Il y a ces personnes, qui connaissent le pourquoi de vos silences et ce qu'ils signifient, qui lisent en vous comme dans un livre ouvert, qui vous voient tel que vous êtes et pas tel que vous voulez paraître, qui vous prennent comme vous êtes, qui vous connaissent de vos points les plus faibles à vos points les plus forts, et qui vous ont tenu la main mais qui vous l'ont lâchée. Sans que vous n'ayez le temps de comprendre, vous les avez regardé s'éloigner sans rien faire. L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur, les êtres s'attachent et deviennent dépendants les uns des autres à tel point que lorsque l'un vient à partir, le monde s'écroule autour de l'autre. Il suffit parfois, d'une main, d'une seule. Une main tendue vers vous, vous invitant à vous relever et à ne pas tomber. Mais il suffit qu'un jour cette main disparaisse pour que vous disparaissiez avec. Il suffit que d'une fois pour que tout s'écroule.

Le destin peut réunir deux personnes, mais c’est le devoir de l’amour de les garder ensemble.

L'amour, l'avenir, les grands choix, tout cela est affaire de vie, d'actes et non de paroles ; ce sont choses qui se font et se démontrent ; elles ne se disent pas.

Je ne connais pas d’autres marques de supériorité pour l’homme que la bonté.

Ecoute plus souvent les choses que les êtres, la voix du feu s'entend, entends la voix de l'eau. Ecoute dans le vent le buisson en sanglot, C'est le souffle des ancêtres. Ceux qui sont morts ne sont jamais partis,ils sont dans l'ombre qui s'éclaire et dans l'ombre qui s'épaissit, les morts ne sont pas sous la terre,ils sont dans l'arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l'eau qui coule, ils sont dans la case, ils sont dans la foule. Les morts ne sont pas morts. Ils sont dans le rocher qui geint, ils sont dans les herbes qui pleurent, ils sont dans la forêt, ils sont dans la demeure.

Même si la vie te blesse, même si la vie t’agresse, même si la vie t’oppresse… Tu auras toujours tes yeux pour te raconter l’essentiel avant d’aller au ciel et pas besoin d’être belle ou de vouloir être avec untel, dans les cieux il n’y a pas de pieux et sur terre c’est ton histoire qu’il ne faut pas foutre en l’air… Tu auras toujours ton cœur pour te conter le merveilleux, pour te rappeler ce que tu as fait de mieux… Même si la vie met sur ton chemin des barbelés, même si... Dis-toi qu’un coquelicot sait déjouer les ronces artificielles et vivre sans épines pour avancer dans sa vie même hostile, dis-toi que si sa couleur est sang, c'est qu'il connait le prix de sa liberté et que tout a un sens… Dis merci à la vie, celle qui te permet d'exister et de continuer à nourrir ton cœur et ne retiens que le meilleur… pour être, simplement être

L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console.

Il est toujours possible de décider de quelle façon les événements vont nous affecter. Car il y a ce qui se produit, et notre réaction face à ce qui arrive. Et au milieu, notre choix: celui d'opter pour une attitude positive ou négative. 

Les gens sont comme les vitres sales. Ils sont éclatants et brillent lorsqu'il y a du soleil, mais lorsque l'obscurité s'installe, leur véritable beauté est révélée seulement s'il y a une lumière qui vient de l'intérieur.

On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il(elle) embrasse une fille(un garcon) plus belle(beau) dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre ...