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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
60 singes ont été abandonnés sur une île déserte après avoir reçu une injection d’hépatite B. Leur soigneur ne les a pas oubliés
« Monkey Island » est un endroit sans nourriture ni eau où des dizaines de singes ont été abandonnés pour mourir. Par chance, Joseph Thomas a dédié 30 ans de sa vie pour que cela n’arrive pas. « Je ferai cela jusqu’à ce qu’ils meurent ou que je meurs », a-t-il affirmé très fier. Elle s’appelle Monkey Island (l’île des singes), et elle se trouve au Liberia c’est un lieu qui semble tout droit sorti du tournage de la planète des singes.
Il y a ici une colonie de 60 chimpanzés qui ont été utilisés pour de cruelles expériences, on leur a injecté plusieurs maladies et ils ont été abandonnés sans aucune capacité de pouvoir survivre en pleine nature. Ces adorables singes ont été soumis à de cruelles expériences réalisées par des scientifiques des États Unis pour tenter de soigner l’hépatite B. La vie de ces chimpanzés n’était pas facile, ils étaient enfermés depuis la naissance et on leur a injecté différentes maladies.
Mais tout a empiré quand un conflit sanglant a obligé tous les scientifiques à abandonner le pays. Les humains se sont mis en sécurité et les singes sont restés là bas. Heureusement un homme a décidé de rester avec eux. Depuis qu’il a 20 ans, le libérien Joseph Thomas a travaillé comme soigneur de ces animaux dans le laboratoire. Malgré la souffrance qui leur était infligée dans ce lieu, Joseph prenait le temps de les caresser et de les nourrir. Il était leur unique allié.
En utilisant les moyens donnés par différentes organisations pour maintenir le laboratoire et en défendant les installations avec bec et ongles, l’homme a réussi à maintenir en sécurité la colonie de singes pendant le conflit qui a laissé des dizaines de milliers de morts et de déplacés. Dans les années 2000, les mouvements animalistes ont réussi à mettre sous le feu des projecteurs les essais sur les animaux jusqu’à ce que en 2004, grâce à cette polémique, il a été établi que plus aucune entreprise Nord Américaine ne pourrait continuer d’utiliser des singes pour faire leurs expériences. Et même si c’était une excellente nouvelle pour les singes, cela a aussi apporté un autre problème : que faire des singes désormais ?
Ils ne pouvaient pas être libérés dans la jungle avec le reste de la population de singes. Ils ne connaissaient pas les règles sociales, ne savaient pas chasser les insectes ni récolter des fruits et comme la plupart d’entre eux étaient infectés par l’hépatite B, il y avait un grand risque de transmettre la maladie et d’engendrer une épidémie. Il existait en plus le risque que dû à leur enfance et familiarité avec les êtres humains, ils s’approcheraient sans prendre garde des braconniers qui n’hésiteront pas à deux fois avant de les assassiner tous.
La solution a donc été de les déplacer sur une île des côtes de l’océan Atlantique. Ces terrains étaient déserts et n’avaient pas de nourriture pour tous les chimpanzés qui allaient vivre là bas. Mais avec l’aide de Thomas, des fondations caritatives et d’un peu de chance, ils pourraient survivre et démarrer leur vie en société . Depuis leur arrivée, cette île est désormais connue comme Monkey Island. Selon ce qu’a publié le média Greenwich Time, l’aide économique provenant des États Unis a permis d’alimenter les animaux jusqu’en 2015, quand le virus ebola a décimé la population du Liberia. Les différentes œuvres de charité qui les soutenaient sont allées aider les personnes affectées au lieu des singes abandonnés. Joseph Thomas, s’est donc vu obligé à demander des dons dans des boutiques de nourriture et des marchés où les gens luttaient contre cette maladie mortelle.
D’une façon ou d’une autre, il a réussi à avoir de la nourriture à peine suffisante pour nourrir les animaux qui luttaient pour chaque aliment qu’il leur apportait tous les deux jours en bateau avec des volontaires. Ce n’était pas suffisant. En racontant cette histoire à qui voulait bien l’écouter, Joseph a commencé à chercher de l’aide nationale et internationale et par chance, la fondation Humane Society a entendu son appel à l’aide et elle investit désormais environ 500 000 dollars dans Monkey Island. Mais les coûts augmentent à mesure que la colonie se fait plus grande.
Monkey Island est désormais une légende locale, une vraie « Planète des singes » avec des chimpanzés furieux, infectés et qui vivent dans leur propre société éloignée du monde. Mais Joseph connaît bien ses singes, leurs personnalités, leurs noms et leur bonté.
Désormais, les habitants poilus de l’île attendent Joseph tous les deux jours pour le saluer et manger à ses côtés. « Je ferai cela jusqu’à ce qu’ils meurent ou que je meurs », a-t-il affirmé très fier. Danielle Paquette Aujourd’hui, Monkey Island est un rappel du prix cruel du progrès médical, mais aussi des soins et de la tendresse qu’un homme a montré depuis environ 30 ans envers ces animaux en souffrance.
