Le cœur en détresse, je pleure son absence ,contant à la nuit nos récits jamais narrés ! Dis-moi, destin !, pourquoi nous as-tu séparés ? Réponds ! Depuis quand as-tu perdu le bon sens ? A qui puis-je me plaindre les assauts du vent,qui a enlevé mon rêve de sous mes draps ? Ho justice ! Comment pourrais-je être contente,si au coupable je ne peux couper les bras? Ciel clément, rends-le moi, je paye sa rançon! Je t'en prie aie pitié de ma douleur! 

Je parle de toi au vent pour qu'il te répète mes mots.Je sais que tu les entends entre les cailloux du ruisseau ,et demain ,seule devant ton silence, je te dirai dans un sanglot qu'elle est si lourde ton absence

Le temps passe, les souvenirs s’estompent, les sentiments changent, les gens nous quittent, mais le cœur n’oublie jamais

Il y a un vide dans mon cœur qui ne sera jamais combler. Un vide, dont je mesurerai pleinement l’ampleur, il y a un vide dans mon cœur qui ne sera jamais combler, et c’est dans ce vide que j'attend...

C'est là que je te vois, dans l'amplitude et l'ouvert du paysage, dans la beauté sans partage de la terre et du grand ciel, toi partout à l'horizon, c'est en tournant le dos à ta tombe que je te vois.

Aujourd'hui tu aurais eu 36 ans mais la vie en a décider autrement.Quand mon ? sera voilé de tristesse, sauvé ou perdu du chagrin qui l'entraîne, j'écouterai le vent qui me parlera de toi, j'entendrai le son de ta voix, et sa musique sera ivresse. A chaque matin d'été, chaque instant d'ignorance, ce ? imaginera là, une douce présence, malgré cette sombre absence, qui de toi, me sépare, mais que l'Amour demeure, ici et quelque part...

32 mois que tu as déployé tes ailes vers le paradis.. Un an que la mort nous sépare et pourtant tu restes si prés de moi, dans mon coeur.C'est le coeur qui parle, les yeux qui pleurent,c'est la sécheresse en moi même en saison de pluie.. C'est un monde refait lorsque je me dis '' si t'étais en vie..

Quand mon coeur sera voilé de tristesse, sauvé ou perdu du chagrin qui l'entraîne, j'écouterai le vent qui me parlera de toi, j'entendrai le son de ta voix, et sa musique sera ivresse. A chaque matin d'été, chaque instant d'ignorance, ce coeur imaginera là, une douce présence, malgré cette sombre absence, qui de toi, me sépare, mais que l'Amour demeure, ici et quelque part...

Quoi que je dise, quoi que je fasse, toutes ces larmes sur mes joues coulent, face à ta perte je ressasse, inondé par ces gouttes je coule, le temps pansera cette blessure, bien que je garderais ces souvenirs, ceux qui pour moi et j'en suis vraiment sur, faisait de toi un "être" d'élixir,  tu me suivra partout dans mes pensées, chaque jour je t'enverrai mon amour, tu sera ma force d'avancer, pour sauter ces fossés qui m'entourent.

Tu es de ceux que le temps dépose au gré d'un espoir et qui malgré le poids des années jamais ne vieillit. Tu es de ces souvenirs que l'on souhaiterait revivre tous les jours, de ces éclats de rire qui font encore échos dans ce cœur fatigué de vivre, épuisé par l'espoir vieillissant de n'avoir jamais su dire "je t'aime". Pourtant, aussi fragile et délicat qu'un baiser volé au gré du vent, tu parviens à faire naître à chaque fois un sourire au bord de mes lèvres.

J'ai besoin de toi…j'ai besoin de toi dans mes gestes comme dans mes larmes, dans ses regrets plantés à mon âme, comme l'encrier qui devient le sang de mon ame. J'ai besoin de toi comme une femme en cavale a besoin de fuir son calvaire. Mon passé me pourchasse, je me sens en sécurité nulle part. J'ai peur, car dans ma cavale j'ai pris un éclat de souvenir dans la poitrine, un de ses souvenirs qui -autrefois- jurait que l'avenir était à nous. Comme lors de ce jour sans lune, moi je suis là, à genoux, à chanter mon amour perdu à la foule. Mais comme lors de cette nuit sans lune, personne ne m'écoute, alors moi je m'écroule et encore une fois, je pleure pour toi.