aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le plongeur ne comprend pas ce que le phoque lui veut – il lui tend sa main et… je reste bouche bée
La nature peut parfois nous offrir des expériences exaltantes. C'est ce qui est arrivé à ce plongeur qui rencontra un jour un phoque fort sympathique.
Regarde la vidéo pour voir ce qui s’est passé :)
https://youtu.be/Oz5pjXQMhiE
Rescapée d’un élevage illégal, une chienne retrouve goût à la vie
Secourue en 2011 par la Fondation 30 Millions d’Amis dans un élevage illégal où elle était délaissée aux côtés de 40 autres congénères, Nessie a pu être adoptée et découvrir enfin la vie de famille.
7 ans après, 30millionsdamis.fr vous donne de ses nouvelles ! De la peur… à la douceur. Nessie, 12 ans, a eu un début de vie difficile.
En octobre 2011, les équipes de la Fondation 30 Millions d’Amis étaient appelées pour prendre en charge près d’une quarantaine de chiens de race berger d'Asie centrale dans un élevage de l’Allier (03).
Outre les nombreux manquements à la réglementation, les animaux étaient maintenus dans des conditions de vie très mauvaises. Peu sociables, craintifs, certains n’avaient eu jamais aucun contact avec l’homme.
« L’éleveuse » avait accepté de céder les animaux au profit de la Fondation 30 Millions d’Amis. Placés dans différentes structures partenaires de la Fondation 30 Millions d’Amis, les chiens ont été proposés à l’adoption. C’est au refuge de Brugheas (03), que Laurence a craqué pour Nessie en janvier 2012 ; cette grande boule de poils traumatisée était alors âgée de 5 ans. Des dents cassées, un bout de langue coupé...
Nessie se serait nourrie de cailloux pour survivre. Elle souffrait aussi d'un problème à la colonne vertébrale et était épuisée par les années de reproduction forcée.
La peur au ventre « Lorsque je l’ai récupérée, elle n’osait pas manger, elle était morte de peur. Elle attendait la nuit pour se nourrir ! », décrit sa maîtresse. Nessie, Sam et l'une des filles de Laurence.
Après de longs mois de patience et d’obstination, Nessie a bien changé. « Aujourd’hui, elle mange de tout, elle est devenue très gourmande, indique sa nouvelle maitresse. Elle a aussi repris confiance en elle et envers les humains ».
« Depuis 7 ans, elle vit dans la bienveillance et l’amour », résume-t-elle. Une rescapée adorable Outre l’amour de ses maîtres, Nessie a aussi pu compter sur l’aide d’un comparse, lui aussi adopté dans un refuge.
« C'est Sam qui lui a appris à jouer. Ils sont ensemble depuis 6 ans maintenant » précise Laurence. « Avant l'arrivée de Sam, elle était comme pétrifiée, elle n'osait pas bouger. Lorsqu'il a débarqué, elle s'est peu à peu mise à gambader à ses côtés. C'est comme s'il l'avait rééduqué. Il a été un thérapeute extra ! » ajoute-t-elle. Malgré son grand gabarit, Nessie est un océan de douceur… dont elle fait profiter ses proches :
« C’est un amour de chien, je suis heureuse de l’avoir. N'hésitez pas à adopter plutôt d'acheter. Contrairement aux préjugés, les animaux des refuges ne sont pas forcément les chiens à problèmes qu'on pense », conclue-t-elle. Aujourd’hui âgée de 12 ans, le berger d’Asie profite d’une retraite paisible et heureuse, bien méritée !
Penguin, la pie qui sauva toute une famille
Après le grave accident qui la laisse entièrement paralysée, Sam Bloom, une mère de famille australienne, s’enfonce dans une profonde dépression. Jusqu’au jour où, tel un ange gardien, une pie tombée du ciel lui redonne le goût de vivre…
Penguin est arrivée dans ma vie au moment où je n’étais plus tout à fait sûre de vouloir la poursuivre… Sans elle, j’aurais mis beaucoup plus de temps à recouvrer mes forces, physiquement et moralement. » Quatre ans après le drame, l’Australienne Sam Bloom n’a rien oublié de sa gratitude envers Penguin. Tout comme son mari, Cameron, elle reste persuadée que la pie a joué un rôle déterminant dans son combat pour retrouver l’envie de vivre.
Grâce à Penguin, la famille Bloom a retrouvé le sourire après le drame qui l'a frappé.
Comment un simple petit oiseau, qui plus est d’une espèce généralement peu appréciée, a-t-il bien pu opérer ce miracle ?
« L’histoire de Sam et Penguin a contribué à donner une meilleure image des pies, se réjouit Cameron, photographe professionnel, dont le livre, Penguin Bloom, est devenu un best-seller international. Elle a modifié la perception que les gens avaient des pies, réputées agressives et imprévisibles. Or, cet oiseau est non seulement très intelligent, mais aussi capable d’une grande douceur et d’une véritable empathie envers l’humain. »
La petite pie rescapée est devenue un membre de la famille à part entière.
