Le monstre c est l être humain..!!

La science continue de nous montrer que les loups et les coyotes sont des créatures hautement sensibles, avec une capacité émotionnelle qui ne ressemble pas à celle des gens.

Une bonne raison de les traiter avec respect, appréciation et compassion Nous avons beaucoup en commun avec les loups, les coyotes, les renards rouges et les chiens domestiques. Ces espèces sociales - et d’autres animaux - ont des vies émotionnelles, peuvent éprouver des émotions telles que la joie et le chagrin. C’est la conclusion de Marc Bekoff après de nombreuses années d’étude de ces animaux. Nous avons beaucoup en commun avec les loups, les coyotes, les renards rouges et les chiens domestiques. Ces espèces sociales - et d’autres animaux - ont des vies émotionnelles, peuvent éprouver des émotions telles que la joie et le chagrin.

C’est la conclusion de Marc Bekoff après de nombreuses années d’étude de ces animaux . Dans son livre, "The Emotional Lives of Animals", Bekoff écrit que si les animaux peuvent éprouver des émotions que les humains ne peuvent pas comprendre, nous pouvons comprendre beaucoup de leurs sentiments. L’observation est la clé de la compréhension. Bekoff observe, par exemple, que les loups "ont des expressions faciales plus variées, et qu’ils utilisent ces expressions pour communiquer leurs états émotionnels aux autres.

Les queues de loup sont plus expressives, et les loups utilisent plus de positions de queue que les chiens ou les coyotes pour exprimer leurs émotions." Un tel langage corporel a révélé la douleur ressentie par une meute de loups après avoir perdu une femelle de rang inférieur. Il décrit comment les animaux en deuil ont perdu leur esprit et leur espièglerie. Comme ils ne hurlaient plus en groupe, mais chantaient seuls dans un lent cri de deuil. Comment ils tenaient leurs têtes et leurs queues basses et marchaient doucement et lentement quand ils sont venus sur l’endroit où un lion de montagne avait tué leur compagnon de meute.

Si les loups et les coyotes ressentent beaucoup des émotions que les humains ressentent, peuvent-ils aussi souffrir de troubles mentaux? Bekoff pose et répond à cette question intrigante. "Parce qu’il y a des humains autistes, il y a probablement des animaux non humains qui souffrent de ce qu’on pourrait appeler l’autisme." Il conclut que depuis de nombreux troubles psychologiques ont été diagnostiqués chez les chiens, "il n’y a aucune raison pourquoi cela ne pourrait pas être vrai pour leurs parents sauvages." Il décrit un coyote et un loup qui ont montré ce qu’on pourrait appeler un comportement bipolaire. Bekoff croit aussi qu’il y a "l’honneur parmi les bêtes", comme il le dit : "Sur la base de mes études détaillées à long terme du jeu dans les carnivores sociaux - y compris les loups, coyotes, renards rouges, et les chiens domestiques - je crois que nous pouvons faire la plus forte allégation que certains animaux pourraient être des êtres moraux."

Si nous croyons que les animaux peuvent éprouver des émotions comme le deuil, peuvent devenir déficients mentaux, et peuvent être des êtres moraux, alors, comme l’écrit Bekoff, nous devons nous assurer que nos actions correspondent à nos croyances. Il dit que lorsqu’il parle à des chercheurs qui font de la recherche invasive ou à des gens qui travaillent dans des fermes industrielles, il leur demande : «Est-ce que vous feriez cela à votre chien?»

Il dit que certaines personnes sont étonnées par cette question, mais qu’il est important de la poser. Une fois que nous croyons que des animaux autres que nous-mêmes - des animaux comme les loups et les coyotes – ont une vie émotionnelle, nous devons établir un lien avec ces créatures d’une certaine façon. Nous devons, comme le dit Bekoff, « traiter les autres êtres avec respect, appréciation, compassion et amour. Il ne fait aucun doute que, lorsqu’il s’agit de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire aux autres animaux , ce sont leurs émotions qui devraient éclairer nos actions en leur nom, et nous pouvons toujours faire plus pour eux.»

Rick Lamplugh est un défenseur des loups et auteur du best-seller amazonien "In the Temple of Wolves : A Winter’s Immersion in Wild

Les couleurs automnales sont là...

Bien qu'ils soient classés comme carnivores (mangeurs de viande), les loups peuvent parfois suivre un régime omnivore. Ils peuvent manger de la viande, des œufs - même des fruits ! Les loups qui vivent dans le parc national des Voyageurs au Minnesota sont connus pour manger des bleuets ! La plupart des familles de loups ont été trouvées pour passer de longues périodes de temps en juillet et août, pendant la saison de pointe des bleuets, en quête de nourriture dans des patchs de bleuets. Nikai n'a pas de bleuets, mais une citrouille est un régal d'automne !

La nourriture des loups change ...tout au long de l'année et determine leur position...

Prédation Les loups s'attaquent principalement au wapiti à toutes les saisons, lorsque nous surveillons la prédation par le loup dans la chaîne du Nord (figure 5a).

Parmi les wapitis, les loups s'attaquent principalement aux veaux nouveau-nés pendant l'été, continuent de le faire au début de l'hiver et s'attaquent surtout aux wapitis adultes à la fin de l'hiver et au printemps, alors que les wapitis adultes tués par les loups ont tendance à être pauvres état nutritionnel .

En plus de comprendre comment la composition des proies change au fil des saisons, nous avons également commencé à comprendre comment le taux d'abattage change. Le taux de destruction est une statistique qui décrit la fréquence à laquelle un prédateur tue et qui peut être exprimé de deux manières.

Premièrement, le taux de mortalité peut être exprimé en nombre de proies par prédateur par unité de temps (jour, mois ou année). Nos travaux ont montré que l’impression de l’évolution du taux de mortalité tout au long de l’année peut être très différente selon que le taux de mortalité est exprimé en nombre de proies ou en biomasse de proies.

Cette observation est due à la taille moyenne d’une carcasse qui diffère entre l’été et le reste de l’année et au fait que les loups ne sont pas en mesure de tuer suffisamment de petites proies (veaux nouveau-nés, par exemple) pour compenser cette différence de taille saisonnière des proies qu'ils tuent.

En fin de compte, notre travail montre que l'été est la période de l'année la plus difficile pour le loup. Par conséquent, comprendre les différences entre les taux de mortalité estivale d’une année à l’autre pourrait nous aider à mieux comprendre les variations annuelles de la population de loups.

HURLEMENTS

Certaines personnes m'appellent une activiste, mais pour être honnête, quand vous regardez dans les yeux d'un loup à partir de 20 mètres et que vous écoutez leurs hurlements hante et tristes, comment ne pas faire le vœu de protéger tout ce qu'ils sont et tout çe qu'ils représentent. Si prendre soin de la faune et de la nature fait de moi une activiste, alors je suis fiere de m'en appeler une. Si je ne suis pas actif, alors je suis inactif et il n'y a pas de temps pour ce dernier. Pour ceux qui soutiennent cet animal

Un remake des "Dents de la mer" pour 2022

Pas certain que ça fasse des entrées dans les salles lol

Les cons , ils veulent la peau du seul loup recensé dans l'est en Moselle

Bonjour la meute, qui part en vacance ??