La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre

Je marche droit devant sans me retourner .Je réfléchis et je pense. Avant toi et moi... Nous tant d'espoir et si peu de problèmes. Espoir de trouver, vers toi une raison de vivre .Espoir de trouver, dans tes bras une envie. Une envie d'espérer, une envie de me battre .Une envie de gagner, une envie de survivre .J'avais fondé sur toi, toutes mes espérances .Croyant enfin, avoir trouvé la jouissance. Jouir d'une nouvelle vie, sans ennemis ni aucun rival .Retarder l'échéance, vivre au jour le jou.r Accepter ses erreurs, ne rien refouler .Je suis encore si flou, et j'ai tant de questions a poser .Mais je continue d'avancer .Droit devant, sans me retourner

Même si tout te semble perdu, Avance encore d'un pas. Même si tu ne crois plus en toi, Avance encore d'un pas. Même si la route est sombre, Avance encore d'un pas. Même si tu n'as pas la force, Avance encore d'un pas. Avance et tu verras, Tu t'en sortiras. Car il y a toujours, Une lumière au bout du tunnel. La lumière est là, Toujours présente, Et parfois elle attend, Avant de se manifester. Avance, avance et tu la trouveras !

Il y a quelques années, les erreurs aidant, une peine parcourut mon être tout entier d’une manière douce et cruelle. Pendant des mois, je ne voyais plus que des ruelles sombres en moi. A tout moment, mes ombres se confondaient et fondaient peu à peu dans mon cheminement. Dès lors, je fendais à peine mon armure pour quelques murmures me trouvant trop mûr, me défendais-je en éprouvant. Egaré, je n’avais fondé aucun espoir me retrouvant dans le noir de mon propre regard. Je garderai dans ma mémoire quatre murs commis d’office comme une protection inutile face au monde futile et mensonger dont j’ai un jour omis le danger. Je songeais à mon dépit et puis un son épars venu de nulle-part m’est parvenu. Bien entendu, j’ai tendu l’oreille dans le doute pour écouter ce qui n’était autre que quelques gouttes d’eau tombant en rythmes inattendus.. Ce son unique enveloppait mon esprit comme une tunique de pure soie, le genre d’habit imbibé de soi. En me reprochant de laisser couler ces gouttes, je me rapprochais pour une meilleure écoute. Il me fallait coûte que coûte goûter encore plus à cette perfusion qui opérait dans mon corps une fusion de mes sens éblouis et épanouis. Non sans mal, je plongeais dans mon imagination quittant ma prison de passion sentimentale pour la patience obligée. Ainsi, comme un signe, comme un insigne, j’ai reçu ce jour-là la première leçon d’une longue série qui peut se comprendre comme suit : tais-toi pour mieux entendre et si possible ferme les yeux.

La vraie jeunesse ne s'use pas on a beau l'appeler souvenir on a beau dire qu'elle disparaît on a beau dire et vouloir dire que tout s'en va Tout ce qui est vrai reste là quand la vérité est laide c'est une bien fâcheuse histoire quand la vérité est belle rien ne ternit son miroir Les gens très âgés remontent en enfance et leur coeur bat là où il n'y a plus d'autrefois

Aimer quelqu'un, c'est le dépouiller de son âme, et c'est lui apprendre ainsi - dans ce rapt - combien son âme est grande, inépuisable et claire. Nous souffrons tous de cela: de ne pas être assez volés. Nous souffrons des forces qui sont en nous et que personne ne sait piller, pour nous les faire découvrir

