Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

animaux singes et lémuriens

chimpanzés

Publié à 14:23 par fandeloup Tags : femmes nature 2010 chez monde livre image vie sur bonne animaux animal
chimpanzés

Les chimpanzés de Jane Goodall surprennent encore les scientifiques

Pour la première fois depuis des décennies, des scientifiques se sont attaqués aux travaux célèbres de la primatologue relatifs au caractère des chimpanzés. De Michael Greshko Récoltant les fruits d'années de dévouement, Jane Goodall sourit de toutes ses dents face aux chimpanzés de Gombe. « Nous avons mené la plus longue étude de tous les temps et, à moins que nous nous arrêtions, qui peut nous battre ? », questionne-t-elle.

 Les chimpanzés sauvages du parc national de Gombe Stream, en Tanzanie, sont au cœur des recherches révolutionnaires menées par Jane Goodall. Pour la première fois depuis des décennies, des spécialistes du comportement reviennent sur les observations originales de la primatologue sur la personnalité de ces animaux.

Cette nouvelle étude apporte un éclairage nouveau et révèle qu'à l'image des humains, la personnalité des chimpanzés reste stable au fil du temps. Cette découverte pourrait permettre aux scientifiques d'en savoir plus sur l'évolution de notre propre tempérament. « Il s'agit des groupes de chimpanzés les plus célèbres au monde, je me suis dit que c'était une opportunité incroyable », explique Alexander Weiss, psychologue à l'université d'Édimbourg, en Écosse. « Étudier leurs personnalités dans les zoos présente ses avantages, mais si vous souhaitez répondre à certaines questions, comme "existe-t-il un lien entre la personnalité et la réussite en matière de reproduction ?", il est impossible de répondre à ces questions sur des singes en captivité. Il vous faut aller dans la nature. »

La classification de la personnalité de 128 chimpanzés qu'il a faite — dont une grande partie ont été étudiés par Jane Goodall elle-même dans les années 1960 et 1970 — a été publiée mardi 24 octobre dans la revue Scientific Data.

CHIMPANZÉ CANNIBALE

Les observations des chimpanzés de Gombe réalisées par Jane Goodall sur le terrain, financées par la National Geographic Society, ont montré que les chimpanzés mangeaient non seulement de la viande, mais utilisaient et fabriquaient aussi des outils et possédaient des personnalités uniques. En 1973, le chercheur Peter Buirski visite Gombe avec l'accord de la primatologue en vue de poursuivre les recherches sur la personnalité des primates. À partir des rapports réalisés par le personnel du parc de Gombe, l'équipe a dressé 24 personnalités chez les chimpanzés du parc ainsi que 10 comportements différents, tels qu'un caractère belliqueux ou espiègle

 TRAILER OFFICIEL "JANE", UN DOCUMENTAIRE SUR LA VIE DE JANE GOODALL

Cette étude a révélé que les chimpanzés mâles et femelles ont tendance à avoir des personnalités différentes ; par exemple, les femmes avaient tendance à être plus confiantes et plus timides que les mâles. L'équipe a décidé de ne pas inclure dans l'étude un chimpanzé faisant figure d'exception : une femelle prénommée Passion, décrite par le personnel de Gombe comme « un animal perturbé, isolé et agressif », écrivent Buirski et un collègue par la suite. En 1975, Passion avait commis une série de meurtres cannibales, kidnappant et dévorant au moins trois bébés chimpanzés. « Les carcasses étaient consommées de la même façon qu'une proie classique, lentement et avec délectation. Chaque bouchée de viande était mâchée avec quelques feuilles vertes », écrit Jane Goodall dans son livre Through a Window publié en 1990.

EN BONNE COMPAGNIE

Les recherches menées en 1973 étaient sans doute une première pour l'époque. La personnalité des animaux n'a suscité véritablement l'intérêt scientifique qu'à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Au cours de cette vague de nouvelles recherches, les scientifiques qui étudiaient les chimpanzés en captivité ont élaboré un nouveau type de questionnaire comportemental, lequel encouragera Weiss et ses collègues à réinterroger les assistants de terrain du parc national de Gombe. En octobre 2010, Weiss se rend pour la première fois au nord-ouest de la Tanzanie où il rencontre 18 assistants du parc et leur demande d'évaluer les personnalités de 128 chimpanzés. Après huit semaines, Weiss et ses collègues avaient recueilli plus de 11 000 réponses de la part des assistants, dont certains observaient les chimpanzés du parc depuis 35 ans. « C'était assez impressionnant. J'avais déjà entendu parler de ces assistants sur le terrain en lisant les œuvres de Jane Goodall », explique Weiss.

« Qu'ils prennent le temps de nous aider était pour nous un immense privilège. » En comparant les nouvelles données aux résultats obtenus en 1973, Weiss et ses collègues ont découvert une certaine constance dans les personnalités des chimpanzés. De nombreux singes décrits comme « sociables » dans les années 1970 étaient qualifiés d'« extravertis » dans les nouvelles évaluations. Les chimpanzés autrefois « déprimés » apparaissaient rarement comme « agréables » dans les nouveaux résultats

 CE N'EST QUE LE COMMENCEMENT

Les deux ensembles de données coïncidant largement permettent à l'équipe d'affirmer que les personnalités des chimpanzés évoluent peu au fil du temps. Cette stabilité, laissée entendre par d'autres études, permettrait aux scientifiques d'établir une corrélation entre certaines personnalités et nos chances de nous reproduire ou d'autres aspects de la vie des hommes. Ces questions ne sont qu'un exemple infime des réponses que sont susceptibles d'apporter ces nouvelles données. Weiss et son équipe ont donc choisi de publier leurs travaux en intégralité. « Une vie ne me suffirait pas pour tirer profit de toutes ces données. Pourquoi ne pas laisser d'autres personnes les explorer ? » suggère Weiss.

chim­pan­zés

Publié à 16:49 par fandeloup
chim­pan­zés

Ces chim­pan­zés ont fabriqué une échelle avec des branches pour s’éva­der d’un zoo

Un groupe de chim­pan­zés du zoo de Belfast, en Irlande, a tenté de s’éva­der samedi 9 février 2019. Les primates ont réuni de grosses branches avant de les ados­ser au mur d’en­ceinte de leur enclos. Seul l’un d’entre eux est parvenu à l’es­ca­la­der, lais­sant ses compères dans leur prison à ciel ouvert, rapporte la BBC. Hélas, il a été rattrapé peu de temps après.

Les respon­sables du zoo, qui ont récu­péré l’évadé, ont expliqué qu’une tempête récente avait dété­rioré le mur d’en­ceinte, permet­tant aux chim­pan­zés de le grim­per plus faci­le­ment.

Une vidéo enre­gis­trée par des visi­teurs montre l’ani­mal se prome­nant dans le zoo, visi­ble­ment perplexe et ne sachant pas vrai­ment où aller. Un « événe­ment très inha­bi­tuel », d’après la porte-parole du zoo. « Ce sont des primates intel­li­gents, ils savent qu’ils ne sont pas censés se retrou­ver en dehors de cette enceinte, et ils y retournent d’eux-mêmes », a assuré la porte-parole du zoo. « Nous aimons leur offrir un envi­ron­ne­ment natu­rel dans leur enclos, notam­ment avec des arbres, mais nous allons les véri­fier », a-t-elle déclaré suite à l’in­ci­dent, préci­sant que les arbres envi­ron­nant seraient arra­chés si néces­saire.