Voici la main d'un jeune orang outan. Comme vous pouvez le voir, la ressemblance avec celle d'un humain est frappante
Un singe brise la vitre de son zoo grâce à une pierre qu’il a affûtée
Un singe a été filmé en train de frapper la vitre de la cage de son zoo situé en Chine. Après plusieurs coups, il est arrivé à briser cette dernière, à la plus grande surprise des touristes ayant assisté à la scène. C’est une scène pour le moins surprenante qui s’est déroulée il y a quelques jours dans le zoo de Zhengzhou, à l’est de la Chine.
Dans une vidéo, on peut en effet apercevoir un singe frapper la vitre de sa cage avec une pierre qu’il avait auparavant aiguisée. Après plusieurs coups, il est arrivé à briser la vitre, provoquant la surprise dans le rang des touristes ayant assisté à la scène. Le singe, visiblement étonné par sa propre force, a également pris peur et est vite rentré au centre de sa cage.
D’après le journal Metro UK, il serait cependant revenu un peu plus tard pour regarder son « oeuvre », avant de toucher la vitre abîmée. Toujours selon le tabloïd anglais citant Tian Shuliao, un travailleur du zoo, le singe visible dans la vidéo est particulièrement intelligent.
« Il est différent des autres singes. Il sait utiliser des outils pour casser les noix alors que les autres singes se contentent de les mordre ».
Tian Shuliao affirme cependant que c’est la première fois que le singe s’en prend à sa cage. « Il s’agit de verre trempé, il ne serait de toute façon jamais sorti ».
Quoi qu’il en soit, tous les « outils » qui auraient pu être utilisés par le singe dans le futur lui ont été retirés alors que la vitre endommagée devrait être remplacée dans un futur proche.
Chez le bonobo, c'est maman qui choisit sa belle-fille!
Le bonobo est le primate le plus proche génétiquement de l’homme. Il vit dans les forêts équatoriales humides et marécageuses d’Afrique. Ce singe très sociable vit en bande de plus d’une dizaine d’individus régi par un système matriarcal.
Et oui, chez les bonobos c’est la femelle qui décide ! Une étude publiée dans la revue Current Biology a démontré récemment que la mère bonobo jouait un rôle prépondérant dans la vie sentimentale et sexuelle de son fils.
Celle-ci utilise son rang social pour s’assurer que son fils rencontre une femelle attirante, féconde et empêche d’autres mâles de rivaliser avec sa progéniture. Les chercheurs ont découvert que les mâles dont la mère vit au sein du même groupe ont trois fois plus de chance d’avoir des descendants que les autres.
Selon l’étude, les mères bonobos ont un très fort impact sur la fertilité de leurs fils. Les chercheurs ont suivi plusieurs groupes de bonobos pour confirmer leurs hypothèses.
Si la mère est haut placée dans l’organisation sociale du groupe, le mâle rencontre plus facilement des femelles car elles occupent les plus hauts rangs. Lorsque le fils se trouve dans l’entourage social de sa mère, il occupe une place centrale et est l’objet de toutes les convoitises féminines.
La mère l’introduit auprès des femelles les plus attirantes et c’est ainsi qu’il trouve sa dulcinée. Chez le bonobo, les relations amoureuses sont très importantes. Se reproduire permet la cohésion sociale du groupe. Les bonobos règlent leurs conflits, se réconcilient, se saluent ou encore exercent une pression en … se reproduisant !
Quand des animaux de laboratoire découvrent la vie Situé à Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir), près de Chartres, le zoo refuge de La Tanière, qui ouvrira ses portes au public en 2020, accueille déjà de nombreuses espèces, dont neuf singes de laboratoires de recherche médicale. Un concept inédit en France.
Ils s'appellent Arthur, Wallace, Rocco ou Dexter. Neuf singes de laboratoires de recherche médicale goûtent pour la première fois de leur existence à une vie paisible au futur zoo refuge La Tanière, près de Chartres. Voués comme 2000 à 3000 primates, selon le Gircor, (Groupe interprofessionnel de réflexion et de communication sur la recherche) à l'euthanasie, ces animaux sauvages, des macaques fascicularis, cynomolgus et rhesus, sont arrivés la semaine dernière de Belgique et de France, à Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir).
Deux autres doivent encore arriver la semaine prochaine. Jusqu'à aujourd'hui, il n'existait pas de structure en France en mesure d'accueillir ces animaux. Ils sont désormais calfeutrés pendant un mois en zone de quarantaine comme le stipule la législation, dans un bâtiment unique en Europe adapté aux primates. Ensuite, ils rejoindront de grandes volières à l'air libre où ils tenteront d'apprendre à vivre presque normalement leur vie d'animal en captivité.
Pour le maître des lieux, Patrick Violas, l'objectif «n'est pas de les garder, mais de les sauver».
À La Tanière, Patrick Violas et son épouse, Francine, ont vu les choses en grand. Alors que le zoo refuge doit ouvrir ses portes en 2020, ils ont d'ores et déjà aménagé un grand bâtiment de 800 m² avec, au total, neuf loges pour accueillir les animaux en quarantaine. Chaque loge mesure entre 9 et 20 m².