Tout commence en janvier 2013, lorsque la famille Bloom au complet – Sam, Cameron et leurs trois garçons, âgés à l’époque de 8, 10 et 11 ans – se rend en vacances en Thaïlande. Dans ce lieu paradisiaque, la vie de la famille bascule en enfer en même temps que cède la rambarde métallique sur laquelle Sam est appuyée… La chute laisse Sam inerte, le corps disloqué sur le sol de béton, sous les yeux épouvantés de son mari et de ses enfants. La jeune femme échappe de peu à la mort, mais sa colonne vertébrale est fracturée. Elle qui était particulièrement sportive, adorant la natation, le surf, le skateboard et le VTT, ne marchera plus jamais.Après sept mois passés à l’hôpital, Sam rentre enfin chez ell e. Clouée dans son fauteuil roulant, malgré l’amour immense de son mari et de ses enfants, elle dépérit. « Elle se retranchait peu à peu du monde, raconte Cameron. Rien ne semblait pouvoir l’aider. C’est alors que Penguin est entrée dans nos vies. »
UNE PATIENCE INFINIE
Un beau jour, Noah, le fils cadet, trouve près de leur maison une petite pie tombée du nid et quasi mourante. « C’était trois mois après mon retour à la maison, se souvient Sam. Parce qu’elle était noire et blanche, nous l’avons appelée Penguin. » Ancienne infirmière, Sam veille sur l’oiselle blessée et la soigne avec une patience infinie, jusqu’à ce que sa petite protégée retrouve la santé.
« Avant son arrivée, je me sentais faible, inutile, incapable de m’occuper de mes enfants. J’ai alors vu dans cet événement le reflet de ce qui m’était arrivé. Penguin était comme un miroir pour moi : nous avions failli mourir toutes les deux, nous avions besoin l’une de l’autre, et nous nous sommes entraidées. » Car l’amour n’est pas à sens unique : une fois guérie, c’est au tour de Penguin de s’occuper de Sam. « Elle m’a boostée ! Ce petit oiseau m’a redonné ce que j’avais cru perdre à jamais : la confiance en moi.
Quand parfois le courage manque à Sam, Penguin, perchée sur son épaule, la rebooste.
Elle m’a concrètement encouragée à aller de l’avant, venant se poser sur mon épaule et jouant avec mes cheveux quand j’étais découragée. Dès que je m’étendais, elle venait s’allonger à côté de moi, sur le dos, les pattes en l’air ! Elle gazouillait à mon oreille, je lui faisais des confidences… Penguin était ma petite psychologue. » Cette amitié fusionnelle entre deux êtres blessés, trouvant chacun chez l’autre la force de se battre, Cameron la résume d’une jolie formule : « C’était deux âmes soeurs, fortes et fragiles à la fois, unies par un seul mot d’ordre : aller toujours plus haut. Sam voulait se redresser, se lever, tenir debout seule. Penguin rêvait de voler par-delà les cimes et les nuages. »
Dès lors, les progrès de Sam sont remarquables. Elle s’exerce des heures durant, en dépit de souffrances qui ne lui laissent aucun répit « Sam a été incroyablement courageuse, confie Cameron avec admiration. Penguin nous a rendus plus forts, elle a ramené la joie dans notre famille. Au début, nous pensions avoir secouru Penguin. En réalité, c’est Penguin qui nous a sauvés. »
UNE ENTIÈRE LIBERTÉ
Même si Penguin est plus proche de Sam, elle se montre aussi très affectueuse envers Cameron et les enfants. « Elle était particulièrement liée à Noah, se souvient Sam. Penguin adorait la musique et se perchait sur sa guitare quand il jouait ! Chaque jour, à l’heure précise où nos enfants sortaient de l’école, elle annonçait leur arrivée prochaine en pépiant joyeusement. Postée sur le toit de la maison, elle leur faisait la fête, en sautillant dans tous les sens et en claquant des ailes. Puis elle adorait être caressée, câlinée… »
Même si Penguin est plus proche de Sam, elle se montre aussi très affectueuse envers les enfants.
Penguin n’est pas traitée en animal de compagnie pour autant par les Bloom, qui tiennent absolument à respecter son statut d’animal sauvage :
« Nous n’avons jamais voulu la mettre en cage, ni l’empêcher de vivre sa vie d’oiseau, insiste Cameron. Elle sortait et rentrait librement, et s’est mise à passer de plus en plus de temps dehors, y compris la nuit. Le matin, elle entrait par la fenêtre de notre chambre et venait faire une petite sieste câline sur notre lit avant qu’on se lève ! »
Et puis, deux ans après son arrivée, Penguin décide réellement de prendre son envol : « Un soir de juillet 2015, elle est sortie et n’est plus revenue, raconte Sam. Etrangement, c’était la nuit précédant mon départ en vacances en Italie… Plusieurs voisins nous ont dit l’avoir vue, mais elle s’est envolée plus loin encore, retournant à la vie sauvage. Bien sûr, elle nous a manqués… Elle faisait partie intégrante de la famille – d’où le titre du livre, Penguin Bloom !
