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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je ne connaissais pas du tout !! Juste sublime On dirait qu'il a une couronne lol
Chromodoris Willani Nudibranch. Ce nudibranche d'une taille maximum de 3 centimètres1, possède une marge de manteau blanc et 2 lignes noirs, l'une autour du corps et l'autre est médiane. Les rhinophores et les panaches possèdent de nombreux points blancs. Il vit dans l'Océan Pacifique tropical, à Bornéo, en Micronésie, à Okinawa. On peut aussi le retrouver en Australie, en Nouvelle-Calédonie, aux Îles Fidji et aux Îles Tonga. On les retrouve dans les récifs, les pentes externes et des tombants, entre 15 et 60 m de profondeur.
Comme si sa vie sexuelle n'était pas déjà assez mouvementée, une limace de mer hermaphrodite pousse l'originalité jusqu'à se séparer de son pénis après avoir copulé. Mais c'est pour mieux s'en faire pousser un nouveau et recommencer de plus belle.
Ce sont des chercheurs japonais qui mettent ce fait en lumière dans une étude qu'ils ont consacrée à cette limace baptisée Chromodoris reticulata et publiée dans la revue «Biology Letters» de l'Académie des sciences britannique.
«Aucun autre animal n'est connu pour copuler à plusieurs reprises à l'aide de tels pénis jetables écriventces biologistes qui expliquent que ce mollusque rouge et blanc n'a pas besoin de plus de 24 heures entre deux accouplements pour dérouler un «pénis juvénile» comprimé à l'intérieur de son corps, et remplacer l'ancien appendice usagé. Et d'expliquer que leurs observations conduites auprès de spécimens capturés en mer et placés en aquarium ont permis d'étaboir que la limace de mer peut rééditer cet exploit au moins trois fois d'affilée.
Il repousse en une journée
Longue comme le pouce, la Chromodoris reticulata qui vit sur des récifs peu profonds et se nourrit notamment de coraux mous ou d'éponges, est hermaphrodite, autrement dit elle est dotée à la fois d'organes sexuels mâle et femelle. Lorsque deux limaces se reproduisent, elles assurent simultanément les deux rôles: chacune donne son sperme et reçoit en retour celui de son partenaire, qu'elle stocke pour une insémination ultérieure.
Après chaque accouplement, d'une durée variant de quelques dizaines de secondes à quelques minutes,les cehercheurs ont noté que chaque limace se débarrassait de son pénis, un organe en forme de filament situé sur le côté de l'animal et projeté dans le vagin du partenaire.
Un examen microscopique de ces pénis jetables a mis en évidence une structure en spirale qui semble pousser pour former un pénis de remplacement, un peu à la manière d'une bobine de fil qu'on déroule. L'étude indique qu'elle n'aurait besoin qu'à peu près d'un seul jour pour être prête à la copulation.Les chercheurs ont également découvert que le pénis de la Chromodoris était recouvert de petites épines, orientées vers l'arrière comme sur un harpon. Cela rendrait difficile l'extraction du pénis une fois la copulation accomplie, expliquant peut-être pourquoi cet organe est détachable.
Les scientifiques japonais soulignent en tout cas que si de nombreux animaux sont capables de se séparer d'une partie de leur corps - la queue chez les lézards, la peau même chez certaines souris -, bien peu renoncent ainsi à leur pénis.
La mer est son royaume. Son cœur est innocence dans son monde aquatique. Un bouclier d'argent, une collerette d'or, un manteau d'écaille, il cherche sa compagne en lieux tenus secrets. Dans la forêt marine. Sur le clavier des eaux quelques notes en bulles résonneront au loin cristallines et pures. Douces et légères pour sa belle princesse.