De mon subtil voyage au cœur de l’âme j’ai ramené avec moi une théorie incertaine et pourtant je me plais encore à croire quelle n’est pas si bénigne, mais pleine d’espoir. Ont à tous quelque part en nous un petit co in sombre et menaçant qui nous rend fou, une porte secrète qu’on préfère ignorer de peur de voir resurgir les démons du passé. On a beau avoir pansées tous nos mots en espérant qu’il ne refasse surface à nouveau, il suffit juste d’un geste, d’un regard, d’une odeur et ça repart. Telle une symphonie pour notre esprit elle rejoue de plus belle, alors se ravive la flamme des souvenirs perdus de ceux qui nous ont marqués à vie et au fer blanc, car dans notre esprit subsisteront toujours les fantômes de notre passée. Bien tapis dans l’ombre ils n’attendent que nous pour pouvoir reprendre vie à nouveau, les beaux souvenirs se battent sans merci avec les mauvais et c’est ainsi, un duel éternel dont personne ne ressortira jamais vainqueurs. Moi je ne crois plus au hasard de la vie tout du moins c’est ce que la vie ma apprit, je crois que chaque personne rencontrée n’est en rien le fruit du hasard, que chaque âme que nous avons un jour côtoyée nous a inconsciemment imprégnées, en bien ou en mal mais elle la fait. Le hasard n’existe pas, par contre le destin ça j’y crois, croyez-vous vraiment que ce soit le hasard qui est fait que notre chemin se soit un jour croisées, je ne le pense pas, je ne le pense plus ça devait être ainsi voilé tout. N’avez-vous jamais ressenti cette drôle d’impression d’avoir déjà vécu certain moment, c’est comme si le temps se suspendait un cours instant, comme si notre esprit était sur la pause et la sensation de connaitre quelqu’un depuis toujours alors que vos chemins viennent à peine de cette croisée. Il y a tous ses endroits où nous n’avons jamais encore mis les pieds et pourtant on sait que derrière cette maison il y a un magnifique peuplier. Bizarre me direz-vous et pourtant bien réel soit dite entre nous. Comment expliqué cela, le pouvez-vous ? Moi je crois que notre âme voyage à travers les temps et que chaque souffle de vie est un éternel recommencement, ont c’est surement connu dans une autre vie dans bien d’autres moments, les mêmes gens nous suivent inconsciemment, les mêmes amours subsisteront à travers les âges. Je t’aimais et nous- nous aimerons à nouveau, un jour ailleurs nous -nous reconnaîtront alors à quoi peuvent bien servir toutes ses vies d’avant ? Peut-être bien à s’améliorer à travers le temps pour vivre une vie plus belle et plus intensément, comment expliquer en quelque mot cette sensation unique de déjà tout savoir de l’autre, nos âmes communique-t-elle à travers le temps pour mourir et renaître à chaque instant. Moi je me plais à le croire, mais si toutes ses belles phrases sont illusoires je me sens à présent plus léger pour aborder cette vie si éphémère en ayant moins peur de perdre mon temps, en ayant moins peur de la mort car au bout du compte nous ne sommes qu’en sursis, des êtres qui donnent la vie et qui mourront petits à petit. Mes pensées me portent tout droit devant vers l’inconnue du subconscient, mais il est l’heure de ressortir de mes pensées car je suis parti bien loin de la réalité même si je pense ne pas être loin de la vérité, enfin celle que je me plais à rêver …

Moi J’ai connu un homme dont je n'oublierais jamais le regard, et j'ai envie de vous faire partager son histoire. J’ai fait sa connaissance un triste jour de pluie comme ça au détour d'un chemin. M’abritant sous un por che pour ne pas me mouillé, Je le vit la debout de l'autre côté. Il avait fière allure Joe, C’était un homme dans la force de l’âge et on pouvait essaiment deviner sous sa barbe volage et ses cheveux couleurs 'argent la douceur d'un homme et le poids de son passé .Il avait les yeux d'un joli bleu gris Joe, des yeux aux couleurs de la pluie, comme une mer de tendresse on pouvait y lire la joie de vivre parfois mais aussi une tristesse infinie .Toujours le sourire aux lèvres malgré tout, malgré tout ,sa tenue bien que de circonstance n'enlevait rien à sa prestance ,faite de couleur incongrue mais quelle dignité il eu . Tout ceci lui donnait l’air d’un voyageur ambulant et c'est ce qu'il était devenu avec le temps. Le cœur vaillant parcourant bien des routes et empruntant bien des chemin, découvrant à chaque pas des endroits insolite que nous n'imaginerions même pas, logeant au grés du vent et des saisons ,vivant d'amour et d'eau fraiche et de l'instant présent

En tout homme résident deux êtres: l'un éveillé dans les ténèbres, l'autre assoupi dans la lumière

Souvent la vie s’amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits caillo ux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…