Mais nous étions heureux pour elle. » Depuis quelque temps, un autre oiseau sauvage rend visite aux Bloom : il s’agit d’un cassican flûteur (de la famille des passereaux), qui rentre et qui sort par la fenêtre pour tenir compagnie aux enfants. Un peu comme si Penguin avait envoyé un petit messager à sa famille d’adoption…
❌ EN DÉFENSE DES ACTIVISTES INCULPÉ.E.S POUR LES BLOCAGES D'ABATTOIRS ET LES CAILLASSAGES DE BOUCHERIES : UN MOUVEMENT DE JUSTICE SOCIALE N’EXISTE PAS SANS ENNEMIS DÉSIGNÉS ET CIBLÉS !
[En résumé : Ces actions directes ciblées redonnent de la puissance politique au mouvement antispéciste. Répéter constamment que nous luttons contre un "système" et non contre des individu.e.s est le meilleur moyen de rendre inoffensif et inefficace notre mouvement de justice sociale !
Privé de toute perspective de confrontation directe avec celles et ceux qui font l’Etat et l’économie spéciste, il semble condamné au registre purement symbolique dans un espace public sous contrôle.
On peut s’interroger : pourquoi les mots « opposition », « ennemi », « pouvoir » sont-ils bannis de nos répertoires militants ? Pourquoi avons-nous si peur de nous positionner clairement « contre » ?
Les institutions de domination que nous combattons s'incarnent dans des individus bien réels. Elles ne sont pas que de vagues entités inatteignables car non définissables. Nos ennemis ont un nom et un visage ; il faut les nommer, les viser par notre activisme. Face à la répression déployée par l’Etat, nous devons faire bloc derrière les activistes inculpé.e.s et pratiquer massivement l’action directe. Les "grandes" associations animalistes qui s’empressent de se désolidariser de ces actions par pur souci "marketing", craignant de perdre leurs dons et adhésions, ne sont pas seulement inutiles mais néfastes au mouvement de libération animale.]
ACTUALITÉ
• Nous avons assisté, cette semaine, à une inquiétante instrumentalisation de l’appareil répressif contre des activistes antispécistes, et ce dans le but clairement affiché de freiner la pratique de l’action directe. Ce double phénomène de criminalisation des opposant.e.s à un système d’oppression et de dépolitisation de leurs actes devant les tribunaux de droit commun doit être dénoncé avec force.
♦️ Lundi, ce sont des activistes de l’organisation 269 Libération Animale qui ont été condamnés à 3000 euros d’amende chacun pour avoir, avec 70 autres militant.e.s, occupé un abattoir et bloqué son activité durant plusieurs heures. Une condamnation qui s’ajoute à une longue série de mesures répressives que subissent les deux fondateurs et activistes de cette organisation :
www.politis.fr/articles/2018/06/tribune-halte-a-la-repression-de-la-cause-animale-38910/
Mais pendant que le bâton de la justice vient sévèrement frapper ces activistes, rappelons que Monsieur Vincent Harang, directeur de l’abattoir du même nom, demeure impuni. Il a pourtant, au cours de cette action, plaqué violemment au sol un jeune photographe accompagnant les activistes, puis placé un couteau sur sa gorge et enfin prononcé des menaces de mort explicites à son encontre. Qu’attend la procureure de Versailles pour le mettre en examen ?
♦️Mardi, ce sont des activistes lillois.es suspecté.e.s d’avoir caillasser des boucheries qui ont été perquisitionné.e.s et placé.e.s en garde à vue dans des conditions absolument honteuses et en totale méconnaissance de leurs droits. Suite à ce coup d'éclat d'une police à la solde des lobbies spécistes, une activiste que nous connaissons et qui participe par ailleurs aux actions dites de "désobéissance civile" de notre association, se trouve placée sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès.
Nous lui témoignons aujourd'hui tout notre soutien. La disproportion des moyens répressifs mis en oeuvre contre ces personnes montre une instrumentalisation inquiétante de l'appareil judiciaire. Mais le plus grave demeure sans aucun doute l’absence de soutien de l’ensemble du mouvement antispéciste, à commencer par les représentants des grandes associations.
POURQUOI SI PEU DE SOUTIEN ?