Les chim­pan­zés savent surtout qu’ils n’ont aucune envie de rester enfer­més.

merveilles

Publié à 10:01 par fandeloup Tags : monde sur
merveilles

Ouvrons les yeux sur le monde, et sur ses merveilles, ne perdons plus une seconde

donner

Publié à 17:59 par fandeloup
donner

Si tu possèdes beaucoup, donne de tes biens. Si tu ne possèdes rien, donne de ton cœur

tristesse

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : homme chez
tristesse

La culture de l’huile de palme, cause majeure de déforestation, condamne les orangs-outan à l'extinction. Mais l'homme s'en tartine le fion.

Seul

Publié à 15:56 par fandeloup
Seul

Seul dans mon coin je songe rêves et espoirs comblent le vide et le silence tout étrange s'accommode au temps qui le guide

sensations

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : enfant histoire
sensations

L'histoire d'une maman, commence par plein de petites sensations, entremêlée de tant d'émotions

Ont-ils le sens de la famille ?

Publié à 10:44 par fandeloup Tags : vie sur chez photo animaux animal enfant chien place
Ont-ils le sens de la famille ?

Les animaux ont, comme les humains, conscience des liens familiaux qui les unissent. Seuls varient les mécanismes permettant la reconnaissance des membres d’une même famille entre eux

Ont-ils le sens de la famille ?  Les animaux ont, comme les humains, conscience des liens familiaux qui les unissent. Seuls varient les mécanismes permettant la reconnaissance des membres d’une même famille entre eux. Les liens familiaux ont de l’importance au sein de toutes les espèces.

Avec les membres de sa famille, plus ou moins éloignés, certains comportements sont privilégiés comme l’entraide, l’apprentissage, le soin, etc. D’autres, au contraire, sont à éviter comme la recherche d’un partenaire sexuel. C’est pourquoi il est important que les individus apparentés sachent se reconnaître.

Quand cela se produit, des conduites spécifiques se mettent en place. Des chercheurs ont, par exemple, démontré que les souris mâles à pattes blanches qui rencontrent un mâle inconnu pour la première fois n’ont pas la même attitude avec lui selon qu’il fait partie de la même famille ou non. Quand il s’agit d’un « étranger », elles vont le chasser, de manière plus ou moins agressive, alors qu’elles vont simplement l’éviter, sans conflit, quand elles ont un rapport familial avec lui.

LE RÉSULTAT D’EXPÉRIENCES PASSÉES

Identifier un membre de sa famille est donc important. La démarche est possible quand un animal est apte à percevoir et interpréter des signaux émis par ses congénères pour déterminer s’il s’agit ou non d’un individu apparenté. Chez les vertébrés, la reconnaissance d’un membre de sa famille n’est pas inscrite dans le patrimoine génétique. Aucune recherche scientifique ne l’a en effet établi. C’est pourquoi il est admis que c’est plutôt le résultat d’expériences passées, d’apprentissages durant le développement des individus qui permet l’identification d’un parent. Selon les espèces, plusieurs mécanismes permettent à de s membres d’un même groupe de savoir s’ils sont ou non parents.

Le premier d’entre eux est la proximité spatiale : les animaux utilisent des indices présents dans l’environnement (par exemple s’ils vivent dans le même nid ou dans le même terrier). Il y a ainsi une forte probabilité pour que les animaux qui nichent au même endroit soient génétiquement reliés les uns aux autres. Il arrive cependant qu’il y ait parfois des « erreurs » et que des individus soient traités comme des membres d’une même famille alors qu’ils ne le sont pas. Par exemple, chez certaines espèces de mouettes des falaises, ce qui compte pour un parent, c’est le nid : les mères vont s’occuper des oisillons qui sont dans leur nid jusqu’à un certain âge, peu importe qu’ils soient véritablement les leurs ou non. Plus proche de nous, il y a même le cas du coucou, qui pratique ce que les scientifiques appellent le « parasitisme de couvée », un comportement qui consiste pour la mère coucou à pondre dans le nid d’une autre espèce qui élèvera son oisillon comme s’il faisait partie de sa propre progéniture.