Seuls les vrais solitaires, quand ils se rencontrent, peuvent s'aimer sans s'abîmer parce qu'ils n'ont pas besoin de se fuir, d'exercer un pouvoir sur l'autre ou de considérer la durée comme une fin en soi
Physalie ou Galère portugaise au large des côtes de Ténérife, aux îles Canaries. Malgré les apparences, cet organisme n'est pas une méduse mais un siphonophore. C'est en fait une colonie de polypes soutenue en surface par un flotteur. Ses filaments, pouvant atteindre plusieurs dizaines de mètres, sont extrêmement urticants
Barracuda et plongeur immortalisés par le photographe Aaron Wong. Colloques et forums ont apporté une caution scientifique à l'événement. A l'instar de Jean-Michel Cousteau, de nombreuses personnalités ont fait l'honneur de leur présence :
Le crabe Yéti, maître des profondeurs glacées. Le crabe yéti ( appelé aussi la galathée yéti, ou encore Kiwa hirsuta)
.Découverts en 2005,par des scientifiques britanniques dans l'océan Antarctique, cette espèce est aussi présente ailleurs dans l'océan, mais les chercheurs jusque-là ignoraient qu'il y en avait également dans cette partie du globe.
Lecrabe yéti cultive des bactéries sur ses long bras comme principale source de nourriture,élégamment habillés de soie blanche qui, apparemment, abriterait toutes sortes de bactérie sûrement utiles au bon fonctionnement de leur évolution, mais également de leur environnement.
Ils sont carnivores et se délectent de petits cadavres qui tapissent les profondeurs de l'océan glacé. Le crustacé peut atteindre une quinzaine de centimètres. Les chercheurs suggèrent maintenant, que le balancement de leur long bras aide les nutriments à recouvrir les bactéries pour essentiellement les fertiliser.
L’examen de ces bactéries a révélé qu’elles tiraient leur énergie du méthane et du sulfure d’hydrogène issus des suintements froids.Une incertitude demeure, à savoir si les appendices du crabe Yéti poilu,pourraient l’aider à détecter les courants dans l’eau. Si oui, les appendices pourraient aider les crabes à identifier les sources de nutriments qui assurent la culture de leurs microbes.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=r3fJAHWTNpc
Une Vidéo prise par un sous-marin (ci-dessous) a ensuite révélé que les crabes récoltent leurs cultures en utilisant des appendices poilus hautement spécialisés au niveau de leur bouche, qui raclent les bactéries de leurs bras.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SLI3Ad-M3iM
Ils se reproduisent en masse et le mot est faible,le nombre de crabes au mètre carré est stupéfiant, ils sont des milliers entassés les uns sur les autres et semblent évoluer dans cet amas a leur aise. Leurs colonies sont énormes. La profondeur de 2500 mètres ne semble pas les déranger.
L`environnement volcanique du crabe Yéti: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=k0QsEpjLwPE#!
L’axolotl (Ambystoma mexicanum) est un urodèle originaire du Mexique. Le terme axolotl (ou axolote en espagnol mexicain) est d'origine nahuatl ; il se compose de « atl » signifiant eau et de « xolotl » pour chien. Il a aussi pour origine le nom du dieu de la mort aztèque nommé Xolotl, qui selon la légende prit la forme de cet amphibien afin d'échapper à l'exil et fut tué pendant sa tentative.
L’Axolotl (Ambystoma mexicanum) est une espèce d'urodèles de la famille des Ambystomatidae. Il fait partie des animaux ayant la capacité de passer toute leur vie à l'état larvaire sans jamais se métamorphoser en adulte (on parle de néoténie), et donc de se reproduire à l'état larvaire (pédogenèse). Il est de ce fait très étudié en biologie animale. Pendant longtemps, on l'a confondu avec Ambystoma tigrinum (ou salamandre tigrée) dont on pensait qu'il s'agissait de la forme adulte.
La salamandre tigrée n'est qu'occasionnellement néoténique, alors que l'axolotl l'est généralement dans la nature. Une autre des particularités qui ont fait la célébrité de l'axolotl est sa capacité à régénérer des organes endommagés ou détruits.
L'axolotl est non seulement capable de reconstituer par exemple un œil manquant, mais il peut aussi recréer certaines parties de son cerveau si elles ont été détruites. Sa tolérance aux greffes est également exceptionnelle.