• Ces activistes, qu'ils agissent dans le cadre d'actions organisées par 269 Libération Animale ou de manière autonome, sont globalement peu soutenus dans un milieu animaliste si attaché au regard de la “sainte” opinion publique (instrument au service des dominants), incapable de sortir du dogme de la non-violence et de comprendre qu’on ne combat pas un système d’oppression en convertissant les gens.
Aucun mouvement de justice sociale n'a jamais réussi à atteindre son objectif en utilisant, comme stratégie majoritaire, le prosélytisme consistant à changer le comportement des citoyens dans leur vie privée ! Jamais. Il faudrait peut-être que les militant.e.s se montrent plus curieux sur l’histoire des luttes et apprennent à réfléchir par eux-mêmes, au lieu d’attendre les directives données par des associations devenues de véritables entreprises de la “protection animale”.
Oser faire les louanges a posteriori et de façon révisionniste de la non-violence est uniquement permise par une situation initiale de privilège et une volonté de mettre en scène les luttes.
« En 1906, l’opinion publique était largement favorable au droit de vote féminin mais en quoi cela servit il la cause ? Nous demandions au public beaucoup plus que de bons sentiments. Nous l’appelions à exiger du gouvernement de céder à l’opinion publique et de donner le droit de vote aux femmes . Nous déclarions la guerre non seulement à toutes les forces anti-vote mais aussi à toutes les forces neutres et inactives. Chaque homme ayant un vote serait considéré comme un ennemi du vote des femmes à moins qu’il ne s’engage activement pour notre cause. »
(Extrait de l’autobiographie d’Emmeline Pankhurst, « Suffragette. Genèse d’une militante », éd. Ampelos, 2016)
ISOLEMENT DES ACTIVISTES RADICAUX
• La police, les médias et la justice construisent une "narration" mensongère de ces actions aujourd’hui incriminées : elles seraient l’expression de la violence propre à une petite minorité au sein du mouvement antispéciste, une minorité animée par des idées « gauchistes », « insurrectionnelles », etc. Cette vision réductrice de ce qui se passe empêche toute appréhension politique de cette séquence, le mouvement antispéciste ne semble pas percevoir l’importance de faire « bloc » derrière ces activistes inculpé.e.s alors même qu’ils sont parvenus à créer une brèche médiatique énorme.
Nous sommes nous-mêmes accusés par les autorités (et indirectement les médias) d'avoir encouragé ce type d'activisme en défendant ouvertement la pratique de l'action directe. Peut-être. Peut-être que le fait d'avoir (enfin !) oser parler d’échec de la cause animale, d’avoir montré que nous pouvons affronter des puissants sur les lieux même d’exploitation, d’avoir fait se rencontrer des activistes, d'avoir politisé le discours antispéciste et enseigné les modes de lutte ont inspiré en partie ce type d'actions mais pourquoi faudrait-il s'en offusquer ? 269 Libération animale n’a jamais été pensée comme une “association” classique, elle est un déclencheur.
Elle a réussi à amorcer une réflexion stratégique dans le mouvement ; son objectif : “mettre le feu aux poudres” et montrer que nous pouvons être puissants et que nous devons engager une véritable lutte. Elle a toujours encouragé l’autonomie et une pratique populaire de l’action directe. Elle se réjouit aujourd’hui que des activistes puissent agir de manière autonome sans étiquette car c’est ainsi qu’adviendra une véritable révolution. Tant que la protestation ne s’exercera que par le biais des associations, rien n’adviendra de concret pour la libération animale.
Lancer des frappes contre des cibles symboliques participe d’une nécessaire propagande par le fait : d’une part, cela permet d’exprimer ouvertement une critique radicale envers certaines industries, et le système spéciste en général et, d’autre part, de ternir l’aura sacrée qui entoure les biens de consommation dans notre société (et mettre en lumière les liens existant ente les luttes antispéciste et anticapitaliste). Désigner nos ennemis, les viser, les cibler par des blocages, des occupations ou d’autres actions permet d'engendrer un rapport de force et par conséquent un mouvement social à même de gagner en puissance politique.
L’ÉTAT, NOTRE ENNEMI
• Face à cette répression, nous avons un ennemi commun : l’Etat, c'est lui qui occasionne ce "radicalisme". Si les tracts et pétitions avaient suffit, si nous avions des résultats pour les opprimés avec un militantisme "gentillet", ces actions directes n'existeraient peut-être même pas. Les luttes sociales sont des situations au cours desquelles l'ordre des discours dominants peut être rompu collectivement et par lesquelles on peut apprendre ensemble à penser les racines des oppressions.