DES SIGNAUX PROPRES À UNE MÊME FAMILLE

Les chimpanzés sont capables de distinguer sur une photo les membres de leur famille par rapport aux autres membres du groupe. Il existe ensuite la reconnaissance par association : c’est la capacité d’un animal à traiter comme un membre de sa famille celui avec qui il a été lié pendant une certaine période de sa vie (appelée par exemple « période sensible »). En général, dans des conditions naturelles, quand un animal grandit avec d’autres animaux dès son plus jeune âge, il y a de fortes chances pour qu’ils appartiennent tous à la même famille (par exemple tous les individus du même âge dans un même terrier sont très probablement frères et soeurs).

Chacun apprend les signaux des autres membres de la cellule familiale dont il fait partie pour les identifier par la suite. Cela peut aussi se produire par distinction d’indices de groupe, tous les membres d’une même famille portant un signal spécifique (visuel, olfactif, etc.). Dans tous les cas, les non-apparentés ainsi associés seront considérés comme des apparentés, et inversement, des apparentés qui n’étaient pas là pendant cette période de vie commune ne seront pas considérés comme des apparentés.

Par exemple, chez le campagnol des prairies, il a été démontré que des petits qui ont été séparés de leur portée d’origine pour être mis dans d’autres portées ne se reproduisent pas avec les campagnols qui ont grandi avec eux. Inversement, les campagnols d’une même famille génétique qui ont été élevés séparément se reproduisent entre eux si on les réunit au moment du sevrage. C’est un des mécanismes les plus répandus parmi les mammifères, même chez les humains, où on a pu voir tomber amoureux un frère et une soeur qui n’avaient jamais vécu ensemble pour des raisons diverses…

SIMILARITÉS ET DIFFÉRENCES

Enfin, il y a la reconnaissance par correspondance du « phénotype ». Le phénotype est l’aspect visuel d’un individu, ce à quoi il ressemble physiquement. Celui-ci apprend et se souvient de traits physiques qui lui sont propres ou qu’il ne voit que chez les membres de sa famille. Lorsqu’il rencontre quelqu’un qu’il ne connaît pas, il évalue alors les similarités et les différences entre ses propres traits et ceux du congénère qu’il a en face de lui.

Ainsi, par exemple, il peut se baser sur les odeurs chimiques, ou encore sur des traits physiques très caractéristiques. Les chimpanzés sont capables de distinguer sur une photo les membres de leur famille (mère, frères et soeurs) par rapport aux autres membres de leur groupe. Les humains, comme les autres mammifères, sont aussi à même de différencier les individus de leur famille de ceux qui ne le sont pas par indices olfactifs. Une étude a ainsi démontré que peu après la naissance, les nourrissons allaités répondent de préférence à l’odeur unique de leur mère, tout comme les mères discernent l’odeur de leur enfant.

Ce qu’on connaît de la détermination des membres d’une même famille chez le chien suggère que tous ne sont pas caractérisés grâce aux mêmes mécanismes (parents et frères et soeurs sont identifiés par des moyens différents). Les chiots d’environ 4 à 5 semaines sont, par exemple, aptes à retrouver leurs frères et soeurs et leur mère, et les mères leur progéniture. Mais les choses changent après la période durant laquelle les petits sont séparés (pour être donnés ou vendus à une nouvelle famille humaine), entre 8 et 12 semaines. Des chercheurs ont mis en évidence ces changements en suivant plusieurs portées.

Ils ont ainsi observé que deux ans après la séparation des portées, les mères ont toutes été en mesure d’identifier leurs petits, sans exception. Les chiennes identifient toujours leurs petits, même après deux ans de séparation. Réciproquement, tous les petits ont su qu’il s’agissait de leur mère. Mais aucun des jeunes ne s’est souvenu de ses frères et soeurs, sauf dans une situation : quand ils avaient été adoptés à deux (ou plus) et qu’ils avaient donc passé du temps en contact avec au moins un de leurs frères et soeurs. Dans ce cas-là, ils étaient capables de se remémorer l’ensemble de leurs autres frères et soeurs. Tous les frères et soeurs qui avaient été adoptés seuls, et ne s’étaient donc pas côtoyés pendant ces deux années, n’ont pas montré de préférence/ reconnaissance pour les membres de leur fratrie, même s’ils se sont tous souvenu de leur mère.

