Certaine fois le noir assombris le pale éclat de la vie. Mais il faut continue inlassablement A suivre sa chevauché vers son destin. Malgré les tumultes de la vie. Malgré les sentiments meurtries. Malgré tout ces réves inassouvie. Malgré l'amitié sacrifié. Même abatu et endolori. il faut reprendre le cours de sa vie. Et surtout ne pas perdre ce defi qu'elle nous lance. Car il faut toujour rêvé d'un lendemain meilleur. Ou la paix et l'amour régneront sur terre. Mais pour cela il faut continué sa chevauché. Malgré ce noir qui assombris certainne fois l'eclat de la vie

La douce plume essaie de naviguer!!!Entre mes larmes pures sur le papier!!! Tristement sur une feuille ondulée!!!!Entre des sanglots bien abandonnés!!! Sous une averse de pluie chagrinée!!!Le chemin de la plume est parsemée!!! De nappes d’eau pures et sécrétées!!!Par une âme fragile et désarmée!!

Un coeur en hiver ,au bout du compte .Ce matin le froid de l'air a ce quelque chose de piquant qui annonce l'approche de l'hiver. Dans les artères bouillonnantes de tes villes, des hommes meurent, le coeur gelé par la froidure de ton regard gêné, ou pire, indifférent. Prends soin des tiens, petit homme... Fais qu'à l'aube on ne compte pas de victime de plus. Ouvre ton manteau et tes bras pour soutenir la misère d'une vie qui aurait pu être la tienne, qui le sera peut-être même. Ose imaginer ce monde plus beau, plus juste, où chacun aurait sa place à la table près de l'âtre... Ose faire le geste qui l'embellira déjà. Sois le Pygmalion des "temps modernes" et réchauffe l'or que tu as au coeur. Prends soin des tiens, petit homme... Car cet homme, ou cette femme, qui fait tache dans le paysage de tes rues propres et illuminées aux artifices de l’oeil, c'est ton frère, ta soeur, ton enfant, ton parent. Il fait partie de ton humanité. N'ajoute pas sur ses épaules le poids de tes actes manqués, de tes sourires figés... Oui, prends soin des tiens, petit homme.

Le ♥ le plus sensible à la beauté des roses est aussi le premier blessé par les épines.

A tout instant vous pouvez être gagné par le découragement. Alors, immédiatement dites-vous :

« Ça va bientôt passer, c'est temporaire ! »

Réfugiez-vous quelque part en vous-même, comme si vous hiberniez, et restez là jusqu’à ce que vous retrouviez le souffle de la vie. Le découragement, c’est comme l’hiver. Mais après l’hiver revient le printemps ! C’est pourquoi il ne faut jamais complètement perdre espoir. À un moment ou à un autre, l’élan, l’énergie reviendront Quels que soient vos tourments, ne laissez jamais s’assombrir complètement votre ciel intérieur. Peu à peu, l’obscurité va se dissiper et le froid vous quittera."

Le ressentiment, les regrets, la haine, forment dans notre être une accumulation de noeuds, tout comme la petitesse, les envies, la jalousie. Nos peurs et nos sentiments négatifs forment des noeuds, des barrières, des kystes émotionnels...

Ces noeuds, tout comme des détritus dans un ruisseau, forment des barrages, et empêchent la force de vie et le flux d'énergie de circuler harmonieusement.

Personne ne croise votre chemin par hasard,et vous nentrez pas dans la vie de quelquun sans raison. Chaque rencontre à sa raison d'être suffit juste den retirer les bonnes leçons

Quand le ♥ souffre, quand il semble brisé, il ne faut pas perdre espoir. Des fois, ça prend du temps, mais les morceaux se rassemblent toujours. Un ♥, ça ne meurt qu’avec soi. C’est juste que quelquefois il fait des pauses, et qu’il ne sait plus trop comment battre, qu’il lui faut un peu de temps pour retrouver un bon rythme. Mais il repart toujours

J'écris pour m'évader, j'écris pour vider mes émotions. J'écris pour tout ceux qui ne peuvent pas écrire. Le plus souvent, je m'écris. Pour simplement que jamais on ne m'oublie. Je me vide le cœur sur papier. Parce que je me ballade sur les paroles. Et je réfléchis au rythme de mes écritures. J'écris ce que je vie,ce que je vois pour tous ceux qui sont aveugles je crois. Pour tous ceux qui ne voit rien, j'écris. J'écris pour moiet pour le monde. J'écris avec l'esprit qui vagabonde

Illusion violente que de croire qu’on changera le monde en lançant des pavés ; il faut ouvrir le cœur, il faut tendre la main