L'Etat n'est pas un allié de notre combat ni celui auquel nous devons quémander des réformettes législatives. Passer à l’action directe (et potentiellement à la violence) est ainsi lié au constat que la revendication de l’égalité ne peut être adressée pacifiquement à l’Etat puisque ce dernier est le principal instigateur des inégalités, qu’il est vain de lui demander justice car il est précisément l’instance première qui institutionnalise l’injustice sociale, qu’il est donc illusoire de se mettre sous sa protection puisqu’il soutient les mêmes dispositifs qui vulnérabilisent, qu’il est même insensé de s’en remettre à lui pour défendre les animaux. Surtout, il maîtrise aujourd’hui la contestation et « quand l’Etat se pose comme détenteur d’un droit de regard sur la protestation, quand il refuse qu’elle trouble l’ordre public alors que c’est sa fonction, il dénaturalise ce droit. »
(Geoffroy de Lagasnerie : https://blogs.mediapart.fr/geoffroy-de-lagasnerie/blog/200216/sortir-de-notre-impuissance-politique)
Les activistes qui empruntent le chemin de l’action directe sont accusés de provoquer un « engrenage de la violence », mais pourquoi se focaliser sur les actions alors que le problème réside dans le fait qu’elles soient réprimées ? C’est bien contre cela qu’il faut lutter. Car la répression est fonction des lois en vigueur, autant que de l’identité assignée aux personnes qui en sont cibles. C’est un outil dont l’État se sert pour diviser et catégoriser des groupes afin de mieux régner. Les gouvernants décident à un moment T qui va être réprimé.e et pour quelles pratiques.
PRATIQUER L’ACTION DIRECTE POUR SORTIR DE L’IMPUISSANCE POLITIQUE
• Nous, les activistes de toutes les luttes confondues, avons aujourd’hui beaucoup de mal à orienter les choix de nos gouvernements. Bien sûr, il n’y a rien de nouveau à ce que les Etats soient animés par des logiques contre lesquelles nous nous battons.
Mais ce qui est spécifique, c’est notre incapacité à influencer le cours des choses : lorsque nous intervenons, lorsque nous protestons, lorsque nous manifestons, cela débouche de moins en moins sur des transformations effectives : « Il faut regarder le présent avec lucidité.
Il ne faut pas se raconter d’histoire comme nous avons parfois tendance à le faire pour ne pas tomber dans une forme de désespoir. Il faut partir de la vérité : depuis quelques années, lorsque nous nous situons dans le camp du progrès et de l'émancipation, nous perdons les combats.
Nombreux sont ceux qui, aujourd’hui, vivent leur vie politique sur le mode du désarroi et de la tristesse. »
Penser notre impuissance politique et tenter d’y remédier impose d’abord de réfléchir sur nos modes d’actions ! Nous tirons trop peu les conséquences du fait que l’espace de la contestation est peut être l’un des plus codifiés de la vie sociale : les protestations se déroulent selon des formes établies. Des institutions, solidement installées, structurent le temps et l’espace de la contestation démocratique :
« Nous devons nous interroger sur ce que nous faisons lorsque nous utilisons les modes institués de la contestation démocratique.
Est-ce que nous agissons? Ou est-ce que nous nous contentons de protester, d'exprimer notre désaccord – avant de rentrer chez nous ?
Si nos protestations ne changent rien - ou, en tout cas, n'ont d'effets réels qu'exceptionnellement - cela ne signifie-t-il pas que les formes d'actions traditionnelles fonctionnent comme des pièges et des ruses de la raison étatique : lorsque nous y recourrons, nous avons le sentiment d'avoir agi quand, en réalité, nous n'avons rien fait de plus qu'exprimer notre mécontentement. D’autre part, ces formes ne se sont-elles pas routinisées avec le temps ?
N’ont-elles pas perdu leur efficacité ? Si nous voulons mettre en crise l’Etat, ne devons-nous pas inventer des modes de protestation qui surprendraient l’Etat et ne seraient plus prescrits par le système ? »
Justement, l’action directe change complètement le rapport du militantisme à l’Etat : fini le rapport de soumission, de négociation… C’est un rapport de force qui s’installe : « elle met hors service le Gouvernement et c’est là l’élément essentiel de toute révolte, peu importe comment on y parvient. » (Howard Zinn, « A flash of the possible », The Progressive, volume 64, n°1, janvier 2000)
POURQUOI NOUS OPPOSER OUVERTEMENT AUX ASSOCIATIONS ANIMALISTES TRADITIONNELLES ?
• Ces associations ont besoin, afin d'augmenter leur nombre d'adhérent.e.s, d'annoncer des succès alors très souvent leurs dirigeants surestiment la signification de réformes à vrai dire très mineures (voire purement symboliques) pour les animaux, sans voir ce qu’a d’inquiétant la situation globale. On finit par sous-estimer le rôle des entreprises et de l’État dans la défense d’une société basée sur l’exploitation animale et les grandes ONG animalistes finissent par s’intégrer au système, en collaborant de manière à peine déguisée avec l’industrie - une industrie assez avisée pour savoir que la contestation qu’elle affronte est susceptible d’être résorbée par le partenariat avec des associations et la promotion d’une viande et d’un abattage « éthiques ». Enfin, par ignorance et surtout par lâcheté, les associations collaborationnistes rejettent massivement l’usage de stratégies offensives et refusent toute discussion sur l'usage de la violence, qui ont pourtant fait leurs preuves dans tous les mouvements sociaux et sont absolument nécessaires pour politiser la question animale.