Les chercheurs ont conclu d’après cette expérience que les signaux utilisés pour identifier la mère ne sont pas généralisables ni utilisables pour distinguer les frères et sœurs et donc que l’aptitude d’un chien à désigner sa mère et ses frères et soeurs repose sur des mécanismes différents. Les jeunes peuvent identifier leur mère en se basant sur des signaux individuels qui sont renforcés positivement grâce aux soins maternels (en particulier l’allaitement, le toilettage). Alors que les frères et sœurs doivent être distingués par des signes plus généraux qui requièrent une exposition continue.

chimpanzé

Publié à 08:59 par fandeloup Tags : sur chez amis
chimpanzé

Quand les chimpanzés partagent leur repas avec leurs amis chimpanzés

 Frodo, un gros mâle chimpanzé vivant dans le parc national de Gombe en Tanzanie vient de capturer un marcassin de potamochère, un cousin du sanglier. Un immense concert de cris retentit en forêt.

C’est l’appel de la viande. Tout le groupe est en effervescence, et chacun veut une part du butin. Malgré son âge et la perte de son statut de mâle alpha, Frodo reste le meilleur chasseur de la communauté.

Tandis qu’il arrache des morceaux de chair, avalés goulûment, deux jeunes mâles louchent sur ce morceau sanguinolent de choix et mendient avec forces démonstrations de soumission.

Mais qui pourra partager ce festin avec le grand mâle ?

Quémander ne garantit pas un morceau du butin. Seuls les individus qui ont aidé le mâle à capturer cette proie seront récompensés ainsi que les amis de ce dernier.

Ce partage provoque une décharge hormonale d’ocytocine chez les individus concernés par le festin, la même hormone qui renforce les liens entre une mère et son petit.

En partageant avec ses amis, le primate s’assure d’un retour d’ascenseur le jour où son compagnon aura à son tour capturé une proie. Ces connections émotionnelles sont cruciales et ont joué un rôle très important dans l’évolution de la coopération des grands singes jusqu’aux humains.

naissance

Publié à 17:01 par fandeloup Tags : bébé bonne sur
naissance

Naissance exceptionnelle d’un singe siamang dans le Puy-de-Dôme

Le taux de reproduction des siamangs étant très faible, la naissance d'un bébé singe à Ardes-sur-Couze est une bonne nouvelle.

Un bébé singe siamang a vu le jour il y a un mois au parc animalier d’Auvergne à Ardes-sur-Couze dans le Puy-de-Dôme. Une naissance rare pour une espèce qui fait l’objet d’un programme de reproduction partagé par plusieurs zoos européens.

 Le parc animalier d’Auvergne à Ardes-sur-Couze dans le Puy-de-Dôme a gardé la nouvelle bien au secret pendant un mois, le temps d’être certain que le bébé siamang né le 13 septembre 2018 se portait bien. Une naissance rare et surtout inattendue : "on ne s’y attendait pas" raconte Marie Demoulin, chargé de la communication, "le soigneur n’avait détecté aucun signe et il ne s’en est rendu compte qu’après la mise-bas".

A sa naissance, le petit singe - qui n’a pas encore de nom - pesait 500 grammes environ, il a doublé son poids en un mois. Les siamangs appartiennent à une espèce de singe des forêts équatoriales de Malaisie et de l’ile de Sumatra en Indonésie, c’est le plus grand des gibbons, pouvant mesurer de 75 à 90 centimètres.

Cette année le parc animalier a aussi connu des naissances de suricates et de chamois bouquetins, mais pas de panthères des neiges qui sont très attendues pour l’an prochain.

https://youtu.be/_tuTcag6mrI