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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le jour ou l'humain comprendra que toute vie sur cette planète est importante , le jours ou l'humain comprendra l'importance de vivre en harmonie , le jour ou l'humain comprendra que l'homme n'est pas supérieur mais égal a toute création , Ce jour là nous danserons tous ensemble pour célébrer la vie , car nous serons enfin sur le sentier de la paix.....
Le requin-lézard, tout droit sorti de vos pires cauchemars
Le requin-lézard sillonne les eaux de notre planète depuis 95 millions d'années. Sa mâchoire, sa tête et sa gorge sont extensibles pour pouvoir avaler des proies entières.
Le " Ragondin " , nom que l'on a orthographié " rat gondin " jusqu'en 1869- est un mammifère semi-aquatique.
Le terme vernaculaire employé pour désigner les rongeurs de cette famille est rat épineux. On l'appelle parfois loutre d'Amérique et castor des marais bien qu'il soit tout à fait différent de la loutre et du castor.
Le mâle adulte mesure jusqu'à 1,05 m de longueur avec la queue, et peut peser 9 kg. La femelle possède un détail anatomique très particulier, quant à la position de ses mamelles.
Celles-ci se situent non pas sur son ventre mais légèrement décalée vers ses flancs. Cela présente un avantage de taille, puisque la mère ragondin allaitante peut continuer à nourrir sa progéniture tout en se déplaçant dans l'eau.
Nous ne sommes pas différents, nous regardons dans la même direction, aux regards des plus grands, nous serons des exceptions...
La nuit avec de bonnes lumières sous l’eau, on peut révéler les vraies couleurs des spécimens sans aucune distraction. Le fond est noir et avec une bonne gestion des 8000 lumens artificiels, on réussit à éclairer seulement le sujet.
Cette grenouille met bas par le dos (et autres naissances insolites)
Reptiles, amphibiens ou insectes : les mammifères n'ont pas le monopole de la naissance vivante.
Sur les multiples façons de naître, la naissance vivante est bien évidemment celle avec laquelle nous sommes le plus familiers. Nous, mammifères, donnons naissance à des bébés vivants, gesticulants, et nous pensons souvent que la seule autre façon est de pondre des œufs… mais en réalité, les animaux emploient des méthodes diverses et variées pour mettre au monde leur progéniture. Également appelée viviparité, la naissance vivante est fréquente au sein du royaume animal et elle ne concerne pas que les mammifères.
Elle existe également chez les poissons, les amphibiens, les insectes et les arachnides pour ne citer qu'eux. À dire vrai, la viviparité a évolué environ 150 fois de façon indépendante chez diverses espèces animales, notamment 115 fois chez les reptiles actuels, soit trois fois plus que chez toutes les autres espèces de vertébrés combinées, indique Henrique Braz, herpétologiste au sein de l'Institut Butantan de São Paulo, au Brésil.
Viviparité ou oviparité, les deux méthodes ont leurs avantages et leurs inconvénients, mais la reproduction ne se limite en aucun cas à ces deux propositions. La ponte et la gestation sont deux points d'un même continuum et de nombreuses espèces se situent entre les deux.
ENTRE-DEUX
Le devoir commun à toutes les mères est de nourrir leur petit : sous la forme de jaune dans un œuf ou, pour les vivipares, parfois directement depuis l'organisme de la mère. Pour ce qui est des hippocampes, un cas unique, la nourriture provient de l'organisme du père. Certaines espèces parviennent à donner naissance à des petits vivants sans que la mère contribue, ou très peu, à la nourriture in utero. Pour cela, les bébés sont conservés dans leurs œufs à l'intérieur du corps de leur mère, ce qui leur permet de croître et de se développer en utilisant le jaune d'œuf comme source de nourriture.
Ensuite, une fois les petits complètement formés et prêts à voir le jour, ils naissent après avoir éclos à l'intérieur de leur mère. Appelé ovoviviparité, ce type de reproduction est fréquent chez les vipères, une sous-famille de serpents venimeux, mais la plupart des autres serpents pondent des couvées d'œufs. Cette méthode de reproduction se retrouve également chez un certain nombre de poissons, comme les Mollys et les Guppys.
L'un des exemples les plus surréalistes est celui du crapaud Pipa pipa, un amphibien singulièrement plat qui ressemble à une feuille et habite les forêts pluviales d'Amérique du Sud. Lors de l'accouplement, le mâle dépose des dizaines d'œufs fécondés sur le dos de la femelle dont la peau recouvre les œufs et crée une surface semblable à du papier bulle inversé. Les bébés se développent dans ces petites cavités pendant plusieurs mois avant de sortir par le dos de leur mère pour plonger dans l'eau sous la forme de minuscules crapauds sans même passer par le stade de têtards.
Pourquoi cette espèce a-t-elle développé un système aussi étrange ?