LA QUESTION DE LA VIOLENCE
• Inutile d’en user comme d'un épouvantail contre des militant.e.s qui décident de sortir de la passivité pour co-résister avec les opprimé.e.s ; la violence, elle est cachée là, derrière les portes des élevages et des abattoirs. Les activistes antispécistes obtiennent rarement plus qu'une citation de deux lignes ou de dix secondes dans les médias ; ainsi lorsque les dirigeants des “grandes” associations animalistes sont interrogés et critiquent fermement cet activisme plus offensif, ils gaspillent leur minute d'audience en se mettant sur la défensive et en faisant passer leur cause au second plan par rapport à la critique de l'action directe. Une nouvelle preuve que la non-violence conduit aussi à de mauvaises stratégies médiatiques...
Ils critiquent les plus courageux qu'eux pour renforcer leur conformité idéologique et pour asseoir leur leadership sur le milieu militant. Ils s'en servent aussi comme d'une assurance, afin de pouvoir protéger leur organisation d'être diabolisée dans les médias. Ils ressortent alors le code de la non-violence comme preuve qu'eux ne sont pas responsables de la violence et se prosternent devant l'ordre régnant : « (...) La défense dogmatique de la non-violence est trop souvent une manière de se présenter comme politiquement et moralement supérieur aux yeux des autres, y compris des autorités politiques, de la police et des médias publics et privés. (...) Prôner la non-violence à tout prix, c'est adopter une approche autoritaire des luttes sociales et des mobilisations populaires. » (Peter Gelderloos, Comment la non-violence protège l’Etat ?, éd. Libre, 2018)
NOUS NE SOMMES PAS LÀ POUR JUGER LES ACTIVISTES I
Elle croise un chaton qui n’a pas d’oreilles et décide de lui en offrir !
Karma est si mignonne avec ses petites oreilles. Karma est un adorable chaton âgé de seulement quelques mois qui a eu un début de vie difficile. Pour ne pas dire très difficile et parfaitement injuste. Retrouvé errant avec les oreilles et la queue coupées, le chaton a été pris en charge par un refuge local avant de se retrouver à la Humane Society Silicon Valley afin qu’ils puissent prendre soin de lui.
Quand Karma est arrivée dans son nouveau refuge, le but de tous les volontaires était de lui redonner confiance en la vie. Ses blessures physiques étaient pour la plupart guéries, mais son esprit avait encore besoin d’aider car elle était traumatisée. Karma a donc été placée dans une famille d’accueil où elle est chouchoutée et apprend à aimer.
De nouvelles oreilles pour Karma Lorsque Carla Berti, une volontaire du refuge, a découvert l’histoire tragique de Karma, elle a décidé qu’elle devait agir et lui donner un petit coup de pouce.
Il y a un mois de cela, elle a donc passé beaucoup de temps en sa compagnie pour la câliner, mais voulait faire autre chose pour l’adorable petite chatte. « J’ai décidé de lui faire des petites oreilles roses, » explique Carla au site LoveMeow. En rentrant chez elle, Carla commence donc la fabrication de ces oreilles, mais ce n’est pas tout.
Elle a aussi confectionné un petit lit pour le chaton et un jouet en forme de souris. Des cadeaux qui ont visiblement fait plaisir à Karma qui a tout de suite adopté les oreilles, utilisé son nouveau lit et joué !
Une belle adoption
Après plusieurs semaines dans sa famille d’accueil, la petite chatte été prête pour le grand saut de l’adoption. Par chance, elle a tout de suite trouvé une famille pour la vie. Une aventure qui se termine bien pour la petite Karma qui profite désormais de chaque seconde de sa nouvelle vie bien méritée.
Un homme pense qu’il est en train de sauver un castor géant, mais c’est le choc total quand il découvre la vérité!
On dit qu’il ne faut jamais se fier aux apparences et avant de décider de risquer sa vie pour celle d’un animal, ce n’est jamais une mauvaise chose de suivre ce conseil.
Voilà donc qu’un homme l’a appris bien malgré lui, mais heureusement, même s’il n’a pas sauvé le genre d’animal auquel il pensait avoir affaire, ce n’était pas une bête dangereuse!
Jim Passmore se promenait avec ses chiens en Oklahoma lorsque ceux-ci ont attiré son attention sur quelque chose de plutôt singulier. Au bord de l’eau, ce qui ressemblait à un énorme castor semblait être coincé et visiblement, la bête était en détresse.
