aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Parfois, il vaut mieux repartir a zéro... Dire adieu à un monde pluvieux. Dépassé est ma plume de voir que dans l'ombre, Il n'y a plus rien! Moribonde est ce monde qui ne fait plus partie de la ronde. Partir pour mieux revenir, détruire pour mieux reconstruire. Une plume jamais ne meurt, tant que l'écriture est à la passion des mots ! Je ne disparaît que pour ceux qui se font absence. Je reviendrais sous un autre nom, tel est la vie. L'on renaît toujours de ces cendres. Sous une autre apparence, Mais l'histoire est la même, elle perdure dans le temps ! Et ceux qui m'aime seront me retrouver ! Adieu l'indifférence, l'hypocrisie des sens...
Le seul chemin qui permet d’aller vers la sérénité, c’est de confronter sa peine, ses regrets, ses rancunes, ses haines, d’accepter leur existence et le fait qu’ils ont souvent de bonnes raisons d’exister. Il s’agit ensuite de les exprimer en en parlant à quelqu’un, en les écrivant, en les dessinant, en les peignant, en les sculptant, en les jouant, en les chantant, bref, en les mettant en forme à l’extérieur de soi. Puis de les regarder en face, de les considérer comme un matériau de construction et de chercher à savoir ce qu’on peut en faire. Lorsqu’on a trouvé un moyen de procéder à cette sublime alchimie qui consiste à transformer la souffrance en compassion, alors le passé douloureux peut être pleinement accepté.
Ce qu'on apprend dans les livres, c'est la grammaire du silence, la leçon de lumière. Il faut du temps pour apprendre. Il faut tellement de temps pour s'atteindre
Dieu nous regarde monter les châteaux de cartes de nos projets jusqu’au jour imprévisible où il tape du poing sur la table et fait tout s’effondrer : quelque chose, enfin, arrive.
Il y a ceux qui m'ont tenu la main, et ceux qui l'ont lâché... Il y a ceux qui ont fait ma joie, et ceux qui l'ont gâché...
Elle est là, elle attend que passe la vie, que passe le temps assise dans ce fauteuil, face à la fenêtre d’où l’on voit un coin de ciel bleu apparaître avec pour ligne d’horizon les toits de tuiles, de mousses parsemées. Elle caresse un petit chat entrain de ronronner posé sur ses genoux, se prélassant, bienheureux ,aimant sentir cette main courir sur son poil soyeux .L’on entend, presque effacé, le tic-tac de l'horloge égrenant les secondes de son cadran qui la toise, et de son balancier faisant son pas de deux, Claquant de façon régulière les moments fastidieux. Elle est là, elle attend .Vivant son ennui, vivant dans l’instant. Attendant qu’à la porte, l’on frappe peut être pour appeler la solitude à disparaître .Mais rien ne bouge et rien ne change dans la continuité. À attendre du matin qu’elle se lève jusqu’au soir du coucher, que passe la vie, que passe l’isolement .Elle est là, elle attend revivant avec mélancolie sa jeunesse. Attendant avec sursis que finisse sa vieillesse. Regardant passer à sa fenêtre les saisons d’une nature qui se plaît à mourir et à renaître .Marquant au coin de ses yeux, les sillons des ans passés
Rien n’échappe à la censure des hommes : ils critiquent celui qui demeure silencieux, ils blâment celui qui parle, ils murmurent contre celui qui prêche la voie droite. Mais cela importe peu. Faites le bien et laissez parler les autres.
L'automne des saisons, ce sont les feuilles qui meurent. A l'automne de la vie, ce sont nos souvenirs
Rompre l’absolu en domptant le temps, garder sur soi le parfum des absurdes, pour toujours se souvenir de l’odeur du vent et se laisser happer par l’ivresse, pour s’en aller éteindre la nuit