À l'instar de nombreuses autres espèces ovovivipares, la femelle Pipa pipa a choisi de protéger ses œufs en les emmenant partout avec elle, ce qui est très utile dans un monde truffé de prédateurs qui n'en feraient qu'une bouchée. SUR PLACE La plupart des animaux vivipares alimentent directement leurs bébés d'une façon ou d'une autre. Chez les mammifères, ce comportement est la norme.
En revanche, chez les amphibiens, les crapauds Nimbaphrynoides occidentalis en danger critique d'extinction sont les seuls à être nourris entièrement in utero par les ressources de leur mère. Vivant en Afrique de l'Ouest, la femelle Nimbaphrynoides occidentalis connaît une gestation de neuf mois pendant laquelle ses crapauds fœtaux sont nourris d'un « lait utérin » très nutritif. Chez les vivipares également, certaines mères laissent libre cours à leur imagination lorsqu'il s'agit de nourrir leur progéniture pendant la grossesse.
Ainsi, les mouches africaines tsé-tsé (Glossina morsitans) portent une seule et unique larve dans leur utérus qu'elles nourrissent d'une sorte de « lait » sécrété par une glande spécifique. La blatte Diploptera punctata donne naissance à des versions miniatures d'elle même, des bébés complètement formés qu'elle nourrit d'un élixir utérin similaire. Et les bizarreries du royaume animal en matière d'alimentation in utero ne s'arrêtent pas là.
Certains gymnophiones vivipares, des vers-amphibiens vivant presque intégralement sous terre ou au fond des rivières, se nourrissent de leur mère depuis l'intérieur : ils grattent et dévorent l'épaisse paroi interne de son oviducte, le conduit qui achemine les œufs depuis les ovaires. Autrement plus sanguinaire, chez plusieurs espèces de requins le ventre de la mère abrite une bataille embryonnaire au cours de laquelle les futurs requins tuent leurs frères et sœurs pour se nourrir.
UN LIEN PROFOND
Certains animaux poussent encore plus loin leur viviparité en entrelaçant leur propre système circulatoire avec celui de leur fœtus en développement afin de les nourrir et d'éliminer les déchets. Ce lien peut prendre la forme d'un organe spécialisé et temporaire, comme le placenta. Bien que les placentas soient généralement associés aux mammifères dits « placentaires » comme les humains, les chats, les chiens et les baleines, ces groupes ne sont pas les seuls à faire usage de cet organe. Une ourse polaire se délasse après avoir allaité ses petits au parc national Wapusk, situé dans ...
« À dire vrai, cet organe n'est pas uniquement composé des tissus de la mère ou de l'enfant, » explique Camilla Whittington, biologiste de l'évolution à l'université de Sydney. Techniquement, tout organe constitué à la fois de tissus maternels et fœtaux qui échangent des nutriments est considéré comme un placenta. Même les marsupiaux, des mammifères qui transportent leurs petits dans des poches, ont des placentas rudimentaires. De plus, l'évolution a doté d'un placenta certains groupes d'animaux inattendus.
Par exemple, les requins-aiguilles de l'Atlantique (Rhizoprionodon terraenovae) nourrissent leur fœtus via un organe qui ressemble à s'y méprendre au placenta humain dans une version réduite, illustre Whittington. Certaines espèces de lézards développent également un lien placentaire avec leur progéniture, bien que le saurien africain Trachylepis ivensi soit l'unique espèce de reptile dont l'embryon parvient à s'enfouir dans la paroi de l'oviducte, ce qui n'est pas sans rappeler le degré d'implantation observé chez les mammifères en gestation.
AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS
Vous l'aurez constaté, la viviparité ne relève pas du tout-ou-rien et laisse une place non négligeable à la flexibilité. Ainsi, certains lézards et serpents sont ovipares sur une portion de leur aire de répartition géographique mais vivipares sur une autre. Les scientifiques ont même déjà observé un lézard pondre des œufs et donner naissance à des petits vivants dans la même couvée. Mais alors, pourquoi choisir la viviparité quand elle présente assurément certains inconvénients ? « Vous pourrez demander à n'importe quelle femme enceinte deux semaines avant l'accouchement, les déplacements sont plutôt difficiles, » indique Whittington.
« Imaginez un instant, vous êtes une femelle lézard enceinte et vous avez beaucoup grossi, vous pourriez avoir du mal à échapper aux prédateurs. » Par ailleurs, le fait de porter en soi un bébé en développement augmente les risques pour la lignée si la mère se fait dévorer. En revanche, si les œufs ont été déposés dans un endroit sûr, la lignée génétique a une chance de survivre à la mort de la mère. Cela dit, porter sa progéniture plus longtemps peut aider à la protéger et permet d'exercer un contrôle direct sur les conditions de son développement, notamment sur la température. C'est peut-être pour cette raison que les régions froides affichent une plus grande proportion d'espèces vivipares. « Si vous vivez dans un climat froid et variable et que vous laissez vos œufs dans un nid, il existe un risque qu'il fasse trop froid, » explique Whittington.
Quels que soient les avantages que les mères vivipares tirent de la grossesse et de la naissance vivante, le fait que cette aptitude ait évolué des dizaines de fois dans le royaume animal suggère que la récompense est à la hauteur des efforts.
Le magnifique poisson-mandarin est originaire du Pacifique ouest, c'est un poisson rayonnant qui brille de milles couleurs
Un dauphin né à Marineland donne naissance à un bébé, une première
La gestation des dauphins dure une année environ.
Un dauphin du parc aquatique de Marineland, à Antibes (Alpes-Maritimes), lui-même né sur place, a donné naissance à un bébé, a indiqué vendredi le parc animalier en soulignant qu’il s’agissait du premier représentant la deuxième génération de dauphins nés dans le parc.
Le bébé, une femelle pesant environ 15 kg pour 85 cm, est né le 8 mai et se porte bien, alimenté par le lait maternel, précise le parc. «L’animal ne tète pas à proprement parler, car il n’y a pas de tétines, il se positionne sur le flanc, au bon endroit sur la fente mammaire, et ensuite la mère expulse le lait», détaille Damien Montay, directeur zoologique du parc. Pendant la mise bas, la maman, Nala, âgée de 10 ans, a été aidée, comme cela se passe chez cette espèce, par une femelle plus expérimentée, en l’occurrence sa propre mère, Malou, note aussi le parc.
La gestation elle-même dure une année. Avec ce nouveau né, le parc Marineland, qui est le principal delphinarium en France, compte désormais 11 dauphins. Polémique sur la reproduction des dauphins en captivité Cette naissance intervient alors que la reproduction des dauphins en captivité est contestée par plusieurs ONG.
En janvier 2018, les parcs aquatiques avaient obtenu du Conseil d’Etat l’annulation pour vice de procédure d’un arrêté ministériel interdisant la reproduction des dauphins et des orques en captivité. Le 3 mai 2017, Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement, avait signé cet arrêté interdisant la reproduction de ces deux espèces en France et prévoyant également l’augmentation de la taille des bassins et l’interdiction du chlore dans le traitement de l’eau, dans le but notamment de «supprimer la souffrance animale».
Marineland, pendant cet intervalle, avait dû prendre des mesures contraceptives pour éviter la reproduction de ses animaux . Le parc est fermé depuis le 14 mars, en raison de la crise sanitaire, et attend des autorités gouvernementales une autorisation pour rouvrir.
À Mayotte, le braconnage des tortues vertes explose à cause du confinement Au total, 28 cadavres de tortues vertes ont été retrouvés depuis le début des mesures de confinement sur les plages de Mayotte.
Les braconniers ont profité de l’absence de surveillance pour extraire puis vendre la viande des tortues marines venues pondre
Depuis le début de la crise sanitaire liée au Covid-19, les plages de Mayotte connaissent une forte augmentation du braconnage des tortues vertes (Chelonia mydas). Les braconniers tirent profit du fait que les associations, les gardes du conseil environnemental, la police et les touristes soient confinés pour agir en toute impunité.
LE BRACONNAGE, UNE PROBLÉMATIQUE QUI PERDURE Officiellement, 350 femelles tortues sont retrouvées mortes chaque année sur les plages mahoraises. « Ce chiffre ne prend pas en compte les cadavres emportés en pirogue, enterrés ou cachés par les braconniers » explique Jeanne Wagner, présidente de l’association Oulanga na Nyamba, qui signifie « Environnement et Tortue » en Shimaore, une langue locale.
Le braconnage ne touche pas seulement les tortues, d’autres espèces comme le hérisson malgache (Tenrec ecaudatus) ou certaines espèces marines qui sont capturées dans l’illégalité. Depuis cette découverte macabre, des patrouilles ont été remises en place sur les plages de l’archipel. À Mayotte la viande de tortue se vend environ 50 euros le kilogramme au marché noir contre 7 euros pour du poisson dans les marchés traditionnels. Ce centre de réhabilitation des tortues de mer situé à l'intérieur de l'un des hôtels les ...
« Cette chasse illégale n’est pas alimentaire, de manière générale, ce sont les Hommes qui se réunissent et qui la mange accompagnée de mets spéciaux, elle aurait des propriétés prétendument “renforçantes “» explique Jeanne Wagner.
« LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS ONT PERMIS D'ÉVEILLER UNE CERTAINE CONSCIENCE »
« C’est difficile de faire de la problématique “tortue marine“ une des problématiques principales à Mayotte. Le préfet de l'île fait de la lutte contre l’immigration clandestine une priorité mais les événements récents ont permis d’éveiller une certaine conscience, les forces de l’ordre vont commencer à travailler sur les filières d’acheteurs et de consommateurs de viande de tortue. » explique Jeanne Wagner, optimiste pour les années à venir. L’association a porté plainte pour destruction d’espèces protégées. Deux braconniers ont récemment été arrêtés puis relâchés pour vice de procédure.