Or, rappelez-vous de ce que nous vous disions à propos des apparences… Si Jim a pensé sans même hésiter qu’il avait affaire à un castor gigantesque, c’est que le secteur où il se promenait avec ses chiens est reconnu comme étant un endroit très prisé chez les castors.
Jim s’apprêtait donc à intervenir afin de sauver l’animal quand il a découvert à sa grande surprise qu’il s’agissait en fait d’un gros chien qui semblait épuisé. Dès qu’il a compris à quoi il se frottait, Jim n’a pas perdu un instant pour alerter les autorités. Des secouristes sont rapidement arrivés sur les lieux et ceux-ci ont tout mis en branle afin de retirer la bête de l’eau.
Suite au sauvetage, on a baptisé le chien Teddy. Ce dernier avait des problèmes de surpoids et on estime qu’il est âgé de 8 ans. Les secouristes ont aussi remarqué que le chien avait beaucoup de difficulté à seulement se dresser sur ses pattes. D’ailleurs, les problèmes de santé de Teddy n’ont vraiment pas aidé les secouristes à compléter leur tâche. Mais grâce à la détermination des secouristes et au désir de vivre de Teddy, l’animal a pu être sorti de l’eau sain et sauf et on l’a amené au Alta Vista Animal Hospital pour qu’il soit soigné. Crédit
Toutefois, ce ne fut pas la seule fois où Teddy a été sauvé, car quelques semaines après le sauvetage, le refuge où il reposait décidait de l’euthanasier, car personne ne souhaitait l’adopter et il n’y avait plus suffisamment de place pour l’héberger. Maintenant, Teddy doit avoir une bonne étoile qui veille sur lui,car suite à un appel à tous de la part de l’organisation Oklahoma Alliance for
Au début, il a dû aider Teddy à surmonter sa peur des êtres humains, mais aujourd’hui, Teddy mène une vie très heureuse auprès de son ami Jessie et plus jamais il ne sera abandonné.
Un éléphant secouru interrompt un soignant pour demander une berceuse pour son bébé
Les éléphants sont vraiment majestueux. C'est l'un des rares animaux au monde qui nouent des amitiés entre espèces. Ils aiment aussi la musique autant que les humains, comme le montre cette adorable vidéo.
Lek Chailert a une passion pour les éléphants. C'est ce qui a conduit la jeune femme à fonder un centre de sauvetage des éléphants dans le nord de la Thaïlande.
Au Centre de sauvetage des éléphants, Lek initie les visiteurs à la magie des éléphants, y compris son amie spéciale, FaaMai. Le nom de Faa Mai signifie nouveau jour. C'était le premier bébé éléphant né au Centre de sauvetage des éléphants.
Sa naissance symbolise un nouveau jour pour la mission du centre qui est de garder les éléphants en vie. Depuis sa naissance, elle entretient des liens étroits avec Lek. Certaines personnes peuvent avoir peur d'approcher les éléphants, mais pas Lek. Depuis qu'elle a aidé à élever Fai Mai, elle sait que cette belle fille est un gentil géant.
Les deux se font régulièrement des câlins, posent pour des photos et chantent ensemble. Faa Mai ne veut pas garder l'amour de Lek pour elle. L'éléphant a récemment adopté le petit Thong Ae sous sa garde. C'est pourquoi Faa Mai a insisté pour que Lek arrête de parler aux touristes pour venir voir Thong Ae. Au début, Lek ne savait pas ce qui se passait.
Où Faa Mai l'emmenait-elle? Pourquoi l'éléphant voulait-il faire une pause?
Une fois que Lek a vu Thong Ae attendre, elle a compris. Faa Mai voulait que Lek chante à Thong Ae pour dormir! C'est vraiment une maman éléphant attentionnée.
Tu peux regarder le tout dans cette vidéo, y compris Faa Mai et Lek s'embrassant pendant que Thong Ae s'endort lentement. Peux-tu croire le lien spécial entre cet éléphant et son gardien? Connais-tu des amoureux d'animaux qui aimeraient cette vidéo?
https://youtu.be/lekv0vzUS_M
Une infirmière vétérinaire trouve sur le bord de la rue 15 chatons entassés dans une valise avec de minuscules trous d’aération
Une infirmière vétérinaire trouve sur le bord de la rue 15 chatons entassés dans une valise avec de minuscules trous d’aération Habituellement, on nous dit de ne pas ouvrir les boîtes ou les bagages trouvés dans la rue, car on ne sait pas ce qu’il y a à l’intérieur.
Mais, dans ce cas-ci, ce que la dame a fait est une bonne chose, car elle a aidé à sauver la vie des animaux qui se trouvaient à l’intérieur. Le matin du 8 avril 2017, alors qu’elle se rendait au travail , une infirmière vétérinaire a vu une valise noire jetée sur le bord de la rue à Dagenham, Essex, à Londres.
