et tempérées un peu partout dans le monde.
Avant de devenir ces gros crustacés à la carapace si dure, les crabes passent par plusieurs mues. A leur naissance, ils sont assimilables à du plancton, c'est-à-dire minuscules et sans carapace. La différence de taille est saisissante.
Le poisson chauve-souris
Il s'agit d'un type de poisson vivant dans les eaux profondes (entre 200 et 1000 mètres). Il est relativement aplati et possède un prolongement au bout de la tête semblable à un nez. L'espèce en photo est l'Ogcocephalus parvus.