«C'est la première fois que les singes ont autant d'espace parce qu'ils vivaient dans des cages. Quand on les a recueillis, ils ne comprenaient pas ce qui leur arrivait», explique le propriétaire. «Aujourd'hui, on leur a même installé la télévision. On avait remarqué qu'ils étaient fascinés par les écrans de téléphone», poursuit-il avec amusement.
Outre cet équipement, les primates peuvent se balancer sur les agrès mis à sa disposition, ou se délasser tranquillement en regardant par la fenêtre, ce qui permet à certains de voir la nature pour la première fois de leur vie. À l'issue de leur quarantaine, prévue le 8 avril, les macaques seront introduits dans une volière avec des abris intérieurs et extérieurs.
«Lorsque ces singes auront été bien suivis par nos équipes et que l'on aura reconstitué une ou plusieurs communautés, nous nous efforcerons de les replacer dans des zoos plus classiques, dans des endroits où ils seront bien traités», indique Patrick Violas. L'arrivée de ces primates est l'issue d'un «long combat que nous avons gagné», se réjouit pour sa part Marie-Françoise Lheureux, présidente et fondatrice du Graal (Groupement de réflexion et d'action pour l'animal), association grâce à laquelle les animaux sont arrivés au refuge.
«Ces primates, sur lesquels des expériences scientifiques ont été réalisées durant dix à vingt ans dans le domaine des neurosciences et de l'optique, attendaient depuis deux ans de rejoindre La Tanière», explique-t-elle. À cet égard, l'exemple de Cannelle, la seule macaque femelle du groupe, est édifiant. Âgée de 21 ans, elle vient de Chine et a passé 19 ans en laboratoire où elle a servi dans des recherches sur la rétine humaine. Une deuxième vie Malgré les histoires tragiques de ses pensionnaires, Patrick Violas s'efforce de ne jamais être dans le jugement.
«Notre combat est le bien-être des animaux. D'autres organisations font très bien le travail de sensibilisation», affirme-t-il. Titulaire d'un bac agricole, cet homme de 58 ans a commencé sa carrière professionnelle comme garçon vacher dans une ferme laitière. Mais très vite, il rejoint un groupe automobile et grimpe les échelons pour devenir directeur commercial. Dans les années 1980/1990, il crée, avec son épouse, une boutique de téléphonie mobile en Eure-et-Loir, «5/5», puis deux, puis trois, jusqu'à 270 dans toute la France, avec 1800 salariés sous ses ordres. Un empire qu'il a vendu en 2009 et qui lui a permis de faire fortune. En 2011, il tourne la page des affaires pour revenir à ses premières amours, les animaux, en rachetant un corps de ferme à l'abandon aux portes de Chartres. Il y crée «La Ferme pédagogique de la Renaissance» qui accueille près de 400 animaux, principalement de basse-cour, délaissés ou maltraités.
La ferme est ouverte au public. Au détour d'une rencontre avec des gens du cirque qu'il a depuis fait venir avec lui, Patrick Violas décide de donner une nouvelle dimension à sa ferme en accueillant des animaux sauvages. Il s'entoure de professionnels reconnus comme Florence Ollivet-Courtois, vétérinaire spécialiste des animaux sauvages
«Sans doute la meilleure en Europe dans son domaine», s'enorgueillit-il. Il investit massivement dans de nouveaux bâtiments et des équipements neufs, ainsi que dans une clinique vétérinaire de pointe. La nouvelle structure adossée à la ferme pédagogique accueille désormais des animaux de cirque à la retraite, d'autres saisis chez des particuliers qui n'avaient pas d'autorisation, ou provenant d'élevages clandestins...
«Mon rêve, ce serait de fermer tout de suite, parce que cela voudrait dire qu'il n'y a plus d'animaux à sauver» Patrick Violas, propriétaire du zoo refuge La Tanière Aujourd'hui on y trouve des ours, des otaries, des wallabies et autres animaux exotiques ou sauvages... Plus d'un millier d'animaux, de l'écureuil à l'éléphant, devraient trouver leur place dans ce zoo refuge baptisé La Tanière qui ouvrira au public en 2020, ce qui permettra d'aider à financer son fonctionnement. Patrick Violas se définit comme «un amoureux» des animaux.
«Ils sont plus nombreux que nous et souvent en situation de détresse à cause de nous. Et si demain il n'y a plus d'animaux sur Terre, nous ne serons plus là non plus car nous faisons partie de la chaîne alimentaire. Les animaux valent autant que les humains».
Son rêve?
«Qu'on ne soit pas obligé d'aller dans des parcs, d'ici quelques années, pour voir des animaux qui auront disparu à l'état sauvage». Et, Patrick Violas l'avoue, il préférerait «fermer tout de suite La Tanière parce que cela voudrait dire qu'il n'y a plus d'animaux à sauver». En attendant, son combat continue, et les appels lui demandant d'accueillir de nouveaux spécimens ne cessent d'augmenter.
L'amour d'une mère ne se partage pas, ne se soustrait pas, ne se divise pas et ne s'ajoute pas non plus, mais il se multiplie car l'amour d'une mère est infini