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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je ne tiens pas en place ,J'erre dans la maison, devenue ma prison Je fixe le téléphone en espérent un miracle, J'espére qu'au bout du fil se soit toi, fébrilement, Je rêve tant d'entendre le son de ta voix, et à chaque fois ,pauvre folle que je suis ,je cours pleurer mon immense déception dans mon lit. Et je ne suis plus que frustration , regrets ,anéantie. Le manque de toi devient insupportable , lancinant. Et lorsque la nuit tombe,le manque de toi deviens plus intense encore. Je t'imagines ,ton visage me hante, je suis vidée .Et mon pauvre ♥ fragilisé n'en peut plus de t'imaginer .Ce traitre me lâche ,s'emballe en bâtant la chamade .Tu me manques ,les souvenirs envahissent mon esprit. Et des larmes de désepoir coulent sur mon visage .Tous nos moments partagés m'envahissent sans répis. Tu n'es plus là et pourtant jamais aussi présent,je suis paumée .Toi seul m'habite . Je suis au bord de la folie,le manque de toi devient déchirant. Et même si parfois pour ne pas perdre la face je fais semblant ... De toutes les fibres de mon être je t'appelle inconsiement. Mon pauvre esprit tourmenté je le hais, Il me fait perdre toute fierté et je m'imagine me jeter à tes pieds, et t'implorer de revenir , de rester à mes côtés .Car quoi que je fasse , à chaque moment de la journée et la nuit dans mes rêves, mes souhaits ,deviennent réalité .Je suis dans tes bras comme autrefois ,enlacés. Tu me couvres de baiser ,tu me murmures des mots gorgés de promesse , tu connais si bien mes faiblesses . Mais lorsque au petit matin je te cherche dans mon sommeil ,et que de la torpeur de mes rêves je sors, quelle cruauté .Mon reveil devient insoutenable,car je réalise que tu ne fais plus partie de ma vie. j'ai mal à en crever, et je maudis ce jour. Je ne veux plus penser, plus rêver ,arrête de me hanter .Dans mes nuits d'insomnies , tu es le seul qui manque à ma vie. Hélas mon ♥ et ma tête ne veulent rien entendre .. Lorsque tu es parti, tu as pris mon , mon âme , mon esprit
Je m'endors avec ton image, tout comme un mirage, je ne peut t'oubier tous les jours à tes côtés je ne peut m'empêcher de t'avoir dans mes pensées
Chaque jours je pense à toi, ou plutôt à nous. Je pense à tout ces petits rituels du quotidien. Lorsque tu me servais mon café matinal toujours un peu trop chaud. Que tu posais tes mains sur mes épaules et regardais au dessus de moi. Ou encore quand tu m'embrassais du bout des lèvres quand tu partais au travail pour ne pas me reveiller. Je m'y étais attaché à ces rituels. Ils faisaient partie intégrante de ma petite vie.Tu avais le don pour rendre des choses banales absolument extraordinaire. Et puis un jour, tu es partie pour ne jamais revenir. Tout est aller très vite, maintenant, la seule chose qu'il me reste ce sont nos photos et ton parfum. Un parfum si doux.
Si seulement il existait des mots qui sauraient te raconter, je trouverais les plus beaux ceux qui ne peuvent rien briser. Je les placerais devant toi sur une tendre mélodie et ils t'exprimeraient ce que moi je n'ai encore jamais dit. Pourquoi donc cette solitude d'un ♥ qui a tant souffert, vient blesser les habitudes comme si elles ne savaient que faire. Ce matin je pense à toi et les mots dansent devant mes yeux, j'aimerais être dans tes bras plus un seul mot rien que nous deux.
Je ne t’oublierai jamais ,trois mille ans peuvent s’écouler ,mais jamais je t’oublierai .Je peux mourir demain, mon âme peut sécher, mais jamais je t’oublierai .On peut effacer ma mémoire ,on peut me volé ton histoire, mais jamais je t’oublierai. Comment oublier ton sourire ,comment oublier ton regard, comment oublier que je priais pour que tu ne partes pas ,comment oublier tes folies ,comment oublier que je t’aimais plus que la vie ♥ plus que tout et rien .Trois mille ans peuvent s’écouler,mais dans mon ♥ a jamais tu demeures
Si l’on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut exprimer qu’en répondant : « parce que c’était lui, parce que c’était moi.»
Je suis ici et toi la bas ..Pourquoi cela ? Je pense à toi ,au moment que nous aurions passés si tu serais à mes cotés. J’aimerais partir de cette terre pour te voir au ciel et t’observer. Je te dédie ce poème pour te dire à quel point je t’aime. Et que mon amour pour toi, vivra jusqu’a la fin de mes jours
Pour les jours silencieux , où j’écoute tomber la pluie,
Et les matins frileux ,qui me font regretter nos nuits .
Pour toutes ces différences, qui créent l’indifférence depuis ,
Pour les heures passées, à regarder tourner l’ennui .
Et les trésors cachés, qu’on enterre à jamais sans vie ,
Pour tous les souvenirs qui s’ennuient, à mourir et puis ,
Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois
Que le temps qui passe, ne me guérira pas .
Rien te ne remplace , je manque de toi , je meurs de toi .
Et je m’aperçois que tu manques à l’espace .
Pour cacher mes erreurs, que je commets par coeur et si ,
au profit du bonheur , j’échangeais la douleur sans bruit .
Pour ces sommeils qui dansent , comme des récompenses enfuies ,
Comme le bleu des nuances, devient gris de souffrance aussi .
Pour les soleils violets que tu dissimulais meurtrie , et les rires empruntés qui te raccrochaient à la vie .
Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois ,que le temps qui passe ne me guérira pas .
Rien ne te remplace , je manque de toi , je meurs de toi , Et je m’aperçois que tu manques à l’espace .
Laisse-moi respirer , juste une heure encore , cette fleur fânée , puisque la mort ennemie a pris l’amour d’une vie .
Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois ,que le temps qui passe ne me guérira pas .
Rien ne te remplace , je manque de toi , je meurs de toi , et je m’aperçois , que tu manques à l’espace .
Laisse-moi respirer , juste une heure encore cette fleur fânée puisque la mort ennemie a pris l’amour d’une vie .
Pour les jours silencieux , où j’écoute tomber la pluie , et les matins de Dieu je te regrette chaque nuit .
Patrick Fiori .
Comment décide-t-on de la valeur d’une vie ?
Ce qui importe ,ce n’est pas de mourir, c’est ce qu’on fait au moment où on meurt.
J’avais rencontré l’amour et j’étais prête à aimer
C’est cela, sans doute, faire don deuil: accepter que le monde continue, inchangé, alors même qu’un être essentiel à sa marche en a été chassé