Elle a ouvert la valise suspecte et a été horrifiée d’y trouver 15 chatons, dont des tigrés, des gris et des noir et blanc, entassés à l’intérieur. Apparemment, ces chatons avaient été abandonnés intentionnellement parce que quelqu’un avait fait de minuscules trous d’aération dans la valise pour permettre aux animaux de respirer. L’infirmière vétérinaire a ensuite apporté les chatons, qui semblaient être âgés de 3 à 5 semaines, à la Direction de la protection des chats de Hornchurch & District pour traitement.
« Malheureusement, la valise a été trouvée [debout], ce qui signifie que les chatons étaient tous empilés les uns sur les autres », a souligné à InsideEdition.com, Alison Gambles, responsable du bien-être et de l’accueil au refuge. Heureusement, à part six chatons qui souffraient d’infections oculaires, les autres étaient tous en bonne santé. Selon le site Web de Cats Protection, Mme Gambles a ajouté qu’« ils étaient beaucoup trop jeunes pour être séparés de leur mère ».
Les félins ont peut-être été abandonnés par un éleveur de chats avide, puisque les 15 chatons semblaient provenir de trois ou quatre portées différentes. Mais, dans la plupart des cas, « les gens trouvent qu’ils ont plus de chatons qu’ils ne peuvent en avoir parce qu’ils n’ont pas fait stériliser leurs chats », a dit M. Gambles à MailOnline.
Comme les « Suitcase Kittens » ont fait les manchettes dans les médias, beaucoup de gens qui aiment les chats ont exprimé leur intérêt à les adopter. Les félins ont été soignés par des bénévoles de Cats Protection. Quand ils ont été assez grands, chaque chaton a été envoyé dans son nouveau foyer chaleureux et permanent. Espérons que cette histoire servira à rappeler aux propriétaires d’animaux de compagnie de faire stériliser leurs chats afin d’éviter des situations malheureuses comme celle qui précède. Regardez la vidéo ci-dessous :
Si cet article vous a inspiré, n’hésitez pas à le partager !
https://youtu.be/oiEjHC2RpG8
Pendant 3 semaines, cet éléphant âgé est demeuré dans le même endroit, maintenant regardez qui il attend ! Saviez-vous que les éléphants sont parmi les animaux les plus sociaux ?
Oprah nous parle de ce géant doux qui s'est fait une amitié très improbable. Essayez simplement d'empêcher votre cœur de se réchauffer ;)
https://youtu.be/fIACpTZuDh0
Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante
Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante Ape Action Africa, un organisme à but non lucratif dédié à la conservation des gorilles, des chimpanzés et des singes en voie de disparition, a été fondé en 1996, mais ses habitants continuent de trouver de nouveaux moyens de surprendre les soignants expérimentés. Récemment, Bobo, un gorille des plaines de l’Ouest qui a été sauvé par l’organisation en 1996, s’est fait un nouvel ami, et leur relation est probablement la plus inhabituelle que vous puissiez imaginer.
« Lors de ses vérifications matinales, notre soignante a découvert que Bobo berçait un jeune galago », a déclaré la porte-parole d’Ape Action Africa, Elissa O’Sullivan, au site Bored Panda.
« Le petit galago ne craignait pas Bobo, se déplaçant autour de son corps et passant du temps à sauter dans une zone herbeuse ouverte, avant de choisir de retourner à Bobo. Les galagos sont généralement nocturnes, il est donc très rare d’en voir un pendant la journée. Nous n’avions jamais vu de primate sauvage interagir avec l’une de ces créatures au sanctuaire de Méfou. »
Même les amis de Bobo étaient intéressés par ce qui se passait.
« Les camarades de Bobo étaient curieux à propos du galago et espéraient pouvoir jouer avec lui, mais Bobo gardait le petit animal pour lui-même. »
En somme, ils ont passé au moins deux heures ensemble avant que Bobo ne dépose le galago dans un arbre à l’intérieur de son enclos.
Voici Bobo, un gorille des plaines de l’Ouest âgé de 24 ans qui a été sauvé par Ape Action Africa en 1996. Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante Récemment, Bobo s’est fait un nouvel ami et leur relation inhabituelle a surpris tout le monde.
Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante « Lors de ses vérifications matinales, notre soignante a découvert que Bobo berçait un jeune galago. » Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante « Le petit galago ne craignait pas Bobo, se déplaçant autour de son corps et passant du temps à sauter dans une zone herbeuse ouverte, avant de choisir de retourner à Bobo. »
Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante « Les camarades de Bobo étaient curieux à propos du galago et espéraient pouvoir jouer avec lui, mais Bobo gardait le petit animal pour lui-même. » Ce gorille de 24 ans a rencontré une petite créature dans la forêt, et sa réaction est trop marrante Ils ont passé au moins deux heures ensemble avant que Bobo ne dépose le galago dans un arbre à l’intérieur de son enclos.