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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Parfois, l'envie de poser des mots. Qu'ils soient écrits ou oraux ne franchit pas le pas de la pensée. A l'intérieur on ne sait plus que penser. Parfois, l'envie d'hurler au vent prend place. Qui emporterait les mots loin dans l'espace .On s’assied au centre de la nature et tout devient calme, plus de torture
Je n'ai pas le souvenir qu'on nous ait appris, enfants, à parler ; en revanche, je me rappelle très bien qu'on nous apprit à nous taire
Voler le temps au temps, bâtir des minutes qui n'appartiennent qu'à nous, choisir les heures creuses, les remplir de nos moments de plénitude ... Laisser l'autoroute aux âmes pressées, leur préférer les sentiers, les ombrages; Les grandes routes sont les mêmes pour tous, y chercher la petite Chapelle qui, comme en Amour, sera ce havre de Paix, une oasis qui te fera oublier les multitudes
Peuple, aurai-tu oublié ton amie Valeur ?
Peuple, aurai-tu oublié Respect, Fierté et Honneur ?
Peuple, tu t'es enchaîné de toi-même à tes ennemis.
Peuple, tu as choisis d'ignorer tes amies. Voici leurs noms : Dame Liberté, Dame Egalité, Dame Fraternité.
Peuple, te voilà prisonnier du tyrannique pouvoir.
Peuple, aurais-tu perdu dame Mémoire ? Souvenir égaré sur l'autel des sacrifiés.
Peuple, brise tes chaînes, recouvre tes ailes. Le monde t'appartient.
Peuple, soumis au Silence, soumis de société, allégorie du Pantin.
Peuple, tu es la multitude, ils sont la minorité. Peuple, aurai-tu oublié ? Comprendra qui pourra.
La machine à écrire, son cliquetis et ses accessoires, l'effacil, le stencil et le carbone, nous paraissaient relever d'une époque lointaine, impensable. Pourtant, quand on se revoyait quelques années plus tôt, en train de téléphoner à X dans les toilettes du café, de taper un soir une lettre à P sur l'Olivetti, il fallait bien reconnaître que l'absence de portable et de mail ne tenait aucune place dans le bonheur ou la souffrance de la vie
Jusqu’à ce que la mort nous sépare:
Tant de choses accomplies durant ces années. Nous avons survécu aux tempêtes déchainées, Sans jamais avoir cessé de douter. Notre résilience face au temps... Est-ce qui a fait notre union en vieillissant. Mais notre vigueur nous a abandonné, Sans même nous avoir avisé. Finissant notre vie comme deux petits vieux sur un banc, Savourant leur dernier instant. Se blottissant tendrement l’un contre l’autre face à la mer, Attendant gentiment l’éternel sommeil qui nous mènera vers cette douce lumière. Je repense avec nostalgie à notre première rencontre, Tu te souviens ? De gouter à mes lèvres, tu n’avais rien contre. Nous étions jeunes et beaux, Dansant maladroitement un slow. Mes pieds s’en souviennent... Peu importe, je suis devenue tienne. Ne t’endors pas encore, Sers-moi fort... tenons jusqu’à l’aurore. Je veux continuer à te parler, Jusqu’à ce que mes forces viennent à m’abandonner. Dieu... qu’il est difficile de s’en aller même pour des antiquités. Promets-moi que dans l’au-delà, nous continuerons à nous aimer. Mon amour.. Fais-moi une dernière fois la cour. Si tu savais comme je t’aime... Il n’y a toujours eu que toi dans mon cœur de bohème.
Ca commence comme ça par un tout petit mot, mais ce mot, c’est le roi des mots ! Il a l’air ridicule avec ses quatre lettres. Il a l’air de rien. Mais sans lui rien ne pourra se passer, rien ne pourrait exister. Je ne pourrais pas te parler. Tu ne pourrais pas m’écouter. C’est lui qui crée le silence, C’est lui qui crée l’espace. Il est le roi des mots ! Et parce qu’il est le roi, il se met au service des autres. Sans lui, Les grands mots, les jolis mots, les mots savants et même les gros mots ne pourraient pas exister. Grâce à lui et avec un peur d’entraînement, je peux entendre le bruit des pas des petites fourmis qui courent sur les lames du parquet. Grâce à lui, au printemps, je peux écouter le dialogue très animé des coccinelles en train de discuter,de la qualité des pucerons du rosier de la voisine. Mais je suis un peu jalouse .J’ai un ami bien plus fort que moi, il peut entendre les cris que poussent les rayons du soleil qui viennent se cogner sur les vitres de la fenêtre en plein été. Et …. Il paraît qu’avec beaucoup d’entraînement… On peut entendre ce qui se passe dans le cœur de ceux que l’on aime… Il est le roi des mots. Ah ! J’oubliais ! Il s’appelle Chut
Elles dansent en cadence.. Fougueuses.. Amoureuses elles se tiennent,se retiennent