L 'axolotl est un animal qui semble avoir un maximum d'activité au lever et au coucher du soleil. À la fin de sa croissance, vers l'âge de 18 ou 24 mois, l'axolotl mesure entre 15 et 33 cm, bien que la taille moyenne se situe plutôt aux alentours de 25 cm. Les spécimens atteignant plus de 30 cm ne sont observés que rarement. En aquarium, on y trouve la plupart du temps des individus mesurant dans les 20 cm. On note la présence de sillons costaux chez la larve et l'adulte. À l'état larvaire, ils possèdent des yeux sans paupières ainsi que des branchies à la forme très particulière de fougères, réparties habituellement en deux groupes de 3 houppes branchiales, de part et d'autre de la tête. Celles-ci ne sont pas internalisées (comme elles le sont chez les poissons ou tétards).
L'axolotl possède également des poumons et peut se servir de sa peau pour respirer. Il existe différentes pigmentations, dont une forme normale sombre (présence de mélanine) qui va du noir à différentes variantes de gris en passant par des bruns et couleurs « bronze », et une forme dépigmentée (pas de mélanine mais yeux noirs, particularité appelée leucistisme), et même une forme albinos (absence de mélanine). Les formes albinos et dépigmentées n'existent qu'en captivité. Cette dernière (individus atteints de leucistisme) provient d'un même individu rapporté à Paris en 1863 dans un chargement à destination du Jardin des Plantes. La forme véritablement albinos est couramment utilisée dans les laboratoires et les magasins animaliers. Elle fut créée par un laboratoire américain dans les années 1950 grâce au croisement avec une salamandre tigre albinos.
Aucun des axolotls vendus actuellement dans le commerce n'est capturé dans le milieu naturel, cette pratique étant interdite. La plupart descendent de spécimens utilisés pour la recherche, même ceux disponibles dans les animaleries. Ambystoma mexicanum, forme sauvage Les axolotls sont très proches des salamandres tigrées, leurs formes adultes comportent de nombreuses similitudes, étayant un peu plus la théorie selon laquelle les axolotls seraient issus d'une ramification de cette espèce. La métamorphose de la larve axolotl en adulte se traduit par l'atrophie de ses branchies, le développement de ses poumons (rachitiques à l'état larvaire), et par une série de transformations de son corps lui permettant de quitter son milieu exclusivement aquatique. Cette métamorphose est très rare dans des conditions naturelles. Elle est parfois provoquée par une baisse radicale du niveau des eaux accompagnée d'un réchauffement important. En captivité et avec un axolotl en pleine forme, il suffirait de le déplacer d'un milieu purement aquatique vers un vivarium dans lequel on réduirait progressivement le niveau de l'eau. Menacé d'assèchement, il arrêterait alors d'utiliser ses branchies et privilégierait ses poumons. Ainsi sur plusieurs semaines, il se métamorphoserait petit à petit en adulte. Une précaution à prendre est de maintenir une atmosphère humide dans le vivarium, en y vaporisant de l'eau par exemple (via un brumisateur). De façon artificielle, une stimulation chimique de la thyroïde peut être utilisée pour déclencher cette transformation, ceci par le biais d'injections d'« iodine » ou d'hormones de type « thyroxine ». La perte de la capacité à produire d'eux-mêmes les hormones nécessaires à cette transformation résulte du caractère néoténique de cet animal. De plus, ce changement réduit considérablement l'espérance de vie de l'axolotl, si tant est qu'il y survive. Un axolotl au stade néoténique peut vivre de 10 à 15 ans (bien qu'un individu observé à Paris aurait vécu jusqu'à l'âge de 25 ans). Un individu au stade adulte, lui, ne dépassera guère les 5 ans.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Axolotl
Je me sens parfois comme une vague incomprise, qui vient se briser contres les rochers de l'indifférence en tentant de se faire comprendre, et chaque fois j'échoue...Qui pourrait comprendre l'écume de l'amer ?